Le chancelier Olaf Scholz exclut l'option d'un scrutin législatif anticipé. C'est ce qu'a déclaré son porte-parole ce 10 juin.
L'idée d'élections anticipées, réclamées par l'extrême droite et des ténors conservateurs, n'a été envisagée «à aucun moment, pas une seconde», a précisé Steffen Hebestreit, et ce malgré un résultat «peu satisfaisant» des trois partis de la coalition gouvernementale rassemblant les sociaux-démocrates du chancelier, les Verts et les libéraux.