Live terminé le 01 septembre 2024 à 21H00
Live démarré le 01 septembre 2024 à 5H00

La centrale syndicale israélienne décrète une "grève générale" lundi en soutien aux otages

La puissante centrale syndicale israélienne, la Histadrout, a décrété une "grève générale" pour lundi afin de forcer le gouvernement de Benjamin Netanyahu à parvenir à un accord pour la libération de la centaine d'otages toujours retenus par le Hamas à Gaza. 

Les horaires sont indiquées en TU.

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Manifestants avec pancartes

Des personnes participent à une manifestation pour demander la libération immédiate des otages détenus dans la bande de Gaza par le groupe militant du Hamas à Jérusalem, dimanche 1er septembre 2024.

AP Photo/Mahmoud Illean
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20h40
Mort des otages

Otages tués : "indignation de Macron" qui demande "l'arrêt de la guerre"

Le président français Emmanuel Macron a fait part dimanche soir de son "indignation" à la découverte "des six otages tués par le Hamas à Gaza" et a demandé "l'arrêt de la guerre". 

"Stupeur et indignation à la découverte des six otages tués par le Hamas à Gaza. Mes pensées à leurs familles et proches. Il faut immédiatement un cessez-le-feu et la libération de tous les otages, dont nos compatriotes Ohad Yahalomi et Ofer Kalderon", a-t-il écrit sur X. 

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"La guerre doit s'arrêter", a-t-il plaidé.

L'armée israélienne a annoncé dimanche la découverte des corps de six otages dans la bande de Gaza.

Selon le ministère israélien de la Santé, l'autopsie effectuée a révélé qu'ils avaient été tués "à bout portant" "entre jeudi et vendredi matin". 

18h20

Liban : le principal parti chrétien accuse le Hezbollah d'avoir "imposé" la guerre contre Israël

Le chef du parti chrétien des Forces Libanaises (FL) a accusé dimanche le Hezbollah pro-iranien d'avoir entraîné le pays dans une guerre contre Israël pour soutenir le Hamas palestinien à Gaza sans en référer aux Libanais.

Dans un discours virulent contre la formation islamiste libanaise, Samir Geagea, chef du principal bloc parlementaire chrétien, a accusé le Hezbollah de "confisquer la décision des Libanais concernant la guerre et la paix, comme s'il n'y avait pas d’État (..)".

Depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas palestinien en octobre, le Hezbollah échange quotidiennement des tirs transfrontaliers avec Israël pour soutenir son allié palestinien, une guerre à laquelle les FL et d'autres partis libanais sont opposés.

C'est "une guerre que les Libanais rejettent, mais qui leur a été imposée", a affirmé Samir Geagea dans un discours devant ses partisans au nord de Beyrouth.

"C'est une guerre que les Libanais ne veulent pas et sur laquelle le gouvernement n'a pas eu son mot à dire. Cette guerre ne sert pas le Liban, elle n'a rien apporté à Gaza, ni soulagé d'un iota ses souffrances", a-t-il ajouté.

Créé et financé par l'Iran, le Hezbollah est la seule faction libanaise à avoir gardé ses armes après la guerre civile (1975-1990).

Son arsenal, nettement plus important que celui de l'armée libanaise, est présenté par ses partisans comme un rempart à Israël, ennemi juré du Hezbollah. Mais ses détracteurs estiment que le parti forme un "État dans l’État".

"Cette guerre, dans laquelle le Hezbollah s'est engagé, doit cesser avant qu'elle ne devienne une grande guerre qui ne laissera personne indemne", a déclaré Samir Geagea alors que ses partisans scandaient des slogans hostiles à la formation chiite. 

Il a demandé au gouvernement libanais "d'inviter le Hezbollah à cesser cette guerre absurde qui n'a ni justification ni perspective".

Selon l'ONU, plus de 110 000 personnes ont été déplacées par les combats dans le sud du Liban, qui ont fait 607 morts, en majorité des combattants du Hezbollah, mais également 132 civils, selon un décompte de l'AFP.

Ce discours intervient une semaine après la plus grande flambée de violence entre Israël et le Hezbollah, l'armée israélienne ayant annoncé avoir déjoué une attaque d'envergure du Hezbollah en direction du territoire israélien.

Le Hezbollah avait de son côté assuré avoir lancé des centaines de drones et de roquettes sur Israël pour venger la mort d'un de ses chefs militaires tué dans une frappe israélienne près de Beyrouth fin juillet.

L'intensité des violences est depuis retombée, les deux parties ayant, selon les analystes, fait preuve de retenue pour éviter un embrasement régional.

17h30
Bilan humain

La défense civile annonce 11 morts dans une frappe israélienne sur Gaza

Des responsables à Gaza ont annoncé qu'au moins onze personnes avaient été tuées dimanche dans une frappe aérienne israélienne ayant visé la police, dans une école abritant des dizaines de familles déplacées par la guerre dans le territoire palestinien tenu par le Hamas.

"Une frappe israélienne sur l'école Safad où s'abritaient des réfugiés dans la ville de Gaza a fait 11 morts, dont une femme et une fillette, et des dizaines de blessés", a indiqué à l'AFP le porte-parole de la Défense civile Mahmoud Bassal. 

Cette frappe a visé, selon un responsable médical à Gaza, "une pièce utilisée par la police".

De son côté, l'armée israélienne dit avoir visé "des terroristes du Hamas qui opéraient depuis un centre de contrôle dans une zone qui auparavant était l'école Safad". 

La guerre a été déclenchée par l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre qui a entraîné côté israélien la mort de 1 205 personnes, majoritairement des civils, selon un décompte de l'AFP à partir de données officielles.

Depuis, l'armée israélienne bombarde la bande de Gaza sans relâche, depuis les airs, la mer et le sol. 

Ces représailles ont fait au moins 40 738 morts, selon le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, provoqué un désastre humanitaire et sanitaire et déplacé la quasi-totalité des 2,4 millions d'habitants. 

D'après l'ONU, la majorité des morts sont des femmes et des mineurs

17h20

Un réserviste israélien arrêté pour avoir "tenté de tirer" sur un Palestinien à Jérusalem

La police israélienne a annoncé dimanche avoir arrêté un "soldat réserviste" qui a "tenté de tirer" sur un Palestinien à Jérusalem, annonçant qu'il serait prochainement inculpé.

Les Palestiniens de Jérusalem-Est occupée et annexée, et les Arabes Israéliens, qui représentent un cinquième des habitants d'Israël, dénoncent une montée du racisme à leur encontre depuis le début de la guerre à Gaza déclenchée par l'attaque meurtrière du Hamas en Israël le 7 octobre.

"Le suspect, un résident de Jérusalem de 34 ans, soldat réserviste", a "quitté sa maison un vendredi soir avec son arme de service" et "cherché une victime d'origine arabe", selon l'enquête.

"Il a forcé sa victime à s'asseoir sur un banc" dans un parc "et l'a interrogé en pointant son arme sur son corps", poursuit la police dans un communiqué. Puis, "il l'a visé et a tenté de tirer mais la victime est parvenue à s'échapper sans être blessée"

"Des charges devraient être retenues contre lui dans les jours à venir", précise la police.

En juin, la police israélienne avait rapporté qu'un Palestinien avait été grièvement blessé par balle dans la Vieille Ville de Jérusalem après une altercation impliquant un groupe de soldats israéliens en civil dont un au moins avait ouvert le feu.

Le groupe des quatre hommes armés était constitué d'un soldat israélien et de deux réservistes, tous habillés en civil et en dehors du service, ainsi que d'un civil, selon la police.

16h10
Mort des otages

Israël dit que les otages ont été tués "à bout portant" il y a deux ou trois jours

L'autopsie effectuée dimanche matin sur les corps des otages retrouvés à Gaza a révélé que les six otages ramenés morts en Israël avaient été tués "à bout portant entre jeudi et vendredi matin", a annoncé le ministère israélien de la Santé.

"Les six otages ont été abattus par des terroristes du Hamas de plusieurs tirs à bout portant", indique la porte-parole du ministère Shira Solomon dans un communiqué. "Les décès ont vraisemblablement eu lieu environ 48 à 72 heures avant l'examen, soit entre jeudi et vendredi matin", ajoute-t-elle.

14h45
Mort des otages

Israël: la centrale syndicale décrète une "grève générale" lundi en soutien aux otages

La puissante centrale syndicale israélienne, la Histadrout, a décrété une "grève générale" pour lundi afin de forcer le gouvernement de Benjamin Netanyahu à parvenir à un accord pour la libération de la centaine d'otages toujours retenus par le Hamas à Gaza.

"Nous devons faire cesser cet abandon des otages (...) Demain à 06H00 (3H00 GMT), toute l'économie israélienne sera en grève générale", a lancé dimanche lors d'une conférence de presse le chef de la Histadrout, Arnon Bar-David.

"A 08h00, l'aéroport sera fermé, les décollages et les atterrissages cesseront", ajoute un communiqué de la Histadrout. 

L'annonce dimanche par l'armée israélienne de la découverte des corps de six nouveaux otages morts dans un tunnel de la bande de Gaza a provoqué stupeur et colère en Israël. Aucun de ces otages n'avait jusqu'ici été déclaré mort.

Le Forum des familles d'otages a appelé les Israéliens à manifester dimanche soir à Tel-Aviv pour réclamer "un blocage total du pays et un accord pour la libération des otages".

14h00
Attaques en Cisjordanie

L'Autorité palestinienne annonce deux nouveaux morts dans les opérations israéliennes en Cisjordanie

Deux Palestiniens ont été tués dimanche dans le nord de la Cisjordanie occupée, où l'armée israélienne poursuit pour le cinquième jour consécutif une vaste opération lancée contre les groupes armés palestiniens, a annoncé le ministère palestinien de la Santé.

Depuis le lancement de ces raids israéliens, durant lesquels blindés et bulldozers ont détruit de nombreuses rues et réseaux électriques, d'eau et de télécommunications notamment à Jénine et dans plusieurs camps de réfugiés, au moins 24 Palestiniens ont été tués, selon le ministère. Les groupes armés palestiniens ont indiqué qu'au moins 14 d'entre eux étaient des combattants.

13h40
Attaques en Cisjordanie

L'armée israélienne assure avoir tué l'auteur de l'attaque meurtrière en Cisjordanie

L'armée israélienne a annoncé dimanche avoir abattu un Palestinien "soupçonné d'avoir mené l'attaque armée" qui a tué dans la matinée trois policiers israéliens dans le sud de la Cisjordanie occupée.

L'homme était "barricadé dans un bâtiment résidentiel" et a été "éliminé sur place", assure l'armée israélienne, qui mène depuis mercredi une vaste opération contre les groupes armées palestiniens dans le nord de la Cisjordanie. Depuis, trois attaques contre des colonies juives ou des policiers israéliens ont eu lieu dans le sud du territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967.

13h25
Mort des otages

Appels à la grève générale en Israël pour réclamer un accord permettant la libération des otages

Le chef de l'opposition et des familles d'otages ont appelé dimanche à la grève générale lundi en Israël pour forcer le gouvernement à parvenir à un accord de libération de la centaine de captifs toujours retenus à Gaza.

L'annonce dimanche par l'armée de la découverte des corps de six nouveaux otages morts dans un tunnel du territoire palestinien a provoqué stupeur et colère dans le pays.

Aucun d'eux n'avait jusqu'ici été déclaré mort.

Le 7 octobre, le mouvement islamiste palestinien Hamas avait lancé une attaque meurtrière en Israël qui a entraîné côté israélien la mort, au total, de 1 205 personnes, majoritairement des civils, selon un décompte de l'AFP à partir de données officielles.

Ses commandos avaient enlevé 251 personnes. Parmi elles, 97 sont toujours retenues à Gaza, dont 33 déclarées mortes par l'armée.

Le Forum des familles d'otages a appelé les Israéliens à manifester dimanche soir à Tel-Aviv pour réclamer "un blocage total du pays et l'application d'un accord de libération des otages".

"Cela fait onze mois que (les) otages sont négligés", martèle le collectif qui interpelle la Histadrout, la puissante centrale syndicale.

Le chef de l'opposition, Yaïr Lapid, a également appelé la Histadrout, "les municipalités et les employeurs à la "grève générale" sur sa page Facebook.

"Ils étaient en vie", le Premier ministre israélien Benjamin "Netanyahu et son cabinet de la mort ont décidé de ne pas les sauver. Il reste des otages vivants, on peut encore faire un accord", a ajouté Yaïr Lapid. 

Il faisait référence à un vote jeudi du cabinet entérinant une condition israélienne posée à un accord de cessez-le-feu que le Hamas et l’Égypte rejettent en bloc.

Le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a réclamé dimanche "une réunion immédiate du cabinet pour revenir sur cette décision".

"Il est trop tard pour les otages abattus de sang-froid, il faut que nous ramenions les otages encore aux mains du Hamas", a-t-il poursuivi.

La chaîne de cinémas Lev a annoncé dimanche fermer ses salles en "soutien" aux familles des otages.

Plusieurs chaînes de restaurants ont également annoncé fermer leurs portes dimanche soir.

Les représailles israéliennes à Gaza ont fait au moins 40 738 morts, selon le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, en majorité des femmes et des mineurs selon l'ONU.

13h15
Mort des otages

Le chef de la diplomatie de l'UE "horrifié" par le "meurtre" de six otages israéliens

Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, s'est dit "horrifié" dimanche "par le meurtre de six otages israéliens du Hamas" dont les corps ont été retrouvés dans la bande de Gaza.

"Ces jeunes hommes et femmes innocents auraient dû être mis en sécurité depuis longtemps et retrouver leurs proches. Nous sommes aux côtés de tous les otages", a déclaré Josep Borrell sur X. "Nous avons besoin d'un cessez-le-feu pour mettre fin à cette tragédie et ramener tous les otages chez eux", a-t-il ajouté.

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13h05
Mort des otages

Le Premier ministre britannique Starmer "choqué" par "le meurtre insensé" de six otages israéliens

Le Premier ministre britannique Keir Starmer s'est dit "profondément choqué" dimanche par "le meurtre horrible et insensé" de six otages israéliens du Hamas, dont les corps ont été retrouvés dans la bande de Gaza.

"Le Hamas doit libérer tous les otages maintenant, et un accord de cessez-le-feu doit être conclu immédiatement par toutes les parties pour mettre fin à ces souffrances", a-t-il plaidé sur X.

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09H48
Déclaration du Hamas

Un cadre du Hamas dit que des otages retrouvés morts devaient être libérés en cas d'accord de trêve

Un cadre du Hamas palestinien affirme à l'AFP que "certains" des six otages dont les dépouilles ont été retrouvées par l'armée israélienne, "faisaient partie de la liste des otages à libérer que le Hamas avait approuvée".

Des médias israéliens assurent que l'Israélo-américain Hersh Goldberg-Polin, et les deux Israéliennes Carmel Gat et Eden Yerushalmi, figuraient sur une liste d'otages à libérer au cours de la première phase d'un accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza, en négociations depuis plusieurs mois.

08H07
ATTAQUES EN CISJORDANIE

Trois policiers tués dans une "attaque armée" dans le sud de la Cisjordanie

Trois policiers israéliens, dont une femme, ont été tués dans une "attaque armée" dans le sud de la Cisjordanie occupée, annonce le commandant de la police israélienne dans ce territoire palestinien où l'armée israélienne mène une vaste opération "antiterroriste".

Le commandant Ouzi Levy s'est exprimé devant la presse aux côtés du ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, colon d'extrême droite.

"Au lieu de libérer des terroristes, il faut leur tirer une balle dans la tête", lance Itamar Ben Gvir.  

"Le droit à la vie (des Israéliens) est plus important que la liberté de circulation des habitants dépendant de l'Autorité palestinienne", ajoute le ministre, partisan de l'annexion de toute la Cisjordanie.

Deux des victimes sont des trentenaires, tandis que la troisième, un homme d'une cinquantaine d'années, a succombé à ses blessures après son évacuation, a de son côté détaillé le Magen David Adom, équivalent israélien de la Croix-Rouge.

06H00
VACCINS CONTRE LA POLIO

La campagne de vaccination va être menée à plus grande échelle

La campagne anti-polio est officiellement lancée dans le centre de la bande de Gaza où l'ONU a annoncé des "pauses humanitaires", a indiqué à l'AFP le responsable de trois centres de vaccination pour enfants dans ce secteur.

"Des équipes du ministère de la Santé, de l'Unrwa et des ONG ont débuté la veille la campagne de vaccination" antipolio, déclare le docteur Moussa Abed, directeur des premiers soins au ministère de la Santé du gouvernement du Hamas.

Les autorités israéliennes ont annoncé que les vaccins seraient administrés de 06H00 à 14H00 de dimanche à mardi dans le centre de la bande de Gaza.

"A la fin de chaque campagne régionale de vaccination, il sera procédé à une évaluation de la situation", préviennent-elles.

Le ministère de la Santé à Gaza et les agences onusiennes ont listé 67 centres de vaccination dans des hôpitaux, dispensaires et écoles pour le centre du petit territoire palestinien. Dans le sud, 59 centres sont prévus et 33 dans le nord, en grande partie dépeuplé. Dans ces deux zones les vaccinations auront lieu dans un second puis un troisième temps.

Un premier cas de polio a été récemment confirmé chez un bébé de dix mois dans la bande de Gaza, assiégée et dévastée par près de 11 mois de guerre, où cette maladie avait été éradiquée il y a 25 ans.

04H01
CORPS D'OTAGES RETROUVÉS

Six corps d'otages retrouvés dans la bande de Gaza, dont l'Israélo-Américain Hersh Goldberg-Polin, annonce Biden

Les corps de six otages enlevés lors de l'attaque du Hamas le 7 octobre sur le sol israélien ont été retrouvés dans la bande de Gaza, dont celui de l'Israélo-Américain Hersh Goldberg-Polin, annonce le président américain Joe Biden.

"Plus tôt dans la journée (samedi, NDLR), dans un tunnel sous la ville de Rafah, les forces israéliennes ont récupéré six corps d'otages détenus par le Hamas", dont celui de Hersh Goldberg-Polin, explique Joe Biden dans un communiqué, en se disant "dévasté et indigné".

 

Otages israéliens retrouvés morts

Cette combinaison de six photos non datées montre des otages, en haut à gauche, Hersh Goldberg-Polin, Ori Danino, Eden Yerushalmi, en bas à gauche, Almog Sarusi, Alexander Lobanov, et Carmel Gat, qui étaient retenus en otage par des militants du Hamas à Gaza.

Le Forum des familles d'otages via AP

"Ne vous y trompez pas, les dirigeants du Hamas paieront pour ces crimes. Et nous continuerons à travailler 24 heures sur 24 pour parvenir à un accord qui garantisse la libération des otages restants", affirme le président américain.

"Hersh faisait partie des innocents brutalement attaqués alors qu'ils assistaient à un festival de musique  le 7 octobre. Il a perdu son bras en aidant des amis et des étrangers lors du massacre sauvage perpétré par le Hamas", détaille Joe Biden, en précisant qu'il avait alors 23 ans.


 

Qui anime ce direct ?

AFP