Le général qui a renversé le président Ali Bongo Ondimba au Gabon il y a deux jours poursuit à un rythme effréné les rencontres avec "les forces vives de la Nation" et le corps diplomatique après avoir mis en garde des entrepreneurs accusés de corruption.
L'armée dit avoir perpétré son putsch parce que les résultats proclamant d'Ali Bongo réélu avaient été truqués et que son régime était marqué par une "gouvernance irresponsable et imprévisible" ainsi que par la corruption.