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DIRECT - Dnipro lourdement frappée, bataille navale en mer Noire

La grande ville de Dnipro a subi une "attaque massive" ce matin. Au moins quatre personnes sont décédées et des dizaines d'autres ont été blessées selon le dernier bilan des autorités. En mer Noire, les forces russes affirment avoir repoussé un assaut de drones navals ukrainiens en direction de Novorossiïsk.

 

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Les conséquences de l'attaque russe sur la ville de Dnipro, au matin du 3 juillet 2024.

Les conséquences de l'attaque russe sur la ville de Dnipro, au matin du 3 juillet 2024. 

Telegram de Serhii Lysak, chef de l'administration militaire régionale de Dnipropetrovsk
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14h50

Otan: accord pour une aide de 40 mds d'euros par an à l'Ukraine, sans engagement de durée (diplomates)

Les pays de l'Otan se sont mis d'accord pour un soutien militaire à l'Ukraine de 40 milliards d'euros par an, sans engagement dans le temps, a-t-on appris de source diplomatique.

Cette intitiative, qui sera officialisée la semaine prochaine lors d'un sommet de l'Alliance, avait été lancée par le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg. Ce dernier souhaitait un engagement pluri-annuel des alliés afin d'ancrer dans la durée cette aide militaire, indispensable à l'Ukraine dans sa guerre contre la Russie.

Ce montant de 40 milliards d'euros annuels correspond au niveau de l'aide cumulée actuelle des pays de l'Otan, avait indiqué M. Stoltenberg.

Washington a toutefois expliqué ne pas pouvoir légalement s'engager sur plusieurs années, se disant toutefois prêt à réexaminer cette aide en 2025, ont précisé ces diplomates à Bruxelles.

M. Stoltenberg avait également suggeré que la répartition de cette aide se fasse en fonction du Produit intérieur brut (PIB) de chaque pays membre de l'Alliance. Mais la Turquie s'y est refusée, selon ces sources.

Le texte devait faire référence à "un partage équitable du fardeau", sans plus faire référence au PIB.

Cet engagement fait partie d'un ensemble de mesures en faveur de l'Ukraine qui seront discutées par les dirigeants des 32 pays de l'Otan du 9 au 11 juillet à Washington.

14h30

Russie: lourdes peines pour trois frères accusés d'avoir voulu combattre pour l'Ukraine

Un tribunal militaire russe a condamné trois frères à des peines de 17 ans de détention pour "trahison" pour avoir voulu rejoindre les rangs d'un groupe de combattants russes anti-Kremlin basé en Ukraine, selon un communiqué publié mercredi.

Ioann, Alexeï et Timofeï Achtcheoulov "avaient décidé de participer aux activités", notamment militaires, de la "Légion Liberté de la Russie", ont indiqué les services du procureur de Moscou.

Cette unité, classée organisation "terroriste" en Russie, combat pour l'Ukraine et avait réalisé des incursions armées dans des zones frontalières russes plus tôt dans l'année.

Les trois frères sont âgés de 19 à 24 ans, selon le site russe indépendant d'information Mediazona qui a indiqué que deux d'entre eux ont livré un plaidoyer contre le "crime" qu'a commis, d'après eux, la Russie en attaquant l'Ukraine. 

Chose rare pour un procès de ce type en Russie, il ne s'est pas tenu à huis-clos.

Les autorités russes arrêtent et condamnent régulièrement des citoyens accusés d'avoir, à des degrés divers, collaboré avec l'Ukraine ou tenté de le faire. Elles répriment aussi ceux qui ont simplement dénoncé l'assaut russe.

Les frères Achtcheoulov, notamment reconnus coupables de "trahison" par une cour militaires de Moscou, ont reçu des peines de 17 ans d'incarcération pour deux d'entre eux, et 17 ans et demi pour le troisième.

Les trois premières années de leurs peines devront être purgées en prison, et les suivantes dans une "colonie pénitentiaire de régime strict", selon le bureau du procureur.

En juillet 2023, ils auraient tenté de rejoindre l'Ukraine à pied, en contournant les points de contrôles officiels.

Ils avaient été arrêtés à 1,5 kilomètre de la frontière, d'après les autorités.

Des clichés publiés par les autorités les montrent dans le box des accusés, tous habillés de t-shirts noirs et l'air juvénile.

Au tribunal, Timofeï, le plus jeune, a assuré n'avoir pas eu l'intention de commettre "quoi que ce soit d'immoral".

Ses actions, et les poursuites judiciaires qui le visent, découlent "du fait que je considère la conduite de l'opération militaire spéciale comme un crime", a-t-il dit, utilisant l'euphémisme imposé par le Kremlin s'agissant du conflit.

Ioann, 24 ans, a dit avoir voulu empêcher les autorités russes de commettre le "pire crime du 21ème siècle", selon Mediazona.

Il a refusé de demander l'"indulgence" de la cour, dénonçant un pouvoir judiciaire "assujetti" à l'exécutif. "Je pense que vous n'avez pas de liberté, vous ne pouvez donc pas me la donner."

Ioann s'est dit "serein" quant à sa peine, assurant ne pas se voir comme un "traître" à son pays.

"Le plus important est ma liberté personnelle, dont vous ne pouvez pas me priver", a-t-il dit en s'adressant à la cour.

14h30

Huit blessés dans une attaque ukrainienne près de la centrale de Zaporijjia, accuse Rosatom

Huit personnes ont été blessées dans un raid de drones ukrainiens sur le site d'une sous-station de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par la Russie, a affirmé mercredi le groupe russe Rosatom, qui dénonce une multiplication des attaques.

"Les forces armées ukrainiennes ont lancé une attaque contre la sous-station de Radouga, où le personnel de la centrale nucléaire de Zaporijjia effectuait des travaux visant à optimiser le système d'alimentation électrique de la ville d'Energodar", a déclaré Rosatom sur Telegram.

L'opération menée à l'aide de plusieurs petits drones quadricoptères a entraîné l'hospitalisation de huit personnes et deux transformateurs ont été endommagés, a annoncé cette entreprise. 

La sous-station se trouve à une courte distance, environ quatre kilomètres, de la centrale de Zaporijjia proprement dite, la plus grande d'Europe, située dans le sud de l'Ukraine et périodiquement victime de bombardements.

Russes et Ukrainiens se sont mutuellement reprochés à plusieurs reprises depuis l'assaut russe contre l'Ukraine de mettre en danger la centrale en la prenant pour cible. Kiev a aussi accusé Moscou de faire état de fausses attaques pour manipuler les opinions.

L'alimentation de certaines parties non essentielles de la centrale a été perturbée, selon Rosatom, qui assure que la "sûreté nucléaire" a été préservée.

En revanche, l'attaque de cette sous-station prive Energodar d'eau et d'électricité, a affirmé ce groupe, puisque c'était la dernière en service après deux autres attaques courant juin sur des installations similaires.

Rosatom a déploré que l'attaque ait eu lieu pendant que ses employés travaillaient. "Un dangereux précédent a été créé qui requiert une réponse rapide et adéquate, y compris de la part des organisations internationales", a lancé son directeur général, Alexeï Likhatchev.

Les infrastructures énergétiques dans leur ensemble sont régulièrement frappées dans ce conflit, particulièrement par la Russie qui bombarde les sites ukrainiens avec l'objectif manifeste de saper le moral de la  population.

13H40

Rencontre entre Vladimir Poutine et Xi Jinping au Kazakhstan (télévision)

Les présidents russe Vladimir Poutine et chinois Xi Jinping ont débuté leur entrevue mercredi à Astana, la capitale du Kazakhstan, selon les images de la télévision étatique russe, un mois et demi après leurs derniers pourparlers en Chine mi-mai.

Cette rencontre entre les deux chefs d’Etat en Asie centrale intervient en marge d’un sommet de l’Organisation de Coopération de Shanghai, qui entend contrer ce que Pékin et Moscou considèrent comme une "hégémonie" américaine dans les affaires internationales.

12H36

Prague dit avoir livré à l'Ukraine des armes pour 288 millions de dollars

Prague a envoyé en Ukraine des armes, des technologies et des munitions d'une valeur globale de 6,75 milliards de couronnes (288 millions USD), depuis le début de l'invasion russe en février 2022, a indiqué mercredi le ministère tchèque de la Défense. 

Pays membre de l'UE et de l'Otan, fort de 10,9 millions d'habitants, la République tchèque a été l'un des premiers fournisseurs d'armes à l'Ukraine ravagée par la guerre, a souligné la ministre de la Défense Jana Cernochova. 

Au 31 mai 2024, Prague a notamment envoyé à l'Ukraine 8 avions, 62 chars, 131 véhicules blindés, 26 véhicules de surveillance chimique et 16 véhicules complets de défense aérienne, ainsi que 13 obusiers, 12 lance-roquettes, 4.900 roquettes, 645 missiles antichars et 8.022 grenades propulsées par roquette, a précisé le ministère sur son site web. 

Selon Mme Cernochova, les approvisionnements tchèques sont en train de se tarir mais, selon elle, le pays dispose toujours du matériel à livrer en Ukraine. 

"Étant donné que nous recevons du matériel militaire occidental en remplacement de nos technologies de l'Est, nous avons encore des ressources", a déclaré Mme Cernochova. 

La ministre tchèque de la Défense, Jana Cernochova, lors d'une conférence de presse après une réunion des ministres de la Défense de l'UE au Centre des congrès de Prague, en République tchèque, le 30 août 2022.

La ministre tchèque de la Défense, Jana Cernochova, lors d'une conférence de presse après une réunion des ministres de la Défense de l'UE au Centre des congrès de Prague, en République tchèque, le 30 août 2022. 

(Photo AP/Petr David Josek)

Prague a récemment signé des accords pour acheter jusqu'à 92 chars Leopard de fabrication allemande afin de remplacer sa flotte obsolète datant de l'ère soviétique. 

La République tchèque compte aussi acheter à la Suède 24 avions de chasse F-35 de fabrication américaine, 48 missiles air-air israéliens et 210 véhicules de combat CV 90, portant à 2% de son PIB le taux des dépenses dans la défense, comme l'exige l'Otan. 

Prague est également à la source d'une initiative internationale visant à acheter des obus d'artillerie pour l'Ukraine en dehors de l'Europe. 

Les premiers 50.000 obus ont été livrés à Kiev en juin. 

L'initiative, à laquelle participent 18 pays, dont le Canada, le Danemark, l'Allemagne, les Pays-Bas et le Portugal, a permis de récolter quelque 1,8 milliard de dollars pour acheter au total 500.000 obus cette année. 

Mme Cernochova voit le prochain sommet de l'Otan à Washington comme une occasion de négocier un financement supplémentaire pour cette campagne. 

"Nous connaissons encore un certain nombre de sources de munitions que nous pouvons acheter et envoyer à l'Ukraine", a-t-elle déclaré. 

12H16

Ukraine: l'armée russe revendique la prise d'un premier quartier dans la ville clé de Tchassiv Iar

Le ministère russe de la Défense a revendiqué mercredi la conquête d'un premier quartier de Tchassiv Iar, ville stratégique de l'est de l'Ukraine dont Moscou cherche à s'emparer dans l'espoir de faciliter une percée.

Les troupes russes ont "libéré le quartier Noviï" de la localité de Tchassiv Iar, dans la région de Donetsk, a indiqué le ministère dans un communiqué.

Il n'était toutefois pas clair dans l'immédiat si les soldats russes ont réussi à franchir le canal qui sépare une partie de ce quartier périphérique du reste de la ville.

Tchassiv Iar, qui est située sur des hauteurs, est une porte vers les grandes cités minières du Donbass, en premier lieu Kramatorsk, principale ville encore sous contrôle ukrainien dans la région.

L'Ukraine avait admis ces dernières semaines que la situation était difficile pour ses troupes, et avait envoyé des renforts sur place.

La chaîne Telegram DeepState, proche des militaires ukrainiens, a affirmé que ce quartier de Tchassiv Iar avait été "complètement rasé", et que s'obstiner à le tenir ne mènerait qu'à "des pertes accrues".

"Le retrait du quartier est donc une décision logique, bien que difficile", a affirmé cette chaîne.

Tchassiv Iar est à une dizaine de kilomètres de Bakhmout, dont l'armée russe s'est emparée en mai 2023 au prix d'une bataille particulièrement meurtrière et destructrice.

Depuis l'automne 2023, la Russie a l'initiative sur le front, à la faveur d'une armée ukrainienne en sous-effectif et en manque de munitions.

Les forces russes grignotent du terrain depuis des mois, sans pour autant parvenir à percer les lignes ukrainiennes pour arracher une victoire militaire.

11h18
Donbass

Moscou revendique la prise d'un quartier à Tchassiv Yar

Les troupes russes ont "libéré le quartier Noviï" de la localité de Tchassiv Iar, dans la région de Donetsk, a indiqué le ministère dans un communiqué. Il n'était toutefois pas clair dans l'immédiat si les soldats russes ont réussi à franchir le canal qui sépare une partie de ce quartier périphérique du reste de la ville.

Tchassiv Iar, qui est située sur des hauteurs, est une porte vers les grandes cités minières du Donbass, en premier lieu Kramatorsk, principale ville encore sous contrôle ukrainien dans la région. L'Ukraine a admis ces dernières semaines que la situation était difficile pour ses troupes, et avait envoyé des renforts sur place.

La chaîne Telegram DeepState, proche des militaires ukrainiens, a affirmé que ce quartier de Tchassiv Iar a été "complètement rasé", et que s'obstiner à le tenir ne mènerait qu'à "des pertes accrues". "Le retrait du quartier est donc une décision logique, bien que difficile", a affirmé cette chaîne.

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10h00
"Agent de l'étranger"

Le Français, Laurent Vinatier, arrêté en juin, a reconnu sa culpabilité, selon le FSB

Laurent Vinatier, 47 ans, employé de l'organisation non gouvernementale (ONG) suisse Centre pour le dialogue humanitaire (HD), a été placé en détention provisoire à Moscou le 7 juin. Les enquêteurs russes l'accusent de ne pas s'être enregistré comme "agent de l'étranger", ainsi que de collecter des informations militaires.

(Re)voir Russie : un français soupçonné d'espionnage arrêté à Moscou

"Dans le cadre de ses visites à Moscou, L. Vinatier a établi de nombreux contacts avec des représentants des milieux d'experts et de scientifiques (politologues, sociologues, économistes, experts militaires), ainsi qu'avec des fonctionnaires, ont indiqué les services de sécurité russes (FSB) dans un communiqué. En communiquant avec ces personnes, le Français a notamment collecté des informations militaires et militaro-techniques qui pourraient être utilisées contre la sécurité de la Fédération de Russie par des services spéciaux étrangers."

Lors d'un interrogatoire, "le citoyen français a entièrement reconnu sa culpabilité", assure le FSB. Pour l'heure, le seul chef d'accusation retenu contre lui est de ne pas s'être enregistré comme "agent de l'étranger" en tant que "personne qui a collecté exprès des informations sur les activités militaires et militaro-techniques de la Fédération de Russie."

La législation sur les "agents de l'étranger" est largement utilisée par les autorités russes pour réprimer ou surveiller leurs détracteurs. Le délit est passible de cinq ans de prison.

Si jamais les accusations sont requalifiées en "espionnage", le Français risquera des peines bien plus lourdes allant jusqu'à 20 ans de prison.

09h30
"Attaque massive"

Attaque russe meurtrière sur Dnipro

"Quatre morts à la suite d'attaque russe de ce matin. Vingt-sept personnes ont été blessés", selon le gouverneur régional, Serguiï Lyssak, sur les réseaux sociaux. Parmi les blessés, onze ont été hospitalisés dont deux dans un état grave, a-t-il ajouté. Le précédent bilan officiel de cette attaque faisait état de trois morts et 18 blessés.

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Les frappes russes ont endommagé un centre commercial et une station-service, a ajouté de son côté le président de l'assemblée régionale, Mykola Loukachouk, dénonçant une "attaque massive." Selon des médias ukrainiens, il s'agit d'un centre commercial qui a déjà été touché par un missile russe fin décembre dernier. 

Mercredi matin, la Russie a lancé sept missiles guidés et de croisière, cinq drones explosifs et un sixième de reconnaissance sur la région de Dnipropetrovsk dont Dnipro est la capitale, a indiqué de son côté le commandant de l'armée de l'air ukrainienne. La défense aérienne a réussi à détruire cinq missiles et la totalité de drones, a assuré le commandant, Mykola Olechtchouk, dans un communiqué.

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Une journée de deuil a été annoncée pour jeudi par la mairie de la ville.

09h45
Bataille navale

Moscou affirme avoir repoussé une attaque de drones navals ukrainiens

"Deux navires sans équipage voyageant en direction de Novorossiïsk ont été détruits en mer Noire", a indiqué le ministère russe de la Défense. Il a diffusé des images de cette bataille navale nocturne au large de cette ville portuaire. Le ministère, comme à son habitude, n'a pas évoqué d'éventuels dégâts.

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L'attaque de drones navals nocturnes de la nuit démontre que Kiev à la capacité d'envoyer ces appareils de surface jusqu'aux côtes russes, ceux-ci étant difficilement repérables au ras des flots. 

L'offensive a eu lieu à des centaines de kilomètres des zones sous contrôle ukrainien, et ces appareils ont donc dû traverser des secteurs de la mer Noire où la Russie est censée avoir la suprématie. Ils ont notamment dû contourner la péninsule de Crimée, territoire ukrainien annexé par la Russie en 2014.

Selon des images satellitaires analysées par des experts et des médias, les succès en mer des Ukrainiens ont forcé la Russie à déménager une large partie de sa flotte de la mer Noire de Sébastopol vers Novorossiïsk. 

Le Kremlin n'a quant à lui pas souhaité commenter l'attaque ukrainienne. Les agences russes se bornent à dire que le président, Vladimir Poutine, actuellement en déplacement au Kazakhstan, a été informé. 

(Re)voir Ukraine/Russie : la bataille de la mer Noire

09h00
Préparatifs d'offensives

L'armée russe fait montre d'un "niveau plus développé de planification opérationnelle", selon l'ISW

Dans son rapport quotidien, l'Institut pour l'étude de la guerre (ISW), n'observe aucun changement sur les différents fronts de la guerre. En outre, l'ISW, qui suit le conflit au jour le jour, relève que "le commandement militaire russe peut avoir l'intention de tirer parti de la poussée de Toretsk en cours pour créer des possibilités opérationnelles d'avancées dans les zones de Tchasiv Yar ou d'Avdiivka.

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Le think thank américain note que l'armée russe progresse dans sa planification. "Les préparatifs russes qui peuvent soutenir de multiples plans de branches futures suggèrent un niveau plus développé de planification opérationnelle et de prévoyance que le commandement russe s'est montré capable d'exécuter jusqu'à présent dans la guerre depuis le début de 2022. La capacité de cette planification opérationnelle à porter ses fruits sera toutefois limitée par les faibles capacités tactiques globales des forces russes qui combattent actuellement dans ces zones."

Qui anime ce direct ?

Avec AFP