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DIRECT : les menaces de l'Iran contre Israël "réelles" et "crédibles", selon la Maison Blanche

Les menaces d'attaque iranienne contre Israël sont "crédibles" et "réelles", a dit vendredi un porte-parole de la Maison Blanche, qui n'a pas voulu donner plus de détails sur le moment ou les cibles.

 

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John Kirby

Le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, John Kirby, s'exprime lors d'un point de presse à la Maison Blanche, le jeudi 4 avril 2024, à Washington.

AP Photo/Evan Vucci
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19h40
États-Unis

Biden s'attend à ce que l'Iran attaque "bientôt" Israël

Joe Biden a dit vendredi qu'il s'attendait à ce que l'Iran passe "bientôt" à l'action, en réponse à une question sur les menaces iraniennes de représailles contre Israël, et a appelé Téhéran à ne pas attaquer.

"Je ne veux pas donner d'information confidentielle mais je m'attends à ce que cela soit bientôt", a dit le président américain, qui a aussi répondu à une question sur le message qu'il souhaitait adresser à Téhéran : "Ne le faites pas !"

18h40
Bombardements

Le Hezbollah annonce avoir lancé des "dizaines" de roquettes sur des positions israéliennes

Le Hezbollah libanais, soutenu par l'Iran, a annoncé vendredi avoir lancé "des dizaines de roquettes" sur des positions israéliennes, en réponse, selon lui, aux attaques israéliennes dans le sud du Liban.

Cette annonce intervient sur fond de craintes d'une riposte de l'Iran contre Israël accusé d'une frappe contre le consulat iranien à Damas qui a fait selon une ONG 16 morts parmi lesquels deux généraux des Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique d'Iran.

Les combattants du Hezbollah ont attaqué "des positions d'artillerie ennemies (...) avec des dizaines de roquettes de type Katioucha", a indiqué le mouvement dans un communiqué, ajoutant qu'il s'agissait "d'une réponse aux attaques de l'ennemi contre (...) des villages du sud et des maisons civiles".

L'armée israélienne a indiqué de son côté qu'"environ 40 tirs ont été détectés en provenance du territoire libanais, dont certains ont été interceptés"

"Aucun blessé n'a été signalé", a précisé l'armée, ajoutant qu'elle avait auparavant intercepté deux "drones explosifs du Hezbollah".

18h30
Vatican

Le pape fait part de "sa grande souffrance" dans un message à la fin du ramadan

Le pape François a fait part de sa "grande" souffrance en raison de la guerre entre Israël et le Hamas, dans un message vendredi à l'occasion de la fin du ramadan.

"Je souffre énormément à cause du conflit en Palestine et Israël", a écrit le pape, 87 ans, dans un message envoyé à la chaîne Al Arabiya pour marquer la fin du jeûne du ramadan et rendu public par le Vatican.

Puisse-t-il y avoir un cessez-le-feu immédiat dans la Bande de Gaza, où a lieu une catastrophe humanitaire. Que l'aide soit autorisée à parvenir au peuple palestinien qui souffre énormément, et que les otages capturés en octobre soient libérés.
Pape François

François a également évoqué "la Syrie en proie à la guerre, le Liban et tout le Moyen-Orient". "Assez, arrêtez", a-t-il enjoint.

15h00
Communication

Aide à Gaza : l'ONU veut une hotline directe avec l'armée israélienne

L'ONU veut pouvoir avoir une ligne directe de communication avec l'armée israélienne pour mieux se comprendre et acheminer l'aide à Gaza de manière sûre et efficace, a affirmé vendredi le coordinateur humanitaire pour les territoires palestiniens.

Plutôt que d'échanger à travers des organes de liaison, les Nations unies et autres acteurs humanitaires "doivent parler à ceux qui font feu", a déclaré Jamie McGoldrick aux journalistes à Genève, au terme d'une mission de trois mois.

S'exprimant en visioconférence depuis Jérusalem, il a expliqué qu'"en cas d'incident de sécurité grave, nous n'avons pas de hotline" avec l'armée israélienne (IDF). 

Les IDF n'ont jamais travaillé avec des acteurs humanitaires dans ce type d'environnement. Elles ne comprennent pas comment nous fonctionnons, elles ne comprennent pas notre langage et notre objectif. Et nous ne comprenons pas leurs attentes.
Jamie McGoldrick, journaliste à Genève

"Il y a un certain degré de méfiance et d'incompréhension auquel nous devons remédier. Nous voulons travailler avec eux différemment", a indiqué Jamie McGoldrick.

Il a affirmé qu'avant même les frappes israéliennes meurtrières sur de l'ONG américaine World Central Kitchen (WCK) à Gaza début avril, les humanitaires avaient expliqué à Israël que le système de notification humanitaire présentait des "défauts".

14h50
Union européenne

Attaque du 7 octobre : l'UE sanctionne le Hamas pour "violences sexuelles"

L'Union européenne a annoncé vendredi avoir sanctionné les Brigades al-Qods, branche armée du Jihad islamique, l'unité Nukhba du Hamas et les Brigades al-Qassam, branche armée du Hamas, pour des "violences sexuelles généralisées" lors de l'attaque du 7 octobre 2023 contre Israël.

Les trois entités ont "commis des violences sexuelles (...) généralisées, de manière systématique, en les utilisant comme arme de guerre", indique l'UE, qui a déjà désigné le Hamas et le Jihad islamique comme des organisations terroristes.

14h30
Risque d'offensive

Les menaces de l'Iran contre Israël "réelles" et "crédibles", selon la Maison Blanche

Les menaces d'attaque iranienne contre Israël sont "crédibles" et "réelles", a dit vendredi un porte-parole de la Maison Blanche, qui n'a pas voulu donner plus de détails sur le moment ou les cibles.

Le président Joe Biden "a été informé à de multiples reprises par son équipe de sécurité nationale" et les États-Unis entendent "faire tout ce qui est possible pour assurer qu'Israël puisse se défendre", a aussi déclaré John Kirby, porte-parole de la Maison Blanche.

15h26
Diplomatie

Israël et les Etats-Unis sont "côte à côte" face aux menaces de l'Iran

Israël et les États-Unis se tiennent "côte à côte" pour faire face à l'Iran qui menace de riposter à une récente frappe contre son consulat à Damas, a déclaré vendredi le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant.

Nos ennemis pensent qu'ils peuvent séparer Israël et les États-Unis, mais c'est le contraire qui est vrai : ils nous rapprochent et renforcent nos liens.
Yoav Gallant, ministre israélien de la Défense, dans un communiqué

13h25
Bilan humain

Deux Palestiniens tués dans un raid israélien en Cisjordanie occupée

Deux Palestiniens, dont un membre du Hamas, ont été tués dans une opération de l'armée israélienne lancée dans la nuit de jeudi à vendredi en Cisjordanie occupée, a indiqué l'armée.

L'armée a annoncé avoir éliminé Mohammed Omar Daraghmeh, "chef de l'infrastructure terroriste du Hamas dans la région de Tubas" dans le nord de la Cisjordanie.

Il avait, selon la même source, "planifié ces derniers mois d'importantes attaques terroristes contre Israël".

Lors de l'opération durant laquelle les soldats ont été visés par des tirs et des engins explosifs, un autre Palestinien a été tué, a précisé l'armée.

Des armes et "des engins explosifs qui avaient été placés sous les routes dans le but d'attaquer les forces israéliennes" ont été découverts, selon la même source.

Le nord de la Cisjordanie est un bastion des groupes armés palestiniens et le théâtre de fréquentes incursions de l'armée israélienne.

01H30

Un responsable militaire américain en Israël face aux menaces de l'Iran (Pentagone)

Un général américain chargé du Moyen-Orient se trouve en Israël pour discuter avec de hauts responsables militaires sur place des "menaces sécuritaires dans la région" dans un contexte d'escalade avec l'Iran, a annoncé jeudi le ministère de la Défense des Etats-Unis.

Téhéran a de nouveau menacé mercredi de "punir" Israël après une attaque le 1er avril sur le consulat iranien à Damas qui a fait 16 morts, dont sept membres du corps des Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique, selon une ONG.

Le général Michael Erik Kurilla doit rencontrer en Israël d'"importants dirigeants de (l'armée israélienne) et discuter des menaces sécuritaires actuelles dans la région", a déclaré à la presse le porte-parole du Pentagone Pat Ryder.

Selon lui, cette visite prévue avant les menaces iraniennes a été avancée "en raison des récents développements". 

Le président américain Joe Biden a promis un soutien "inébranlable" à son proche partenaire israélien, alors que le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a averti qu'Israël "doit être puni et sera puni".

"Si l'Iran mène une attaque depuis son territoire, Israël répondra et attaquera l'Iran", a de son côté assuré le ministre israélien des Affaires étrangères Israël Katz.

Depuis le début de la guerre dévastatrice à Gaza, il y a six mois, les Etats-Unis et la communauté internationale ne cessent de craindre une expansion majeure du conflit entre Israël et le Hamas palestinien.

Dans ce contexte, le ministre américain de la Défense Lloyd Austin s'est entretenu jeudi avec son homologue israélien Yoav Gallant, qui lui a affirmé qu'une "attaque directe de l'Iran imposerait une réponse israélienne appropriée".

Les deux hommes ont "discuté du niveau de préparation à une attaque iranienne contre l'Etat d'Israël", a déclaré le ministère israélien de la Défense dans un communiqué.

"L'Etat d'Israël ne tolérera pas une attaque iranienne sur son territoire", a fait savoir M. Gallant à son homologue américain, selon le communiqué.

De son côté, Lloyd Austin a réitéré le "soutien inébranlable des Etats-Unis à la défense d'Israël face aux menaces grandissantes de l'Iran" et des divers mouvements qui lui sont liés dans la région, selon un communiqué du Pentagone. 

23h30

Apple va réparer un bug qui associe le drapeau palestinien à Jérusalem sur les iPhone

Apple a indiqué jeudi être au courant d'un bug informatique sur les iPhone signalé par des utilisateurs: quand ils cherchent un émoticône pour illustrer un message, l'entrée "Jérusalem" donne comme résultat le drapeau palestinien.

Sollicité par l'AFP, le géant américain des technologies a déclaré avoir connaissance d'un bug informatique dans l'outil de recherche d'émoticônes du clavier de l'iPhone.

L'entreprise a précisé qu'il ne s'agit pas d'un comportement intentionnel et qu'une correction sera effectuée dans la prochaine mise à jour d'iOS, le système d'exploitation des appareils mobiles d'Apple.

Le problème a notamment été rapporté par Rachel Riley, une présentatrice de télévision britannique, dans un message sur X (ex Twitter) adressé à Apple et Tim Cook, le patron du groupe.

"Depuis que j'ai mis à jour mon téléphone, quand je tape la capitale d'Israël, Jérusalem, on me propose l'émoticône du drapeau palestinien. (...) Vous trouverez ci-dessous une liste (non exhaustive) de capitales qui ne proposent pas le drapeau de leur pays, et encore moins le mauvais", a-t-elle écrit mardi.

La grande majorité de la communauté internationale ne reconnaît pas Jérusalem comme la capitale d'Israël, liant le sort de la ville sainte à la résolution du conflit israélo-palestinien.

Une demi-douzaine de pays ont cependant déplacé leur ambassade, jusqu'ici à Tel Aviv, vers Jérusalem, suivant l'exemple des Etats-Unis, en mai 2018, sous la présidence de Donald Trump.

"Faire preuve de deux poids deux mesures à l'égard d'Israël est une forme d'antisémitisme, qui est lui-même une forme de racisme à l'égard du peuple juif", a-t-elle ajouté, signant "Sincèrement, une femme juive préoccupée par la montée mondiale de l'antisémitisme."

Mercredi soir elle a pris note de la réponse d'Apple, mais a fait part de ses doutes.

"L'entreprise affirme que ce n'est pas intentionnel et que le problème sera résolu. À mon avis, une multinationale comme Apple ne voudrait de toute façon pas admettre publiquement qu'il s'agit d'un acte intentionnel de la part d'un ou de plusieurs employés, d'où la description du +bug+, mais j'espère qu'au moins en interne, les responsables ne travailleront plus pour l'entreprise", a-t-elle écrit.

23h05

Les Etats-Unis restreignent les mouvements de leurs diplomates en Israël par souci de sécurité (ambassade)

Les Etats-Unis ont annoncé jeudi restreindre les mouvements de leur personnel diplomatique en Israël par souci de sécurité, sur fond de craintes de représailles iraniennes à une frappe imputée à Israël en Syrie.

"Par mesure de précaution, les employés de l'administration américaine et les membres de leur famille ne sont pas autorisés à voyager en dehors des zones de Tel Aviv, Jérusalem et Beersheva jusqu'à nouvel ordre", selon un avis diffusé par l'ambassade des Etats-Unis à Jérusalem.

Le personnel du gouvernement américain est toutefois autorisé "à transiter entre ces trois zones pour ses déplacements personnels", selon l'avis.

L'ambassade américaine n'a fourni aucune explication à cet avis, qui survient plus de six mois après le début de la guerre à Gaza entre Israël et le Hamas palestinien, mais a souligné que "l'environnement sécuritaire reste complexe et peut évoluer rapidement en fonction de la situation politique et des événements récents".

Le président américain Joe Biden a affirmé mercredi que l'Iran "menace de lancer une attaque importante contre Israël", en représailles à une frappe meurtrière imputée à Israël qui a visé le consulat iranien à Damas, le 1er avril.

Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, avait assuré mercredi qu'Israël serait "puni" après cette attaque.

23h00

Adhésion des Palestiniens à l'ONU: "pas de consensus" au sein du Conseil de sécurité (présidence)

Les membres du Conseil de sécurité de l'ONU ne sont pas parvenus à un consensus jeudi pour recommander une adhésion des Palestiniens aux Nations unies, a annoncé la présidente en exercice du Conseil, une absence de consensus qui laisse présager un vote prochainement.

Mettant en avant l'offensive israélienne à Gaza, les Palestiniens ont relancé la semaine dernière leur demande d'adhésion à l'ONU de 2011, et le Conseil a enclenché son processus formel d'examen au sein d'un comité ad hoc du Conseil, composé des mêmes Etats membres.

Lors de la deuxième réunion à huis clos de ce "comité sur l'admission de nouveaux membres" jeudi, "il n'y a pas eu de consensus", a déclaré l'ambassadrice maltaise Vanessa Frazier, qui préside le Conseil en avril.

Elle a assuré que "deux-tiers" des membres du Conseil étaient en faveur de cette adhésion pleine et entière des Palestiniens, sans les nommer. Mais ce comité ne peut prendre de décisions que par consensus.

Cela ne marque pas pour autant la fin de la démarche palestinienne. Suite au rapport du comité, n'importe quel Etat membre du Conseil peut en effet mettre au vote une résolution sur cette adhésion.

Selon des sources diplomatiques, un vote pourrait avoir lieu le 18 avril, à l'initiative de l'Algérie qui représente les pays arabes au sein du Conseil.

Si l'ambassadrice maltaise a laissé entendre qu'une telle résolution devrait recueillir les 9 voix nécessaires sur 15, les observateurs prédisent un veto des Etats-Unis.

Comme en 2011, les Américains estiment que l'ONU n'est pas le lieu pour la reconnaissance d'un Etat palestinien, qui devrait selon eux être issu d'un accord entre Israël et les Palestiniens.

Ils mettent également en avant une loi américaine qui prévoit de couper le financement à l'ONU si le Conseil de sécurité accepte un Etat palestinien hors d'un tel accord bilatéral.

En septembre 2011, le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas avait lancé la procédure demandant "l'adhésion de l'Etat de Palestine à l'ONU", qui n'était jamais allée à son terme. Les Palestiniens avaient obtenu finalement en novembre 2012 le statut "d'Etat non membre observateur".

"Tout ce que nous demandons, c'est de prendre notre place légitime au sein de la communauté des Nations", a plaidé cette semaine l'ambassadeur palestinien à l'ONU Riyad Mansour.

22h00

Plus de 250 ONG appellent à cesser "tout transfert d'armes" à "Israël et aux groupes armés palestiniens"

Plus de 250 organisations humanitaires ou de défense des droits de l'Homme ont rejoint une lettre ouverte appelant à cesser "immédiatement" tout transfert d'armes "à Israël et aux groupes armés palestiniens", ont-elles fait savoir jeudi.

"Nous demandons un cessez-le-feu immédiat et appelons tous les Etats à cesser le transfert des armes qui peuvent être utilisées pour commettre des violations du droit humanitaire international et des droits de l'Homme", plaident les organisations.

"Le Conseil de sécurité des Nations unies doit assumer sa responsabilité de maintenir la paix mondiale et la sécurité en adoptant des mesures pour arrêter le transfert d'armes aux gouvernement d’Israël et aux groupes armées palestiniens", conclut la lettre ouverte.

Cette lettre ouverte a été lancée en janvier 2024 par 16 organisations et compte désormais plus de 250 signatures comme celles d'Amnesty International, Save the children, Oxfam, Médecins du Monde, Caritas international et un certain nombres d'ONG confessionnelles ou féministes.

"Le bombardement et le siège par Israël privent la population civile des éléments essentiels à sa survie et rendent Gaza inhabitable", écrivent les organisations, décrivant "une crise humanitaire d'une gravité et d'une échelle sans précédent".

"Les prises d'otages et les attaques aveugles" des groupes palestiniens armés "constituent des violations du droit humanitaire international et doivent cesser immédiatement", poursuit le courrier, rappelant le bilan des victimes de l'attaque du Hamas le 7 octobre, les tirs de roquettes sur la population d'Israël et la détention de quelques 130 otages à Gaza.

Le Conseil de sécurité de l'ONU a pris note jeudi de la promesse d'Israël d'ouvrir plus de points de passage pour l'aide humanitaire à Gaza, tout en appelant à faire "plus" face à la menace d'une "famine imminente".

La guerre a éclaté le 7 octobre lorsque des commandos du Hamas infiltrés depuis la bande de Gaza ont mené une attaque sans précédent dans le sud d'Israël, entraînant la mort de 1.170 personnes, en majorité des civils, selon un bilan établi par l'AFP à partir des données officielles israéliennes.

En représailles, Israël a juré d'anéantir le Hamas, qu'il considère comme une organisation terroriste de même que les Etats-Unis et l'Union européenne. Son armée a lancé une offensive qui a fait jusqu'à présent 33.545 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.

Les progrès en vue d'une trêve dans la bande de Gaza se font attendre malgré les efforts de médiations.
 

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