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DIRECT - Washington encourage les pays possédant des systèmes de missiles Patriot à en faire don à l'Ukraine

Les États-Unis encouragent les pays possédant des systèmes de missiles Patriot à en faire don à l'Ukraine, qui attend plus d'armes de défense aérienne face à la Russie.

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Missiles Patriot déployés à Varsovie en février 2023. L' Ukraine a reçu le 19 avril des systèmes Patriot des États-Unis, élement fondamental pour assurer sa défense aérienne.

Missiles Patriot déployés à Varsovie en février 2023. L' Ukraine a reçu le 19 avril des systèmes Patriot des États-Unis, élement fondamental pour assurer sa défense aérienne.

© AP Photo/Michal Dyjuk
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16H45
Système anti-missiles

Washington appelle ses alliés à donner des systèmes Patriot à l'Ukraine

Le ministre américain de la Défense Lloyd Austin encourage les pays possédant des systèmes de missiles Patriot à en faire don à l'Ukraine, qui attend plus d'armes de défense aérienne face à la Russie.

L'appel de Lloyd Austin survient une semaine après que le président américain Joe Biden a promulgué une loi prévoyant 61 milliards de dollars d'aide militaire et économique pour Kiev, suscitant un léger regain d'espoir chez les Ukrainiens. "Il y a des pays qui ont des Patriot, et ce que nous faisons, c'est de continuer à mobiliser ces pays", a déclaré le ministre de la Défense américain lors d'une audition devant des élus de la Chambre des représentants.

Le secrétaire américaine à la Défense Lloyd Austin avec son chef d'état-major, le général de l'US Air Force, Charles Q. Brown Jr., témoignent devant le comité des Forces armées lors des auditions sur le budget du ministère de la Défense 2025. Capitol Hill, Washington 30 avril 2024.

Le secrétaire américaine à la Défense Lloyd Austin avec son chef d'état-major, le général de l'US Air Force, Charles Q. Brown Jr., témoignent devant le comité des Forces armées lors des auditions sur le budget du ministère de la Défense 2025. Capitol Hill, Washington 30 avril 2024. 

© AP Photo/Manuel Balce Ceneta


"J'ai moi-même discuté avec les dirigeants de plusieurs pays, ici même, au cours des deux dernières semaines, pour les encourager à fournir davantage de matériel", a-t-il ajouté, sans citer les noms des pays concernés.

Plusieurs pays européens possèdent ces systèmes, notamment l'Espagne, la Grèce, l'Allemagne, les Pays-Bas, la Pologne et la Suède.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a encore réitéré lundi ses appels à l'aide lors d'une visite à Kiev du secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg. "L'artillerie, (les obus de) calibre 155 mm, les armes de longue portée et la défense antiaérienne, principalement les systèmes Patriot. C'est ce que nos partenaires ont et ce qui devrait maintenant fonctionner ici en Ukraine pour détruire les ambitions terroristes de la Russie", a lancé le chef de l'État ukrainien.

15H28
Mobiliser les ukrainiens à l'étranger

Varsovie "ne protégera pas les réfractaires" ukrainiens mais attend l'avis de Kiev et de l'UE

La Pologne ne protégera pas les réfractaires ukrainiens qui se trouvent sur son territoire, mais attend encore des décisions de Kiev et Bruxelles à ce sujet, indiquent les responsables polonais.
"Nous n'allons certainement pas protéger les réfractaires", déclare Andrzej Szejna, vice-ministre des Affaires étrangères à la télévision TVP Info. Il a cependant reconnu que Kiev n'a présenté aucune demande au sujet des Ukrainiens expatriés en âge de combattre.
"Il n'y a pas de position officielle (de Varsovie) car le gouvernement ukrainien n'a pas adressé au gouvernement polonais aucune requête" à ce sujet, indique Szejna.

La Pologne compte sur son territoire des dizaines de milliers d'Ukrainiens en âge de servir, selon les chiffres des Nations unies. Le gouvernement ukrainien a publié la semaine dernière un texte, selon lequel Kiev ne délivrera plus de passeports à l'étranger aux hommes âgés de 18 à 60 ans, une nouvelle règle dont les contours restent peu clairs.

Le vice-ministre Szejna a souligné que tout toutes les procédures éventuelles devraient se faire en accord avec les législations polonaise et européenne. 

Interrogé à ce sujet, le ministre de la Défense polonais Wladyslaw Kosiniak-Kamysz a indiqué que Varsovie allait aider Kiev si celui-ci le demande. "Il est très important qu'il s'agisse de solutions au niveau européen. Et je sais que les discussions entre Kiev et Bruxelles se poursuivent à ce sujet", dit-il "Des solutions à l'échelle européenne permettront d'agir avec une pleine efficacité", ajoute-t-il. 

Après l'invasion de l'Ukraine par la Russie en février 2022, des centaines de milliers d'Ukrainiens ont fui la guerre, la plupart passant par la Pologne. En février dernier, 952.104 réfugiés ukrainiens étaient enregistrés en Pologne, dont 16%, soit 152.656 personnes, étaient des hommes en âge de servir dans l'armée, selon l'agence des Nations unies pour les réfugiés. 

De nombreux Ukrainiens se trouvaient en Pologne avant même le début de la guerre.

14H51
JO 2024

Loukachenko appelle les sportifs bélarusses à "casser la gueule" de leurs adversaires aux JO

Le président bélarusse Alexandre Loukachenko a enjoint mardi aux sportifs bélarusses participant aux JO de Paris sous statut neutre de "casser la gueule" de leurs adversaires.
 

Si tu as fait ton choix et que tu pars là-bas sous statut neutre, casse-leur la gueule, montre-leur que tu es un vrai Bélarusse. Alexandre Loukachenko, président du Bélarus
 

Fin mars, le CIO a annoncé que les athlètes russes et bélarusses ne pourraient pas parader au cours de la cérémonie d'ouverture à Paris. Cette interdiction s'ajoute à leur obligation de participer sous bannière neutre, à condition de ne pas avoir ouvertement soutenu l'attaque contre l'Ukraine. Les hymnes russe et bélarusse ne pourront pas non plus retentir.

Au cours d'une visite dans la région bélarusse de Moguilev, des habitants ont demandé à Alexandre Loukachenko ce qu'il pensait de cette participation sous statut neutre, selon un compte-rendu publié sur le site internet de la présidence bélarusse.

"C'est au sportif de choisir. S'il décide de participer aux JO, il sera encore plus féroce. Car vous comprenez bien que l'état d'esprit et la colère n'ont pas une importance mineure dans le sport", dit Loukachenko. "Tu es bélarusse et quand tu sors vainqueur, c'est un bon moyen pour nous de leur taper sur la gueule au plan politique", ajoute-t-il.

Loukachenko, au pouvoir depuis 1994, a éradiqué toute forme d'opposition dans son pays, réprimant un mouvement pacifique de masse en 2020. C'est en outre un habitué des déclarations à l'emporte-pièce et des coups d'éclat, comme lorsqu'il avait paradé, devant les manifestants opposés à son pouvoir, une kalachnikov à la main en les traitant de "rats".

14H14
Aide militaire

La Norvège accélère son aide à l'Ukraine

La Norvège va accroître de 7 milliards de couronnes (environ 590 millions d'euros) son aide militaire et civile à l'Ukraine cette année pour la porter à 22 milliards de couronnes, annonce le Premier ministre norvégien.

Cette somme supplémentaire sera puisée dans l'enveloppe pluriannuelle de 75 milliards de couronnes que le pays scandinave a prévu de consacrer aux aides civiles et militaires en faveur de l'Ukraine sur la période 2023-2027 et qui reste, elle, inchangée.

"C'est une question de vie ou de mort pour la population en Ukraine", a affirmé lors d'une conférence de presse le chef du gouvernement norvégien, Jonas Gahr Støre, en décrivant une situation précaire sur le terrain. "C'est aussi une question de sécurité et de stabilité en Europe, et donc aussi pour la Norvège", a-t-il dit après avoir rencontré les dirigeants de l'opposition pour s'assurer d'un large consensus.

Sur les 7 milliards supplémentaires, 6 iront à l'aide militaire, en premier lieu la défense antiaérienne et les munitions qui font aujourd'hui cruellement défaut à Kiev face à l'offensive russe.

La Norvège contribuera au financement des initiatives allemande et tchèque dans ces deux domaines, a indiqué Støre, en soulignant que la Russie bombardait délibérément "hôpitaux, zones résidentielles et centrales électriques".

Sur l'enveloppe initiale de 75 milliards de couronnes de son programme pluriannuel, le pays scandinave aura utilisé quelque 39,5 milliards à la fin 2024. Une augmentation de l'enveloppe totale a aussi été évoquée ces derniers temps par M. Støre et d'autres responsables politiques.

La Norvège, gros producteur d'hydrocarbures qui a largement tiré parti de l'envolée des cours attisée par l'invasion russe de l'Ukraine, est proportionnellement l'un des plus gros soutiens de Kiev, selon le classement de l'Institut Kiel.

12H31
Missiles longue portée

La Russie a abattu des missiles ATACMS lancés par l'Ukraine

Le ministère russe de la Défense affirme avoir abattu six missiles ATACMS, armes de longue portée récemment fournies à l'Ukraine par les États-Unis, le gouverneur de la Crimée annexée affirmant que des sous-munitions étaient tombées sur son territoire.

Tests de lancement de missiles ATACMS, Army Tactical Missile System, à la rampe de lancement de White Sands, Nouveau Mexique, le 14 décembre 2021.

Tests de lancement de missiles ATACMS, Army Tactical Missile System, à la rampe de lancement de White Sands, Nouveau Mexique, le 14 décembre 2021. 

© John Hamilton/U.S. Army via AP

La semaine dernière, Washington a annoncé avoir envoyé ces missiles à l'Ukraine, qui les réclamait de longue date afin de pouvoir frapper plus loin derrière la ligne de front.
La défense aérienne russe a détruit six missiles ATACMS "au cours des dernières 24 heures", a précisé le ministère russe dans un communiqué, sans indiquer l'endroit où cela aurait eu lieu.

Le gouverneur de Crimée, Sergueï Aksionov, a toutefois mis en garde les résidents de ce territoire contre la présence de "sous-munitions non explosées" dispersées après la destruction de "missiles ATACMS". Le responsable a évoqué le district de Simféropol, une des villes de la péninsule annexée par Moscou en 2014. Il a joint à son message une photo d'une boule posée au sol, étant, selon lui, une des "sous-munitions" en question.
La Russie n'a pas indiqué si ces missiles ou la chute de leurs débris avaient fait des dégâts, et l'Ukraine n'a fait aucun commentaire.

La semaine dernière, le département d'État américain a annoncé que les États-Unis ont envoyé à l'Ukraine en février "à la demande directe du président" Joe Biden des missiles ATACMS à l'Ukraine. 

L'Ukraine a utilisé pour la première fois en octobre contre la Russie des missiles américains ATACMS, mais ceux envoyés récemment disposent d'une plus longue portée, pouvant aller jusqu'à 300 km de distance.

L'Ukraine cherchait à en obtenir afin de frapper les voies d'approvisionnements russes, entrepôts ou QG militaires plus distants de la ligne de front. 

La semaine passée, le Kremlin a assuré que cette nouvelle livraison ne changerait rien au conflit.

12H30
"décolonisation"

Kiev démonte un monument soviétique évoquant l'amitié avec la Russie

"Les services communaux de la ville ont commencé le démontage de la composition en mémoire du traité de Pereïaslav", qui marqua l'allégeance de l'Ukraine à la Russie en 1654, a indiqué la mairie de Kiev. Le monument - des sculptures en pierre représentant des responsables ukrainiens et russes de l'époque dont les signataires du traité - avait été installé dans un parc un plein centre de Kiev comme partie d'un emblématique complexe mémorial célébrant "l'amitié des peuples" ukrainien et russe.

Le monument célébrant la signature du traité de Pereïaslav à Kiev ce 30 avril. Capture d'écran vidéo AFP.

Le monument célébrant la signature du traité de Pereïaslav à Kiev ce 30 avril. Capture d'écran vidéo AFP.

© Sergïï Volskyi / AFPTV


Peu après le début de l'invasion en 2022, les autorités de Kiev avaient déjà démantelé sur le même site deux statues en bronze représentant des ouvriers ukrainien et russe et rebaptisé l'arche métallique surmontant l'ensemble architectural en Arche de la liberté du peuple ukrainien au lieu d'Arche de l'Amitié des Peuples initialement.

"Le démontage peut prendre plusieurs jours car la composition est assez massive. Elle comprend une vingtaine d'éléments" pesant entre six et sept tonnes, a précisé la mairie.
Le monument sera ensuite transféré dans un musée à Kiev, selon la même source.
"C'est une mesure à prendre", a déclaré à l'AFP Aliona Iavorivska, une psychologue âgée de 32 ans habitant à Kiev. "Je ne comprends pas pourquoi ce monument était toujours ici".

Pour Oleksandre Severyn, un pompier de 32 ans, cette opération est au contraire "inopportune" car il estime qu'en temps de guerre les autorités feraient mieux d'utiliser les fonds pour financer l'armée. L'Ukraine, une ex-république soviétique indépendante depuis 1991, mène depuis des années une politique de démontage des monuments datant de l'époque soviétique et a renommé de nombreuses villes pour leur redonner leur appellation d'avant la révolution bolchévique de 1917.

Ces mesures se sont démultipliées après l'annexion de la Crimée en 2014 et plus encore après l'invasion de février 2022.

L'an dernier, l'Ukraine a voté une loi de "décolonisation", visant à renommer les rues et mettre à bas les monuments liés à Moscou. À Kiev, une place centrale baptisée Léon Tolstoï s'appelle dorénavant "Place des héros ukrainiens".

10H49
Frappe russe

Un civil tué à Kharkiv

Au moins une personne a été tuée et neuf autres blessées lors de frappes russes contre Kharkiv, deuxième ville ukrainienne pilonnée par les forces de Moscou, selon un nouveau bilan des autorités, les chemins de fer dénonçant une attaque "ciblée" contre son réseau.

Un policier examine les fragments d'une bombe après un raid aérien russe sur Kharkiv ce 30 avril 2024.

Un policier examine les fragments d'une bombe après un raid aérien russe sur Kharkiv ce 30 avril 2024.

© AP Photo/Andrii Marienko

Le gouverneur régional, Oleg Synegoubov, a indiqué que les forces russes avaient frappé Kharkiv, ville située dans le nord-est de l'Ukraine, avec des "bombes aériennes guidées".

Un civil a été tué, a-t-il déclaré, revoyant à la baisse un bilan initial de deux morts.

La société de chemins de fer, Ukrzaliznytsia, a indiqué que la personne tuée - un homme de 24 ans, père d'un fils - et une des blessés étaient ses employés.
"Il s'agit d'une nouvelle attaque ciblée contre les infrastructures ferroviaires civiles par l'ennemi", a-t-elle dénoncé dans un communiqué.
En ciblant les voies ferrées, la Russie cherche à "paralyser" les approvisionnements militaires, notamment en matériels occidentaux, en vue d'une nouvelle offensive, avait déclaré le 26 avril à l'AFP un haut responsable sécuritaire ukrainien.

L'Ukraine voit les difficultés s'accumuler sur le front ces derniers mois et craint que Moscou ne lance une offensive majeure dans les prochaines semaines.

L'infrastructure ferroviaire est particulièrement vitale en Ukraine car depuis le début de l'invasion russe en février 2022, tout le trafic aérien civil y est paralysé.

09H32
cheveux contestataires

Un homme poursuivi pour des cheveux bleus et jaunes, couleurs ukrainiennes

La police russe a lancé des poursuites contre un Moscovite, accusé d'avoir discrédité l'armée russe car ses cheveux sont teints en bleu et jaune, couleurs de l'Ukraine, a rapporté une ONG russe.

Stanislav Netessov s'était rendu le 28 avril dans un commissariat du centre de Moscou après avoir été agressé la veille, tabassé et dépouillé de son téléphone, explique l'organisation OVD-info, spécialisée dans le suivi de la répression des voix critiques du Kremlin, et qui a été contactée par l'intéressé.

"Estimant que la coiffure de Netessov symbolise l'Ukraine et discrédite l'armée russe, la police a dressé un procès-verbal à son encontre", explique OVD-Info, qui indique que l'accusé risque désormais une amende à cause de ses cheveux jaunes, bleus et verts.
"En outre, les forces de l'ordre ont pris les empreintes digitales du jeune homme. Ils ont également dit à Netessov qu'ils lui feraient "embrasser sa terre natale dans les tranchées" et lui ont remis une convocation au centre d'enrôlement militaire", poursuit l'organisation.

Depuis qu'elle a envahi l'Ukraine en février 2022, la Russie a engagé une répression sans merci des détracteurs du Kremlin, en particulier ceux, anonymes ou célèbres, qui dénoncent cette guerre.

Parmi les affaires récentes, une pédiatre moscovite, Nadejda Bouianova, a été placée en détention provisoire le 25 avril, les autorités l'accusant d'avoir violé un contrôle judiciaire qui lui était imposé depuis le mois de février et son inculpation pour avoir discrédité l'armée.

Elle a été poursuivie parce que la médecin de 67 ans aurait dit, lors d'une consultation médicale, à la veuve d'un soldat russe tué en Ukraine et son enfant que le défunt père était "une cible légitime".

À l'époque, Alexandre Bastrykine, le patron du très puissant Comité d'enquête russe, l'organe chargé des investigations criminelles les plus importantes, avait en personne appelé à des poursuites pénales contre la docteure qui risque désormais jusqu'à cinq ans de prison.

08H54
Bombardement

Deux morts et six blessés lors de frappes russes contre Kharkiv

Deux personnes ont été tuées et six ont été blessées mardi 30 avril lors de frappes russes contre Kharkiv, deuxième ville ukrainienne ciblée par les forces de Moscou, a indiqué le gouverneur régional, Oleg Synegoubov.

07H18
Frappe

Attaque de missile à Odessa : le bilan monte à cinq morts

Le bilan de la frappe d'un missile russe dans la ville portuaire d'Odessa, dans le sud-ouest de l'Ukraine, s'est alourdi à cinq morts mardi avec un nouveau décès enregistré à l'hôpital, selon des responsables.

21H54
VISITE

Première visite d'un membre de la famille royale britannique depuis l'invasion russe

Sophie, la duchesse d'Edinbourg, s'est rendue lundi 29 avril à Kiev en Ukraine, a annoncé Londres. Ce voyage marque la première visite d'un membre de la famille royale britannique dans le pays depuis l'invasion russe. Sophie est l'épouse du prince Edward, un frère du roi Charles III.

"J'en ai appris plus concernant la situation dans toutes ses réalités, ce qui, bien sûr, est triste. Le coût humain de la guerre est bien réel et je sais que tout le monde ici le ressent intensément", a-t-elle déclaré, lors d'une réception à la résidence de l'ambassadeur britannique.

Il est vrai que les femmes et les filles paient le prix le plus élevé en terme de coût humain, en ce qui concerne la manière dont elles sont affectées et la manière dont elles peuvent être utilisées comme armes de guerre.

Sophie, duchesse d'Edinbourg.

Qui anime ce direct ?

AFP