Direct terminé le 22 juillet à 20H15 TU
Direct commencé le 22 juillet à 14H00 TU

DIRECT - La Russie abat 75 drones ukrainiens

La Russie annonce avoir intercepté et détruit 75 drones cette nuit, dont 47 au dessus de la région de Rostov, frontalière de l'Ukraine. Un incendie s'est déclaré dans une raffinerie de pétrole à Touapsé, une ville de la mer noire suite à une chute de débris de drone. L'Ukraine revendique une attaque de drones contre cette raffinerie.

Partager
Image
Capture d'écran d'une vidéo montrant un drone ukrainien s'abattant sur la raffinerie de Touapsé, dans le sud ouest de la Russie.

Capture d'écran d'une vidéo montrant un drone ukrainien s'abattant sur la raffinerie de Touapsé, dans le sud ouest de la Russie.

© Reuters video
11
nouvelle(s) publication(s)
18H00
Droits de l'homme

Washington appelle à la libération de la journaliste russo-américaine Alsu Kurmasheva

Les États-Unis ont réitéré leur appel à la libération de la journaliste russo-américaine Alsu Kurmasheva, condamnée à six ans et demi de prison pour des écrits sur l'offensive russe en Ukraine.

La journaliste russo-américaine Alsu Kurmasheva, lors d'une audition dans un tribunal de Kazan le 31 mai 2024.

La journaliste russo-américaine Alsu Kurmasheva, lors d'une audition dans un tribunal de Kazan le 31 mai 2024. 

© AP Photo


"Il s'agit d'une journaliste dévouée qui est prise pour cible par les autorités russes en raison de son engagement sans compromis à dire la vérité et de ses reportages fondés sur des principes", a déclaré à la presse le porte-parole du département d'Etat, Matthew Miller, ajoutant que les États-Unis "continuent à dire très clairement qu'elle devrait être libérée".

17H32
Visite d'Orban à Poutine

Les ministres des Affaires étrangères européens ne se réuniront pas à Budapest mais à Bruxelles

Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borell, annonce que la réunion des ministres des Affaires étrangères de l'UE qui devait se tenir fin août à Budapest aura lieu à Bruxelles, en représailles à la visite de Viktor Orban à Vladimir Poutine.

Le Premier ministre hongrois a suscité colère et incompréhension au sein de l'Union européenne en rendant visite au président russe début juillet, une démarche présentée comme "une initiative de paix" qui n'avait pas été concertée avec les autres dirigeants de l'UE.

Je refuse le mot de boycott, la réunion informelle aura bien lieu avec la participation de tous les Etats membres. Josep Borrell, chef de la diplomatie européenne

La Hongrie occupe depuis le 1er juillet - et pour six mois - la présidence tournante du Conseil de l'UE, une fonction de coordination des travaux législatifs. "Nous devons envoyer un signal, même s'il est symbolique, pour signifier que se positionner contre le politique étrangère de l'Union européenne (...) a des conséquences", a expliqué Borrell depuis Bruxelles. "C'est une mesure symbolique", a-t-il insisté. "Je refuse le mot de boycott, la réunion informelle aura bien lieu avec la participation de tous les États membres", a-t-il poursuivi.

Pour protester contre les initiatives de Viktor Orban, la Commission européenne a annoncé que ses commissaires ne participeraient pas aux multiples réunions prévues en Hongrie jusqu'à la fin de l'année. L'institution sera représentée "uniquement au niveau des hauts fonctionnaires".

Dans une résolution approuvée à une très large majorité, la Parlement a par ailleurs condamné la visite de Viktor Orban à Moscou, jugeant qu'elles constituait une "violation flagrante des traités et de la politique étrangère commune de l'UE". Le Premier ministre hongrois critique les sanctions contre la Russie et l'aide militaire à Kiev et a constamment cherché à freiner les efforts de l'UE dans ces domaines.
 

15H41
Dette

L'Ukraine annonce un accord sur la restructuration d'une partie de sa dette

L'Ukraine annonce avoir conclu un accord préliminaire sur la restructuration d'une partie de sa dette pour un montant de 20 milliards de dollars, alors que le pays fait face depuis deux ans et demi à une invasion russe.

Selon le ministère ukrainien des Finances, Kiev est parvenu à "un accord de principe" avec un groupe de créanciers privés internationaux pour restructurer treize séries d'euro-obligations, une mesure qui permettra au pays d'économiser 11,4 milliards de dollars au cours des trois prochaines années et 22,75 milliards d'ici 2033. "Les fonds libérés soutiendront la stabilité macro-financière de l'Ukraine, ce qui nous permettra de financer les besoins les plus urgents face à l'invasion russe", a indiqué le ministre des Finances Serguiï Martchenko sur X.
Selon lui, le gouvernement ukrainien a déployé des "efforts considérables pour faire aboutir cette décision", après des négociations avec un groupe représentant environ un quart des détenteurs privés d'obligations. 

Ce groupe s'est félicité dans un communiqué d'être parvenu "à un accord rapide et constructif avec le gouvernement" ukrainien. "Nous sommes heureux de pouvoir fournir un allègement significatif de la dette à l'Ukraine, de l'aider dans ses efforts pour retrouver son accès aux marchés internationaux des capitaux et de soutenir la reconstruction future du pays", a-t-il affirmé dans le communiqué.

Le Premier ministre Denys Chmygal a lui indiqué que la restructuration de la dette ukrainienne permettra de "libérer des ressources pour la défense, les dépenses sociales et la reconstruction".
L'Ukraine a bénéficié depuis le début de l'invasion russe en 2022 d'un important soutien financier international, mais a également dû s'endetter pour assurer sa défense, maintenir les services publics à flot, payer les salaires de fonctionnaires et assurer la prise en charge des déplacés internes.

13H55
Droits de l'homme

Alsu Kurmasheva condamnée à six ans et demi de prison

La journaliste russo-américaine Alsu Kurmasheva a été condamnée vendredi à six ans et demi de prison pour diffusion de fausses informations sur l'armée russe en Ukraine, a affirmé la justice russe lundi qui n'avait annoncé la tenue du procès.

"Ce procès secret et cette condamnation sont une parodie de justice. La seule conclusion juste serait la libération immédiate d'Alsu", a réagi Stephen Capus, le président de Radio Free Europe/Radio Liberty, le média américain qui emploie la journaliste.

13H05
JO-2024

La Russie "pays paria" aux JO de Paris

Bannie en tant que nation, la Russie ne diffusera pas les Jeux chez elle, selon les médias russes, une décision aux airs de Guerre froide, depuis le boycott par Moscou des JO de Los Angeles en 1984.
Pendant des décennies, la Russie s'est appuyée sur le sport comme instrument de prestige international. Les JO 2024 en France resteront comme une tache dans son histoire olympique, Moscou n'étant représenté que par une petite équipe de 15 athlètes, concourant sous bannière neutre.
"La Russie ne sera que l'ombre d'elle-même aux JO de Paris", résume Jules Boykoff, spécialiste des JO basé aux États-unis. "Le passage de puissance olympique à pays paria a été rapide et frappant", ajoute-t-il.

Alors que la guerre en Ukraine, déclenchée par l'invasion russe en février 2022, continue de faire rage, les athlètes Ukrainiens se sont vu recommander par leurs responsables sportifs d'éviter les Russes à Paris.
Kiev paye aussi un lourd tribut sportif à cette guerre : plus de 450 sportifs ukrainiens de haut niveau ont été tués depuis l'agression russe.

L'histoire sportive internationale de la Russie est jalonnée par de nombreuses violations de la tradition olympique. En 2008, Moscou avait brisé la trêve des Jeux qui se déroulaient alors à Pékin, en lançant une guerre contre la Géorgie. En 2014, quelques mois après les JO de Sotchi, surviennent les premières révélations sur le dopage dans le sport en Russie, qui aboutiront à la mise en lumière en 2016 d'un système de dopage institutionnalisé. En réponse, Moscou sera sanctionné par les instances olympiques internationales et ses athlètes contraints de concourir sous bannière neutre aux JO de Pyongchang (2018), de Tokyo (2021), et de Pékin (2022). Pour autant, ils ont réalisé de bonnes performances lors de ces rendez-vous mondiaux, notamment aux JO d'été de Tokyo, où plus de 330 athlètes russes participent et rapportent 71 médailles, dont 20 en or.

Les JO de Pékin se terminaient à peine quand Moscou a lancé l'invasion à grande échelle de son voisin ukrainien, le 24 février 2022. En réponse, le CIO a banni les athlètes de la Russie et de son allié bélarusse des compétitions sportives internationales, avant de décider finalement qu'ils seraient autorisés à participer aux JO de Paris, mais sous bannière neutre, et à condition qu'ils ne soutiennent pas l'invasion russe et n'aient pas de lien avec l'armée. Les sportifs russes seront exclus de la cérémonie d'ouverture vendredi sur la Seine. Moscou a fustigé une discrimination "sans précédent" contre ses athlètes, dont certains ont d'ailleurs décidé de ne pas participer bien qu'ayant été autorisés par les instances sportives.

Seuls quinze athlètes russes ont accepté l'invitation à Paris, dont sept joueurs de tennis parmi lesquels le demi-finaliste de Wimbledon 2023, Daniil Medvedev, et la jeune révélation de 17 ans Mirra Andreeva.
Les autres sont des cyclistes, des nageurs, des kayakeurs et des trampolinistes.
Les lutteurs et judokas ont décidé de boycotter les Jeux. En Russie, la compétition internationale est devenue la cible d'une propagande agressive, certains dirigeants sportifs qualifiant de "traîtres" et "d'équipe de sans-abri" les athlètes ayant accepté l'invitation à Paris.
 

12H22
JO-2024

Le Kremlin juge "inacceptable" un refus d'accréditation de journalistes russes

Le Kremlin juge "inacceptable" le refus d'accréditation dont a fait état l'agence de presse russe Ria Novosti concernant cinq de ses journalistes sportifs qui devaient couvrir les JO-2024 en France, en pleines tensions entre Paris et Moscou.

"Nous considérons cette décision comme étant inacceptable et une violation de la liberté de la presse", a affirmé le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien.
L'agence d'Etat Ria Novosti affirme que cinq de ses journalistes s'étaient vu refuser leurs demandes d'accréditation envoyées au comité d'organisation des Jeux.

Le comité a expliqué, selon un message cité par Ria Novosti, que leurs demandes avaient été rejetées après consultation, en vertu du "code de sécurité intérieure" français de "l'organe administratif compétent", qui a émis un "avis défavorable". Selon le comité, toujours cité par Ria Novosti, cet organe est composé d'employés des ministères de l'Intérieur et des Affaires étrangères français.

Ces refus sont motivés par des raisons sécuritaires similaires évoquées, début mai, pour rejeter la candidature de bénévoles russes et bélarusses aux JO. Le ministre français de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a affirmé dans une interview au Journal du Dimanche, diffusée samedi 20 juillet, que Paris avait refusé d'autoriser l'accès aux JO à "moins d'une centaine de personnes" suspectées de vouloir mener des activités d'ingérence. Ces personnes recalées se présentaient "sous différentes couvertures - Journalistes, staffs techniques, kinés...", a affirmé le ministre, précisant qu'elles venaient de Russie, de Bélarus, "mais aussi d'autres pays". "Outre le renseignement et le traditionnel espionnage, il y a la possibilité d'accéder à des portes d'entrées dans les réseaux informatiques pour mener une cyberattaque", a expliqué Gérald Darmanin. "Nous avons par exemple refusé des 'journalistes' en grand nombre, qui prétendaient couvrir les Jeux. En revanche, nous avons accepté la présence de Russes qui travaillent pour le Comité international olympique (CIO). Nous appliquons le principe de précaution", a-t-il poursuivi.

Les relations entre Paris et Moscou sont actuellement très tendues du fait du conflit en Ukraine. A l'instar des États-Unis et de la presque totalité des pays européens, la France est un soutien actif de Kiev face à l'offensive russe. Si Paris a tenté de maintenir une forme de dialogue avec la Russie au début de l'attaque à grande échelle contre l'Ukraine, elle a durci ses positions à l'égard de Moscou début 2024.
 

09H00
Diplomatie

Le chef de la diplomatie bélarusse en visite en Corée du Nord

Le chef de la diplomatie du Bélarus doit effectuer une visite en Corée du Nord cette semaine du 23 au 25 juillet, a annoncé lundi Minsk, au moment où son allié russe renforce ses liens avec Pyongyang.
Dans un communiqué, le ministère bélarusse des Affaires étrangères a annoncé que Maxime Ryjenkov mènerait une délégation lors d'une visite officielle à l'invitation de la Corée du Nord.

Le président bélarusse Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 30 ans, est le plus proche allié de la Russie, prêtant même son territoire à l'armée russe pour envahir l'Ukraine voisine en février 2022.
Le Bélarus, visé par de nombreuses sanctions occidentales à cause de son aide à la Russie et de la répression sans merci de l'opposition, a aussi accepté que Moscou déploie ses armes nucléaires tactiques.

Le Bélarus est aussi un producteur d'engrais, de produits agricoles et de tracteurs et cherche des débouchés. Dans la foulée de l'invasion de l'Ukraine, Moscou a opéré un grand rapprochement avec la Corée du Nord, accusée de lui avoir fourni d'importantes quantités de munitions pour mener sa guerre contre l'Ukraine.

Le président russe Vladimir Poutine a ainsi été reçu en grande pompe en juin à Pyongyang et les deux pays ont signé un accord de défense mutuelle, un avertissement très clair adressé aux Occidentaux.
Le Bélarus, comme la Russie, entretient également d'excellentes relations avec la Chine.

L'armée chinoise a par exemple mené mi-juillet une série d'exercices militaires conjoints avec l'armée bélarusse à Brest, au sud-ouest du pays, à la frontière de la Pologne et donc de l'Otan.
Début juillet, Minsk est par ailleurs devenu le 10e membre de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), rejoignant la Russie, la Chine et d'autres pays aux relations tendues avec l'Occident.

07H55
Diplomatie

Le chef de la diplomatie ukrainienne en Chine du 23 au 25 juillet

Le chef de la diplomatie ukrainienne Dmytro Kouleba se rend du 23 au 25 juillet en Chine, alliée de la Russie, pour des discussions sur les moyens de mettre fin à la guerre entre Kiev et Moscou.
"Le principal sujet de discussion va être la recherche de moyens pour arrêter l'agression russe et le rôle de la Chine pour arriver à une paix durable et juste", a indiqué le ministère ukrainien des Affaires étrangères dans un communiqué. Les autorités chinoises ont confirmé la venue de Kouleba.
Pékin est un allié de premier plan de la Russie, les deux pays étant unis dans leur rivalité face aux Occidentaux.

Le président chinois Xi Jinping s'est gardé ainsi depuis deux ans et demi de condamner l'invasion russe. Mais la Chine défend aussi le principe de l'intégrité territoriale des Etats, ce qui inclut donc l'Ukraine.
Les autorités chinoises n'ont pas participé non plus en juin à un sommet sur la paix en Ukraine, organisé par Kiev en Suisse, pour protester contre l'absence de la Russie qui n'avait pas été conviée.

Les autorités ukrainiennes veulent désormais élaborer un plan en vue d'une paix "juste" et comptent inviter Moscou à participer à un deuxième sommet. La Russie demande elle de facto la capitulation de l'Ukraine pour mettre fin à la guerre, réclamant que Kiev renonce à son alliance avec l'Occident et accepte de lui céder les cinq régions qu'elle occupe totalement ou partiellement.

05H44
Drones ukrainiens

La Russie annonce avoir abattu 75 drones ukrainiens

La Russie annonce ce lundi avoir abattu 75 drones ukrainiens dans la nuit dont 47 dans la seule région méridionale de Rostov, une attaque ayant entraîné un incendie dans une raffinerie selon les autorités locales.
"Les défenses antiaériennes ont intercepté et détruit 47 drones au-dessus de la région de Rostov", frontalière de l'Ukraine, a indiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram.
Selon cette source, un autre a été éliminé au-dessus de celle de Belgorod, un au-dessus de celle de Voronej, un au-dessus de celle de Smolensk et huit au-dessus de celle de Krasnodar, ainsi que 17 drones au-dessus des mers Noire et d'Azov.

Un incendie s'est déclaré dans une raffinerie de pétrole de Touapsé, une ville au bord de la mer Noire dans la région de Krasnodar (sud-ouest), du fait de "la chute de débris de drone", ont indiqué les autorités régionales sur Telegram.

TV5 JWPlayer Field
Chargement du lecteur...

"Le régime de Kiev a de nouveau essayé d'attaquer avec des drones une infrastructure civile de Touapsé", a dénoncé cette source, précisant que près d'une centaine de secouristes avaient été déployés pour éteindre les flammes, qui, selon des informations préliminaires, n'ont pas fait de victimes.

La Russie annonce quasi-quotidiennement avoir détruit des drones ukrainiens lancés contre son territoire. Kiev dit mener ces frappes en réponse aux bombardements russes qui endeuillent l'Ukraine depuis plus de deux ans et viser en priorité des cibles militaires et industrielles.

02H00
JO-2024

De nombreuses stars internationales absentes des JO de Paris

Double champion olympique de natation à Tokyo sur 100 et 200 m dos, Evgeny Rylov ne fera pas partie des 15 athlètes russes concourant sous bannière neutre à Paris. Le nageur de 27 ans a dit renoncer aux JO pour ne pas "s'abaisser au niveau des provocateurs occidentaux", un ton dans la ligne du Kremlin. Sergent de police à Lobnia, en banlieue de Moscou, il n'avait guère de chance d'être autorisé par le CIO à concourir.

Evgeny Rylov posant avec sa médaille d'or pour les 100 mètres en dos crawlé lors des JO de Tokyo 2020, le 27 juillet 2021.

Evgeny Rylov posant avec sa médaille d'or pour les 100 mètres en dos crawlé lors des JO de Tokyo 2020, le 27 juillet 2021. 

© AP Photo/Matthias Schrader

Pour être invités aux Jeux, les "athlètes individuels neutres" ont dû franchir l'obstacle des qualifications suivi d'un double contrôle, par les fédérations internationales puis le CIO, de leur absence de soutien actif à la guerre en Ukraine et de lien avec l'armée de leur pays.

23H54
Diplomatie

Zelensky remercie Biden pour ses "mesures courageuses" sur l'Ukraine

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a remercié son homologue américain Joe Biden pour les "mesures courageuses" qu'il a prises pour soutenir l'Ukraine, saluant sa décision "difficile" mais "forte" de ne pas se représenter.

"La situation actuelle en Ukraine et dans toute l'Europe n'en est pas moins difficile, et nous espérons sincèrement que le leadership fort et continu de l'Amérique empêchera la réussite du mal russe ou que son agression (finisse par) payer", a écrit Zelensky sur le réseau social X.

Qui anime ce direct ?

AFP