Direct terminé à 20h25
05H40

DIRECT - Les équipements médicaux «volontairement détruits» dans les hôpitaux de Gaza selon l’ONU

La situation reste tendue au Moyen Orient après une attaque de représailles contre l'Iran attribuée à Israël. 

La communauté internationale appelle à la retenue dans la région, tandis que les frappes aériennes continuent dans différents secteurs de la bande de Gaza, où les hôpitaux, en ruine, peinent à soigner la population. Les soins de santé maternelle et infantile sont particulièrement touchés.

Les horaires sont donnés en temps universel. 

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hopital gaza

Des ambulanciers palestiniens inspectent les dégâts causés par les frappes israéliennes sur la maternité de l'hôpital Nasser dans la ville de Khan Younis, dans le sud de la bande de Gaza, le dimanche 17 décembre 2023.

AP Photo/Mohammed Dahman
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20H15

Israël convoque les ambassadeurs des pays ayant voté pour un "Etat palestinien" à l'ONU

Le ministère israélien des Affaires étrangères a annoncé la convocation dimanche des ambassadeurs des pays du Conseil de sécurité ayant voté en faveur de l'adhésion pleine et entière des Palestiniens aux Nations unies.

"Les ambassadeurs de France, du Japon, de la Corée du Sud, de Malte, de la République slovaque et de l'Equateur seront convoqués demain" et "une vive protestation leur sera exprimée", a indiqué le ministère sur son compte X.

Une protestation sera également présentée aux ambassades des pays ayant voté pour la proposition algérienne, qui a été rejetée, visant à améliorer le statut des Palestiniens qui ont depuis 2012 le statut inférieur "d'Etat non membre observateur".

Selon le ministère, le message adressée aux ambassadeurs est le suivant: "Un geste politique aux Palestiniens et un appel à reconnaître un Etat palestinien --six mois après le massacre du 7 octobre-- est une prime au terrorisme".

"Israël n'acceptera pas l'établissement d'un Etat terroriste qui mette en danger ses citoyens", a-t-il ajouté.

Les Palestiniens demandaient au Conseil de sécurité d'accepter qu'un "Etat palestinien" déjà reconnu par la majorité des capitales prenne sa place "légitime" au sein des Nations unies.

Mais lors du vote jeudi, les Etats-Unis, qui ont tout fait pour retarder le vote, n'ont pas hésité à recourir à leur droit de veto, qu'ils utilisent régulièrement pour protéger leur allié israélien.

19H50

Raid israélien en Cisjordanie: le Croissant rouge palestinien annonce 14 morts

Le Croissant rouge palestinien a annoncé samedi que 14 personnes avaient été tuées dans un raid israélien qui a débuté jeudi soir sur le camp de Nour Shams, près de Tulkarem en Cisjordanie occupée. 

L'armée israélienne avait dit plus tôt samedi avoir tué dix personnes et arrêtés huit autres dans un raid "antiterroriste". Samedi soir, 48 heures après son incursion dans ce camp cible fréquente de ces raids souvent meurtriers, l'armée s'est retirée.

19H00

L'aide américaine à Israël "défend la civilisation occidentale", dit Netanyahu

Le vote d'une nouvelle aide militaire américaine de plusieurs milliards de dollars pour Israël "défend la civilisation occidentale", a estimé samedi le Premier ministre israélien, sur fond de guerre avec le Hamas palestinien et de tensions croissantes avec l'Iran.

"Le Congrès américain vient d'adopter à une écrasante majorité un projet de loi d'aide très apprécié qui témoigne d'un soutien bipartisan fort à Israël et défend la civilisation occidentale", a écrit Benjamin Netanyahu sur X.

"Merci à nos amis, merci à l'Amérique!", a-t-il ajouté.

Son chef de la diplomatie s'est également félicité du vote à la Chambre américaine des représentants alors que l'armée israélienne est mobilisée depuis plus de six mois dans la bande de Gaza contre le Hamas et sur la frontière libanaise où les échanges de tirs avec le Hezbollah pro-iranien sont quasi-quotidiens.

Ce vote "prouve les liens étroits et le partenariat stratégique entre Israël et les Etats-Unis et envoie un message fort à nos ennemis", a déclaré Israel Katz sur son compte X.

Israël est également engagé dans un bras-de-fer avec l'Iran, son ennemi juré. En représailles à une frappe sur son consulat le 1er avril à Damas et attribuée à Israël, Téhéran a lancé il y a une semaine un déluge de drones et de missiles sur le territoire israélien.

Grâce à l'aide de son allié américain, de la France, de l’Allemagne, du Royaume-Uni, mais également de la Jordanie et de l'Arabie saoudite, les projectiles iraniens ont presque tous été interceptés.

18H25

La nouvelle aide américaine est un "message fort à nos ennemis", selon Israël

Le vote à la Chambre américaine des représentants d'une nouvelle aide militaire de plusieurs milliards de dollars pour Israël, en guerre avec le Hamas palestinien à Gaza, envoie "un message fort à nos ennemis", s'est félicité samedi le chef de la diplomatie israélienne.

Ce vote "prouve les liens étroits et le partenariat stratégique entre Israël et les Etats-Unis et envoie un message fort à nos ennemis", a déclaré Israel Katz sur son compte X. Le texte doit désormais être approuvé au Sénat, où un premier vote pourrait avoir lieu dès mardi.

18H10

La Chambre américaine des représentants vote une nouvelle aide militaire à Israël

La Chambre américaine des représentants a approuvé samedi une nouvelle aide militaire de plusieurs milliards de dollars pour Israël, en guerre avec le Hamas, malgré les inquiétudes de la communauté internationale sur le sort des civils à Gaza.

Ces fonds serviront notamment à renforcer le bouclier antimissile israélien, baptisé "Dôme de fer". Le texte doit désormais être approuvé au Sénat, où un premier vote pourrait avoir lieu dès mardi.

17H00

Le Hezbollah annonce la mort de trois de ses combattants dans une frappe israélienne

Trois combattants du Hezbollah ont été tués samedi lors d'un raid israélien sur une maison où ils se trouvaient dans le sud du Liban, a annoncé le mouvement libanais.

"Trois membres du Hezbollah ont été tués et deux autres grièvement blessés lors d'une frappe israélienne qui a visé une maison dans la ville d'al-Jabeen", a déclaré une source proche du Hezbollah, sous couvert d'anonymat. 

Le mouvement a ensuite confirmé ce bilan, ajoutant avoir attaqué "deux bâtiments utilisés par les soldats ennemis" dans le nord d'Israël, "en réponse aux attaques" israéliennes "contre les villages résistants du sud" du Liban.

L'agence de presse officielle libanaise ANI avait rapporté plus tôt que "des avions hostiles ont effectué un raid ciblant une maison dans la ville d'al-Jabeen" et que des ambulances "se sont rendues dans la zone". 

L'armée israélienne a pour sa part indiqué que ses soldats avaient identifié, plus tôt dans la journée, "un terroriste entrant dans une structure militaire du Hezbollah dans la région d'Ayta ash Shab". 

"L'aviation de l'armée a frappé le complexe et le terroriste qui y opérait", et a également visé "l'infrastructure terroriste du Hezbollah dans la région de Kfarkela", dans le sud du Liban, selon la même source.

Depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza il y a plus de six mois, des échanges de tirs opposent quotidiennement l'armée israélienne au Hezbollah, allié du mouvement islamiste palestinien. 

Ces derniers jours, le mouvement chiite a intensifié ses attaques contre des positions militaires israéliennes alors que le Moyen-Orient est en proie à une poussée de fièvre.

Le 13 avril, l'Iran, un soutien du Hezbollah et du Hamas, a mené une attaque inédite avec des drones et des missiles contre Israël, en réponse à la destruction du consulat iranien à Damas par une frappe attribuée à Israël. 

Une attaque du Hezbollah mercredi contre un poste militaire dans le nord d'Israël a blessé 14 soldats israéliens, selon l'armée. 

En tout, les échanges de tirs entre Israël et le Hezbollah depuis le début de la guerre à Gaza le 7 octobre ont fait 375 morts du côté libanais, essentiellement des combattants du mouvement libanais ainsi que quelque 70 civils.

Dans le nord d'Israël, dix soldats et huit civils ont été tués d'après l'armée. Des dizaines de milliers d'habitants ont dû fuir la zone de part et d'autre de la frontière.

15H15

L'Autorité palestinienne va "réexaminer sa relation" avec les Etats-Unis après leur veto à l'ONU, selon Mahmoud Abbas

Mahmoud Abbas a annoncé samedi que l'Autorité palestinienne allait "réexaminer sa relation" avec Washington après le veto américain jeudi à l'adhésion des Palestiniens aux Nations unies.

"La direction palestinienne va réexaminer les relations bilatérales avec les Etats-Unis pour garantir la préservation des intérêts de notre peuple, de notre cause et de nos droits", a déclaré le président Abbas dans un entretien à l'agence de presse palestinienne Wafa.

Les Palestiniens, qui ont depuis 2012 le statut inférieur "d'Etat non membre observateur" à l'ONU, demandaient au Conseil de sécurité d'accepter qu'un "Etat palestinien" déjà reconnu par la majorité des capitales prenne sa place "légitime" au sein des Nations unies.

Mais les Etats-Unis, qui ont tout fait pour retarder le vote, n'ont pas hésité à recourir à leur droit de veto qu'ils utilisent régulièrement pour protéger leur allié israélien.

Le veto américain a "suscité une colère sans précédent parmi les Palestiniens et les populations de la région, poussant potentiellement la région vers plus d'instabilité, de chaos et de terrorisme", a averti le président Abbas.

Aussi l'Autorité palestinienne va-t-elle "élaborer une nouvelle stratégie" pour affirmer ses choix "de façon indépendante et suivre un projet palestinien plutôt qu'une vision américaine", a-t-il poursuivi.

14H30

Erdogan appelle les Palestiniens "à l'unité" après sa rencontre avec Haniyeh

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a appelé samedi les Palestiniens "à l'unité" face à Israël, au terme de sa rencontre avec le chef du Hamas Ismaïl Haniyeh à Istanbul.

"Il est vital que les Palestiniens agissent dans l'unité dans ce processus; la réponse la plus forte à Israël et le chemin vers la victoire passent par l'unité et l'intégrité", a déclaré le chef de l'Etat selon un communiqué de la présidence turque.

Après les tensions récentes entre Israël et l'Iran, M. Erdoğan a souligné que "ce qui s'est passé ne devait pas faire gagner du terrain à Israël et qu'il est important d'agir de façon à conserver l'attention sur Gaza", poursuit le texte.

Enfin, toujours selon le communiqué, le chef de l'Etat a également assuré que la Turquie "poursuivrait son aide humanitaire à la Palestine afin de soulager autant que possible les souffrances" de la population de Gaza.

La Turquie qui est l'un des principaux pays à envoyer de l'aide à la population du territoire palestinien a déjà fait parvenir 45.00 tonnes de vivres et de médicaments dans la région.

M. Erdogan a également rappelé que son pays avait pris "un certain nombre de sanctions contre Israël, y compris des restrictions commerciales", ces dernières depuis le 9 avril. 
 

14H05

Fin de la rencontre entre MM. Haniyeh et Erdogan à Istanbul

La réunion entre le chef du Hamas Ismaïl Haniyeh et le président turc Recep Tayyip Erdogan a pris fin samedi à Istanbul au terme de plus de 2H30 d'entretien, ont rapporté les médias turcs.

M. Haniyeh a été reçu au palais de Dolmabahce avec sa délégation, dont l'un des leaders du mouvement palestiniens Khaled Mechaal, selon les photos diffusées par la présidence turque.

13H15

Gaza : une frappe israélienne tue neuf membres d'une famille à Rafah (Défense civile)

Une frappe israélienne a fait neuf morts, dont six enfants, tous membres de la même famille, dans la nuit de vendredi à samedi à Rafah, dans l'extrême sud de la bande de Gaza, a affirmé la Défense civile du territoire palestinien.

"Neuf martyrs, dont six enfants, ont été extraits des décombres après que l'aviation israélienne a frappé une maison de la famille Radwan à Tal al-Sultan à Rafah", a déclaré le porte-parole de la Défense civile de Gaza, Mahmoud Bassal, dans un communiqué transmis à l'AFP.

Six enfants âgés de un à 16 ans figurent parmi les morts, ainsi que deux femmes et un homme, a précisé l'hôpital Al-Najjar où ils avaient été admis.

A l'extérieur de l'hôpital, un journaliste de l'AFP a vu des proches pleurer les défunts et se recueillir devant de petits sacs mortuaires en plastique blanc. Une femme a caressé le front d'un garçon mort alors que des avions grondaient au-dessus d'elle.

"Les gens dormaient paisiblement", a témoigné un voisin, Abou Mohammed Ziyadah. "Comme vous pouvez le voir, il n'y avait pas de combattants, pas même d'hommes adultes, à l'exception du chef de famille. Il n'y avait que des femmes et des enfants", a-t-il dit sur place à l'AFP.

Peu après le début de la guerre dans la bande de Gaza, le 7 octobre, Israël a demandé aux Palestiniens vivant dans le nord du territoire de se rendre dans des "zones de sécurité" situées dans le sud, comme Rafah.

Six mois plus tard, Rafah est sous la menace d'une offensive terrestre imminente. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, s'est dit déterminé à lancer l'assaut sur la ville où, selon lui, se concentrent quatre bataillons du mouvement islamiste palestinien Hamas.

Mais les ONG et un nombre croissant de chancelleries étrangères s'opposent à cette opération, craignant qu'elle ne fasse de nombreuses victimes civiles, alors que 1,5 million de Gazaouis, habitants ou déplacés, se trouvent à Rafah.

Le porte-parole de la Défense civile a souligné que des frappes avaient touché plusieurs zones à Rafah au cours de la nuit, y compris le quartier de Salam où une personne a été tuée et plusieurs autres blessées.

Il a ajouté que l'armée avait frappé une maison et une école maternelle. "La nuit a été très dure pour le gouvernorat de Rafah", a-t-il déclaré.

Les frappes et l'offensive terrestre israéliennes sur la bande de Gaza ont fait 34.049 morts, en majorité des femmes et des enfants, selon un bilan provisoire du ministère de la Santé du Hamas publié samedi.

12H30

L'armée israélienne dit avoir tué dix "terroristes" dans un raid en Cisjordanie occupée

L'armée israélienne a dit avoir tué dix personnes et en avoir arrêté huit autres lors d'un raid dans le camp de Nour-Shams, près de la ville de Tulkarem dans le nord de la Cisjordanie occupée. 

Un correspondant de l'AFP sur place a rapporté avoir entendu des explosions et des tirs samedi matin, et avoir vu une maison exploser ainsi que des drones survoler le camp. Sur des images de l'AFPTV, on peut voir des véhicules militaires et des soldats parcourir les ruelles du camp. 

"Les forces de sécurité ont éliminé dix terroristes pendant des affrontements" a indiqué l'armée dans un communiqué, ajoutant mener cette opération "depuis plus de 40 heures". 

L'armée israélienne affirme que ces incursions visent des groupes armés palestiniens, mais des civils font souvent partie des victimes. 

Le ministère de la Santé de l'Autorité palestinienne de son côté fait état de "plusieurs personnes tuées et blessées à l'intérieur du camp, mais l'armée empêche les équipes médicales de porter secours aux blessés". 

Un secouriste a été blessé par balles a ajouté la même source dans un communiqué.

Selon des habitants joints par l'AFP, il n'y a plus d'électricité, la nourriture commence à manquer, et personne ne peut entrer ni sortir du camp. 

"Le siège du camp Nour-Shams se poursuit depuis plus de 42 heures", a indiqué à l'AFP Muayad Shaaban, chef de la Commission de résistance à la colonisation et au mur. 

"Cette incursion est sans précédent (...), il y a des snipers sur les toits et des forces spéciales déployées" dans le camp, a ajouté M. Shaaban.

Parmi les victimes, Qais Fathi Nasrallah, 16 ans, est mort après avoir été "touché à la tête par des tirs israéliens" dans le camp de déplacés de Tulkarem, avaient indiqué vendredi le ministère palestinien de la Santé et l'agence de presse palestinienne Wafa. 

Salim Faisal Ghanem, 30 ans, a été "tué par les troupes israéliennes" vendredi dans le camp voisin de Nour-Shams, selon Wafa.

Les commerçants étaient en grève samedi à Tulkarem pour protester contre ce raid, d'après cette même source.

Le raid de Nour-Shams s'inscrit dans un contexte d'intensification de la violence en Cisjordanie occupée depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, déclenchée par l'attaque du Hamas du 7 octobre contre Israël.

Depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, au moins 479 Palestiniens ont été tués par les forces israéliennes ou des colons en Cisjordanie.
 

12H00

Début à Istanbul de la rencontre Haniyeh- Erdogan

La rencontre entre le chef du Hamas Ismaïl Haniyeh et le président turc Recep Tayyip Erdogan a débuté samedi peu après 14H30 locales (11H30 GMT) au palais de Dolmabahce à Istanbul, ont rapporté les médias turcs.

Le responsable palestinien était arrivé peu après 14H00 locales (11h00 GMT), selon la chaine de télévision CNN Türk, confirmée par plusieurs médias pro-gouvernementaux dont la chaine NTV, l'agence DHA et les quotidiens Hürriyet et Milliyet.

11h54
Opération militaire

L'armée israélienne dit avoir tué dix "terroristes" dans un raid en Cisjordanie occupée

L'armée israélienne a dit samedi avoir tué dix personnes et en avoir arrêté huit autres lors d'un raid dans le camp de Nour Shams, près de la ville de Tulkarem au nord de la Cisjordanie occupée. 

"Les forces de sécurité ont éliminé 10 terroristes pendant des affrontements" a indiqué l'armée dans un communiqué, ajoutant mener cette opération "depuis plus de 40 heures". L'armée israélienne affirme que ces incursions visent des groupes armés palestiniens, mais des civils font souvent partie des victimes. 

09h47
Alliance

Le chef du Hamas à Istanbul pour rencontrer Erdogan

Le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, est à Istanbul pour rencontrer le chef de l'État turc Recep Tayyip Erdogan, soutien de longue date du mouvement palestinien.

M. Erdogan a confirmé vendredi cette visite, la première en tête-à-tête depuis juillet 2023, tout en restant extrêmement discret sur son objet : "Gardons l'ordre du jour pour nous et M. Haniyeh" a-t-il glissé aux journalistes. La guerre dans la bande de Gaza sera au menu des entretiens, a cependant indiqué le Hamas de son côté.

La Turquie, qui se veut le fer de lance du soutien à la cause palestinienne, apporte également un appui solide et constant aux responsables du Hamas, mais s'est trouvée écartée de la médiation entre Israël et le mouvement palestinien.

(Re)lire → Proche-Orient : qui reconnaît un État palestinien ?

La visite de M. Haniyeh intervient au moment où le Qatar, qui assume un rôle pivot dans les négociations entre Israël et le Hamas, a dit vouloir "réévaluer" son rôle et alors que les négociations pour arracher une trêve et la libération des otages israéliens piétinnent.

08h22
Hécatombe

Le Hamas annonce un nouveau bilan de 34 049 morts

Le ministère de la Santé du Hamas a annoncé un nouveau bilan : 34 049 personnes ont été tuées dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien le 7 octobre.

(Re)voir → La situation se dégrade dans la bande de Gaza

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En 24 heures, au moins 37 morts supplémentaires ont été recensés, selon un communiqué du ministère, qui fait état de 76 901 blessés en plus de six mois de guerre.

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AFP