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Éviter une escalade militaire à tout prix

La communauté internationale est engagée dans une course contre la montre pour éviter une escalade militaire entre l'Iran et ses alliés d'une part et Israël de l'autre. Ce soir, le Hamas annonce avoir désigné Yahya Sinouar à la tête de son bureau politique pour remplacer Ismaïl Haniyeh. Les horaires sont indiqués en temps universel.

 

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Un homme portant un enfant blessé dans des frappes israéliennes à Deir al Balah, bande de Gaza, le 6 août 2024.

Un homme portant un enfant blessé dans des frappes israéliennes à Deir al Balah, bande de Gaza, le 6 août 2024.

© AP Photo/Abdel Kareem Hana
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19H47
Droits humains

Les Palestiniens subissent des "mauvais traitements systématiques" dans les prisons israéliennes

Des milliers de prisonniers palestiniens sont victimes de "mauvais traitements et de torture" systématiques dans les prisons israéliennes depuis l'attaque du Hamas le 7 octobre en Israël, indique l'ONG israélienne de défense des droits humains B'Tselem.

Les témoignages de 55 anciens détenus ont révélé des "conditions inhumaines", selon le rapport de l'ONG, soulignant que plus d'une dizaine d'établissements pénitentiaires étaient utilisés comme des "camps de torture de facto".

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"Les témoignages indiquent clairement une politique institutionnelle systématique axée sur la maltraitance et la torture de tous les prisonniers palestiniens détenus par Israël", indique le rapport.
Des ex-détenus ont décrit "des actes fréquents de violence grave et arbitraire, des agressions sexuelles, des humiliations et des dégradations, des privations de nourriture délibérées, des conditions d'hygiène forcées et des privations de sommeil", ajoute l'ONG.

Sollicitée par l'AFP, l'administration pénitentiaire israélienne, qui gère les prisons du pays, a indiqué que "tous les prisonniers étaient détenus légalement et que leurs droits fondamentaux étaient pleinement respectés par des agents pénitentiaires et des dirigeants compétents et professionnels".
Les affirmations du rapport sont "sans fondement", a déclaré l'administration pénitentiaire.

De son côté, l'armée israélienne a déclaré que "tout acte de maltraitance sur les détenus, que ce soit lors d'une arrestation ou d'un interrogatoire, était illégal et contraire aux directives de l'armée israélienne et strictement interdite".
"L'armée israélienne rejette catégoriquement les allégations de maltraitance systématique dans ses centres de détention", a ajouté l'armée dans un communiqué à l'AFP.

La publication des conclusions de B'Tselem intervient une semaine après celle d'un autre rapport des Nations unies selon lequel les prisonniers palestiniens étaient soumis à des traitements pouvant s'apparenter à de la torture.

La violence physique et psychologique incessante, le refus de traitement médical, la faim, la privation d'eau, la privation de sommeil et la confiscation de tous les effets personnels sont désormais appliqués dans toutes les prisons. Rapport sur l'état des prisons palestiniennes B'Tselem

En juillet, l'armée israélienne avait indiqué que neuf soldats avaient été arrêtés pour des mauvais traitements présumés infligés à un détenu palestinien dans un établissement accueillant des Palestiniens arrêtés dans la bande de Gaza.

Hier, un groupe d'experts des Nations unies a mis en garde contre "l'escalade du recours à la torture" par Israël à l'encontre des prisonniers palestiniens depuis le début de la guerre à Gaza le 7 octobre.
Selon B'Tselem, les autorités israéliennes ont déclaré "l'état d'urgence dans les prisons" le 18 octobre, soit onze jours après l'attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël, qui en représailles a déclenché la guerre dans la bande de Gaza. "La violence physique et psychologique incessante, le refus de traitement médical, la faim, la privation d'eau, la privation de sommeil et la confiscation de tous les effets personnels sont désormais appliqués dans toutes les prisons", selon le rapport.
 

18H29
Hamas

Yahya Sinouar remplace Haniyeh à la tête du Hamas palestinien

Le Hamas annonce ce soir que son chef à Gaza, Yahya Sinouar, a été désigné comme le nouveau dirigeant politique du mouvement islamiste palestinien, une semaine après l'assassinat à Téhéran de son prédécesseur, Ismaïl Haniyeh.

Yahya Sinouar, à Gaza City, en avril 2022.

Yahya Sinouar, à Gaza City, en avril 2022.

© AP Photo/Adel Hana, File

"Le mouvement de résistance islamique Hamas annonce la nomination du dirigeant Yahya Sinouar à la tête du bureau politique du mouvement", indique un communiqué.

Quelques minutes après cette annonce, une salve de roquettes a été tirée depuis la bande de Gaza en direction d'Israël, revendiquée par les Brigades Ezzedine Al-Qassam, la branche armée du Hamas.
L'armée et les autorités israéliennes accusent M. Sinouar d'être l'un des cerveaux de l'attaque sans précédent du Hamas le 7 octobre en Israël, ce qui fait de lui l'un des hommes les plus recherchés par Israël.

Sa nomination en tant que nouveau chef du Hamas intervient une semaine seulement après la mort de Haniyeh à Téhéran. L'Iran et le Hamas ont accusé Israël d'être à l'origine de cet assassinat. Israël s'est jusqu'ici refusé à tout commentaire.

Ce choix est "un message fort adressé à l'occupant (Israël) selon lequel le Hamas poursuit sur la voie de la résistance", a déclaré un responsable du Hamas sous couvert d'anonymat.

 

17H34
Otages

La dernière personne portée disparue après l'attaque du 7 octobre confirmée morte

La dernière personne portée disparue en Israël après l'attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre a été confirmée morte à la suite d'une "enquête approfondie", a annoncé mardi soir l'armée israélienne.

"Aujourd'hui, les représentants de l'armée israélienne ont officiellement informé la famille de Bilha Yinon qu'elle n'était plus en vie", a déclaré l'armée dans un communiqué.
 

17H28
Irak

Sept Américains blessés par des tirs de roquettes sur une base militaire en Irak

Sept Américains ont été blessés lundi dans une attaque à la roquette contre une base militaire en Irak, indique aujourd'hui un responsable américain, quelques jours après la mort dans une frappe américaine de quatre combattants irakiens pro-iraniens.

"Cinq militaires et deux sous-traitants américains ont été blessés dans l'attaque, au cours de laquelle deux roquettes ont frappé la base", aérienne (Aïn) Al-Assad, a déclaré ce responsable de la défense américaine sous couvert d'anonymat. Cinq des blessés sont soignés sur la base, et deux ont été évacués, a-t-il précisé, leurs vies n'étant pas en danger.

Le Pentagone a imputé l'attaque à "des milices alignées sur l'Iran". Le secrétaire à la défense Lloyd Austin et son homologue israélien Yoav Gallant sont convenus lors d'un entretien téléphonique, qu'il s'agissait d'une "escalade dangereuse", a-t-il dit dans un communiqué. 

Le président américain Joe Biden et la vice-présidente Kamala Harris ont "discuté des mesures (...) pour défendre nos forces et répondre à toute attaque contre notre personnel, de la manière et dans le lieu de notre choix", a annoncé la Maison Blanche.

Le gouvernement irakien a déclaré ce mardi que les autorités avaient saisi un camion contenant huit roquettes, et poursuivaient les auteurs de l'attaque contre la base, située dans la province d'al-Anbar.
Il a rejeté "toutes les actions irréfléchies contre les bases irakiennes, les missions diplomatiques et les sites des conseillers de la coalition internationale" et "tout ce qui pourrait faire monter la tension dans la région", selon un communiqué de ses services.

De telles attaques étaient fréquentes dans les premiers mois de la guerre à Gaza entre Israël et le Hamas palestinien, déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement palestinien sur le sol israélien le 7 octobre. Plus de 175 ont alors été recensées, mais elles ont ensuite beaucoup diminué.

Le mouvement "Résistance islamique en Irak", une nébuleuse de combattants issus des groupes armés pro-Iran, en a revendiqué la plupart, disant agir en solidarité avec les Gazaouis.
 

16H33
Riposte

Le Hezbollah et l'Iran "obligés de riposter" contre Israël, dit Nasrallah

Le chef du Hezbollah libanais Hassan Nasrallah affirme que sa formation et l'Iran étaient "obligés de riposter" à Israël, "quelles qu'en soient les conséquences", après les assassinats du chef politique du Hamas et du responsable militaire du Hezbollah.

Le discours retransmis en direct du chef de la puissante formation pro-iranienne est intervenu au moment où les craintes d'un embrasement régional entre l'Iran et ses alliés d'une part et Israël de l'autre s'intensifient sur fond de guerre dans la bande de Gaza.

Hassan Nasrallah a affirmé que le Hezbollah riposterait "seul ou dans le cadre d'une réponse unifiée de tout l'axe" de la résistance, dirigé par Téhéran et qui regroupe ses alliés dans la région.

Notre riposte viendra, elle sera forte et efficace. Hassan Nasrallah

La communauté internationale est engagée dans une course contre la montre pour éviter une escalade militaire, Téhéran et ses alliés ayant promis de riposter aux assassinats du chef du Hamas en Iran et du responsable militaire du Hezbollah la semaine dernière au Liban. Le premier a été imputé à Israël qui a revendiqué le second.

"Notre riposte viendra, elle sera forte et efficace", a assuré le chef du Hezbollah, dont le parti revendique quasi-quotidiennement des attaques contre Israël, qui riposte en bombardant le Liban.
"Seuls ou avec l'axe (de la résistance), (...) nous pouvons répondre tous ensemble, en même temps, cela dépend de l'intérêt de l'axe", a ajouté le chef du Hezbollah, se refusant à dire si l'Iran et ses alliés attaqueraient en même temps Israël.

Israël est sur le qui-vive depuis près d'une semaine, en attendant la riposte promise par l'Iran et ses alliés. 

Le chef du Hezbollah a affirmé que "l'attente israélienne, depuis une semaine, fait partie du châtiment, fait partie de la riposte, fait partie de la bataille".

Peu avant son discours, l'aviation israélienne a franchi à très basse altitude le mur du son au-dessus de Beyrouth, les fortes déflagrations provoquant la panique dans la capitale.

15H39
Manifestation

Des ultra-orthodoxes opposés à la conscription font irruption dans une base militaire

Des juifs ultra-orthodoxes opposés au service militaire obligatoire en Israël ont fait irruption ce mardi dans une base militaire près de Tel-Aviv, a indiqué l'armée.

"Des dizaines de manifestants ont tenté de faire irruption dans la base de Tel Hashomer lors des manifestations qui ont eu lieu à l'extérieur" du complexe, siège de l'unité de recrutement de l'armée israélienne, a-t-elle précisé dans un communiqué.

La police israéleinne arrête un jeune juif ultra-orthodoxe manifestant contre le service militaire à Bnei Brak, près de Tel Aviv, le 1er août 2024.

La police israéleinne arrête un jeune juif ultra-orthodoxe manifestant contre le service militaire à Bnei Brak, près de Tel Aviv, le 1er août 2024.

© AP Photo/Ariel Schalit

Certains manifestants, membres de groupes radicaux au sein du judaïsme ultra-orthodoxe, ont réussi à s'infiltrer dans la base avant d'en être expulsés par la police, selon la même source.
L'armée a condamné le "comportement violent" des manifestants et insisté sur le fait qu'ils devaient être "traduits en justice". "La conscription des citoyens ultra-orthodoxes est une nécessité et elle se déroule conformément à la loi", a souligné l'armée.

Historiquement, les ultra-orthodoxes étaient exemptés du service militaire obligatoire en Israël s'ils se consacraient à l'étude des textes sacrés du judaïsme, en vertu d'une règle instaurée par David Ben Gourion, fondateur de l'État d'Israël, en 1948.

Mais en juin, la Cour suprême a ordonné la conscription des étudiants des écoles talmudiques, estimant que le gouvernement n'avait pas le droit de continuer de les dispenser de servir dans l'armée "en l'absence d'un cadre légal adéquat".

Depuis l'annonce par l'armée à la mi-juillet de l'envoi d'avis de conscription à des ultra-orthodoxes, les manifestations d'opposants à toute forme de service militaire parmi les juifs ultra-orthodoxes se sont multipliées en Israël.

L'armée avait mis en exergue "les besoins opérationnels accrus" en raison de la guerre menée contre le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre, d'affrontements transfrontaliers quasi quotidiens avec le Hezbollah libanais à la frontière nord d'Israël, et d'une hausse des violences en Cisjordanie occupée.

Les ultra-orthodoxes représentent environ 14% de la population juive d'Israël, selon l'Institut israélien pour la démocratie (IDI), soit près de 1,3 million de personnes. Environ 66.000 hommes ultra-orthodoxes en âge de servir bénéficient encore de l'exemption du service militaire, selon l'armée.
 

14H20
Liban

L'aviation israélienne survole Beyrouth à basse altitude et franchit le mur du son

L'aviation israélienne a survolé à basse altitude Beyrouth ce matin et franchi le mur du son, les bangs supersoniques semant la panique, peu avant un discours prévu du chef du mouvement libanais Hezbollah Hassan Nasrallah, selon des journalistes de l'AFP.

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"L'aviation israélienne a franchi le mur du son au-dessus de la capitale et de plusieurs régions à deux reprises", a de son côté indiqué l'Agence nationale d'information (ANI, officielle).

12h05
Investigations

Iran : "aucune arrestation" dans l'enquête sur l'assassinat de Haniyeh

L'Iran n'a jusqu'à présent procédé à "aucune arrestation" concernant l'assassinat dans la capitale iranienne la semaine dernière du chef politique du Hamas palestinien, Ismaïl Haniyeh, que Téhéran a attribué à Israël, a indiqué mardi le pouvoir judiciaire. 

"Les investigations nécessaires ont été lancées" et les résultats "seront annoncés dès que l'enquête sera terminée", a déclaré le porte-parole du pouvoir judiciaire, Asghar Jahangir. 

"Jusqu'à présent, aucune arrestation n'a été effectuée concernant cette affaire", a-t-il ajouté, précisant que les enquêtes impliquent des responsables de l'armée iranienne.

(Re)voir → Qui était Ismaïl Haniyeh, le chef du Hamas en exil ?

Selon les Gardiens de la révolution, armée idéologique d'Iran, Ismaïl Haniyeh a été tué le 31 juillet par un "projectile de courte portée" tiré sur la résidence où il séjournait dans le nord de Téhéran.

12h30
Appel au calme

Blinken appelle à "casser le cycle de la violence" au Proche Orient

Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken exhorte tous les protagonistes des conflits au Proche-Orient à "casser ce cycle" de violences notamment en scellant un cessez-le-feu dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas.

Le secrétaire d'État a assuré que les États-Unis faisaient tout pour prévenir un risque de confrontation militaire entre l'Iran et Israël depuis l'assassinat du chef du mouvement palestinien Hamas, Ismaïl Haniyeh. 

"L'escalade n'est dans l’intérêt de personne. Cela ne peut conduire qu'à plus de conflits, de violences et d'insécurité. Il est ainsi crucial que nous cassions ce cycle en parvenant à un cessez-le-feu à Gaza", a plaidé M. Blinken lors d'un point presse au département d'Etat le 4 août.

blinken

Le secrétaire d'État Antony Blinken s'exprime lors d'une cérémonie de signature avec la ministre australienne des Affaires étrangères Penny Wong au département d'État, le 5 août 2024, à Washington.

AP Photo/Mark Schiefelbein
12h01
Escalade

Le Hezbollah vise le nord d'Israël, cinq combattants tués dans le sud du Liban

Une source de sécurité libanaise a indiqué que cinq combattants du Hezbollah avaient été tués dans une frappe israélienne sur le sud du Liban mardi, la puissante formation pro-iranienne annonçant de son côté avoir visé le nord d'Israël à l'aide de drones.

(Re)voir → Proche-Orient : la tension continue de monter

Les cinq combattants ont été tués dans une "frappe israélienne sur une maison" du village de Mayfadoun, a précisé la source de sécurité qui a requis l'anonymat.

L'armée israélienne a annoncé avoir "frappé une structure militaire du Hezbollah dans la région de Nabatieh", où se trouve Mayfadoun, "utilisée par plusieurs terroristes" qui préparaient selon elle des attaques contre Israël.

Le Hezbollah a de son côté annoncé avoir pris pour cible une caserne de l'armée israélienne située "au nord de la ville d'Acre", avec des drones.

11H41
vols vers Beyrouth

La suspension des vols Air France et Transavia vers Beyrouth prolongée au moins jusqu'à jeudi inclus

Les compagnies aériennes Air France et Transavia France prolongent à nouveau la suspension de leurs liaisons entre Paris-Charles de Gaulle et Beyrouth jusqu'au jeudi 8 août inclus, en raison de la situation géopolitique au Liban, a fait savoir mardi Air France à l'AFP.

La reprise des opérations interrompues depuis le 29 juillet "sera soumise à une nouvelle évaluation de la situation sur place", indique la compagnie aérienne française, en précisant que cette "décision s'applique aussi à Transavia France".

Outre Air France et Transavia, plusieurs compagnies aériennes ont suspendu leurs vols vers la capitale libanaise, sur fond de crainte d'une escalade militaire entre Israël et le mouvement chiite Hezbollah, à l'instar du groupe allemand Lufthansa, qui a interrompu ses vols vers Beyrouth jusqu'au 12 août.

Les vols entre Paris et Tel-Aviv continuent en revanche d'être "assurés normalement", indique Air France, contrairement à d'autres compagnies aériennes qui les ont interrompus.
 

10h03
Victimes

Le ministère de la Santé du Hamas annonce un nouveau bilan

Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas dans la bande de Gaza annonce un nouveau bilan. Depuis le début de la guerre avec Israël  il y a presque dix mois de 39 653 personnes ont été tuées dans le territoire palestinien.

Au moins 30 personnes ont été tuées ces dernières 24 heures et 91 535 personnes ont été blessées dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre.

(Re)voir → Bande de Gaza : le bilan s'alourdit

08h15
Frappes meurtrières

Les autorités palestiniennes annoncent huit morts dans deux raids israéliens en Cisjordanie

Quatre personnes ont été tuées dans le quartier-est de Jénine, dans le nord et quatre dans la ville d'Aqaba, au nord-est, lors de raids menés par les forces israéliennes à l'aube selon le Croissant-Rouge palestinien et le ministère palestinien de la Santé à Ramallah. 

De son côté, l'armée israélienne a indiqué avoir mené des raids aériens visant des "cellules terroristes armées" dans la région de Jénine, sans fournir d'informations sur le bilan humain.

Le maire d'Aqaba, Abdelrazzaq Abouarra, a déclaré dénoncé ces attaques, affirmant "Ce crime sioniste est un crime systématique que les Israéliens commettent quotidiennement".

Qui anime ce direct ?

AFP