Direct terminé à 20H15 TU
Direct commencé à 16H00 TU

Le président Zelensky à Washington pour présenter son "plan de la victoire" à Joe Biden

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est à New York ce soir où il participe au Sommet de l'avenir au siège de l'ONU. Il doit présenter le 26 septembre à son homologue américain Joe Biden et au Congrès son "plan de la victoire" visant à mettre fin à l'invasion russe de son pays.
 

Partager
Image
Le président Volodymyr Zelensky prononce un discour au Sommet de l'avenir à l'ONU ce 23 septembre 2024.

Le président Volodymyr Zelensky prononce un discour au Sommet de l'avenir à l'ONU ce 23 septembre 2024.

© AP Photo/Seth Wenig
10
nouvelle(s) publication(s)
17H30
diplomatie

Le président Zelensky rencontre le chancelier Olaf Scholz avant l'assemblée générale de l'ONU

Un peu avant l'Assemblée général de l'ONU, le président Zelensky a rencontré le chancelier Olaf Scholz avec lequel il a discuté de sa "formule de paix".

Tweet URL

"Nous nous préparons pour la deuxième plateforme. Une plateforme concrète pour rétablir entièrement la sécurité pour l'Ukraine et pour l'ensemble de l'Europe".

 

15H15
offensive ukrainienne à Koursk

La Russie affirme qu'au moins 56 civils ont été tués et 266 blessé lors de l'offensive ukrainienne à Koursk

Au moins 56 civils ont été tués et 266 blessés lors de l'incursion ukrainienne dans la région russe de Koursk, qui dure depuis sept semaines, a annoncé le ministère russe des Affaires étrangères.

Kiev a lancé l'attaque transfrontalière le 6 août et les forces ukrainiennes sont depuis dans la région de Koursk.

Le ministère russe des Affaires étrangères avait précédemment estimé le bilan à 31 morts pour la période allant jusqu'au 5 septembre. Le nouveau bilan couvre la période allant jusqu'au 20 septembre.

Il indique que 131 000 civils ont quitté les zones les plus dangereuses de la région, mais accuse les forces ukrainiennes de détenir certains civils contre leur gré, dont 70 à 120 personnes dans la ville de Soudzha.

Interrogé par Reuters sur cette déclaration, le porte-parole du ministère ukrainien des Affaires étrangères, Heorhiy Tykhyi, a déclaré que l'Ukraine respectait le droit international humanitaire et ne ciblait pas les civils, et qu'elle n'était pas en mesure de vérifier ces affirmations.

"Etant donné la longue histoire de faux chiffres et de propagande de la Russie, il n'y a tout simplement aucun moyen de vérifier leurs affirmations. Si la Russie veut montrer la situation réelle sur le terrain, elle peut accorder un tel accès à l'ONU et au CICR", a-t-il déclaré.

Reuters n'a pas été en mesure de vérifier immédiatement les rapports sur le champ de bataille des deux côtés. Les deux parties ont nié avoir pris pour cible des civils et avoir fait de fausses déclarations à des fins de propagande au cours du conflit qui dure depuis 31 mois.
 

15H05
Tortures

Des Ukrainiens privés de soins et torturés par des médecins dans les geôles russes

Des prisonniers ukrainiens sont délibérément privés de soins dans des geôles russes et des médecins ont même participé aux séances de torture dans un des pénitenciers, révèle lundi une commission d'enquête du Conseil des droits de l'homme.

La Commission, créée pour enquêter sur la violations des droits humains en Ukraine depuis l'invasion à grande échelle par la Russie en février 2022, avait déjà conclu à l'usage "systématique" de la torture par les forces d'occupation russes. Mais dans son rapport oral au Conseil ce lundi, elle souligne que la vaste aire géographique et la similitude des méthodes employées "démontrent que la torture a été utilisée comme une pratique courante et acceptable par les autorités russes, avec un sentiment d'impunité".

Mais au-delà de la torture systématique et des viols dans les camps de prisonniers ou les viols de femmes dans les villes et villages occupés par les troupes russes, la Commission note "l'absence de toute aide médicale adéquate pour ceux qui en avaient désespérément besoin" dans de nombreux centres de détention contrôlés par les autorités russes. 

Dans un de ces centres, les médecins pénitentiaires ont même participé aux séances de torture. Erik Mose, président de la commission

À titre d'exemple, Erik Mose évoque les témoignages d'anciens détenus ukrainiens de la prison d'Olenivka, en Ukraine. Le 29 juillet 2022 une explosion dans le centre de détention d'Olenivka a provoqué la mort de nombreux prisonniers ukrainiens.

Les Russes accusent les Ukrainiens d'avoir bombardé la prison. Ces derniers, leurs alliés occidentaux et de nombreux analystes estiment que ce sont les Russes qui sont à l'origine de l'explosion.

Voir Ukraine : Russes et Ukrainiens s'accusent mutuellement du bombardement d'une prison

Selon les témoins, "aucune assistance médicale immédiate n'a été fournie à des dizaines d'autres personnes qui ont subi des blessures mettant leur vie en danger", indique Mose.
Seuls les médecins militaires, eux-même prisonniers, ont tenté d'apporter de l'aide aux blessés, souligne le rapport. "Ils ont vu de nombreuses personnes mourir cette nuit-là, tandis que les dirigeants de la colonie d'Olenivka restaient là à regarder", accuse Mose.

Les séquelles physiques et psychologiques sont profondes et les besoins en termes de santé mentale sont énormes, selon les témoignages recueillis par la Commission. "J'étais hanté par la peur d'être à nouveau emprisonné. Je suis physiquement chez moi, mais je me sens toujours emprisonné mentalement par le traumatisme que m'ont infligé les Russes", témoigne l'un de ces anciens prisonniers torturés.

De nombreuses victimes ont exprimé "le besoin vital que justice soit faite" et le président de la Commission a insisté sur le besoin de continuer à recueillir des éléments de preuve.
Il a regretté que la crise financière que traverse l'ONU ait "sévèrement affecté les effectifs du secrétariat de la Commission et sa capacité à voyager".
 

14H56
diplomatie

Le président iranien dit vouloir des discussions avec l'Occident sur "l'agression" russe en Ukraine

Le nouveau président iranien Massoud Pezeshkian veut discuter avec les Occidentaux au sujet de la guerre en Ukraine, niant fournir des armes à la Russie dont il a condamné "l'agression".
"Nous sommes prêts à nous asseoir avec les Européens et les Américains pour avoir un dialogue et des négociations. Nous n'avons jamais approuvé l'agression contre le territoire ukrainien", a-t-il déclaré lors d'une table-ronde avec des journalistes en marge de l'Assemblée générale de l'ONU.

Les gouvernements occidentaux accusent l'Iran de fournir des drones et des missiles à la Russie pour les besoins de sa guerre contre l'Ukraine, ce que Téhéran a toujours nié. Les tensions se sont renforcées récemment après l'annonce de la France, du Royaume-Uni, de l'Allemagne et des États-Unis de nouvelles sanctions contre l'Iran en représailles à des livraisons de missiles. Le président iranien a une nouvelle fois nié que son pays ait fourni des missiles.

L'Ukraine a menacé de rompre ses relations avec Téhéran en raison de ces missiles, qui selon des diplomates occidentaux pourraient permettre à la Russie de frapper plus loin en Ukraine.
Massoud Pezeshkian a assuré que l'Iran croit en la résolution du conflit en Ukraine "par le dialogue, pas par des morts". "Les frontières de chaque pays doivent être respectées", a-t-il déclaré.

14H26
frappes ukrainiennes en Russie

Trois morts dans une frappe ukrainienne dans la région de Belgorod

Trois personnes, dont un adolescent, ont été tuées ce lundi dans une frappe ukrainienne dans la région russe de Belgorod, frontalière de l'Ukraine, a indiqué le gouverneur régional Viatcheslav Gladkov.
Le village d'Arkhangelskoïé, situé à 5 km de la frontière, "a été la cible d'un bombardement de l'armée ukrainienne. Les habitants, deux adultes et un adolescent, ont été tués par un bombardement ennemi", a déploré le gouverneur Gladkov sur Telegram.
"Deux (autres, ndlr) civils, dont un enfant, ont été blessés" dans cette localité, a-t-il par ailleurs ajouté, précisant que "le garçon" était "actuellement transporté par une équipe d'ambulanciers à l'hôpital régional pour enfants".

La région de Belgorod est très régulièrement visée par des frappes ukrainiennes, en représailles aux bombardements russes quotidiens visant les villes et les infrastructures énergétiques d'Ukraine.
Elle se situe en face de celle ukrainienne de Kharkiv, où l'armée russe a lancé en mai une attaque importante avec pour but de créer une zone tampon à même de protéger la population civile russe des tirs ukrainiens.

La région russe de Koursk, voisine de celle de Belgorod, est le théâtre depuis le 6 août d'une offensive d'une ampleur sans précédent des forces ukrainiennes, qui disent avoir pris le contrôle de dizaines de localités sur le sol russe.

13H40
Droits de l'homme

"Personne n'est à l'abri" de la répression en Russie, selon une experte de l'ONU

"Personne n'est à l'abri" de la répression en Russie, a prévenu une experte de l'ONU lundi, affirmant que la situation s'était encore détériorée depuis l'an dernier.

Voir Gouverner, mobiliser, contester la Russie en Guerre

La situation "s'est considérablement aggravée depuis mon rapport l'an dernier, et le pays est désormais dirigé par un système de peur et de punition parrainé par l'État, qui recourt notamment à la torture en toute impunité", a déclaré la Rapporteure spéciale de l'ONU sur la situation des droits humains en Russie, Mariana Katzarova, en conférence de presse. Elle présentait son nouveau rapport qui sera discuté mardi devant le Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève.

Reprenant des chiffres déjà mentionnés début août par un groupe d'experts de l'ONU, la Rapporteure, qui est mandatée par le Conseil des droits de l'homme mais qui ne s'exprime pas au nom de l'organisation, a affirmé qu'il y a actuellement "plus de 1.300 prisonniers politiques" détenus en Russie.
"Nombre d'entre eux sont torturés ou leurs conditions de détention s'apparentent à de la torture et à des mauvais traitements", a dénoncé Katzarova, pour qui "la mort d'Alexei Navalny en février, alors qu'il était détenu par l'État, n'est qu'un exemple parmi d'autres du traitement brutal réservé à l'opposition politique".

Voir Russie : Maria Andreïeva, forcée à rendre les armes

En résumé, "la répression s'est intensifiée depuis l'année dernière", a expliqué la rapporteure, qui n'a pas été autorisée à se rendre en Russie, estimant que des défenseurs des droits humains, des journalistes et des personnalités politiques sont "persécutés et incarcérés en plus grand nombre".
"La violence policière est tolérée. Les arrestations et détentions arbitraires sont généralisées. Les conditions de détention se sont aggravées avec une augmentation de l'isolement cellulaire et de la mort en détention, particulièrement utilisée contre les prisonniers politiques", a affirmé Katzarova.

Elle a également pointé "la surveillance de masse sur internet" qui montre que "les autorités russes ne pourchassent pas uniquement physiquement les dissidents, opposants à la guerre et défenseurs des droits de l'homme, mais aussi via internet" de sorte que "personne n'est à l'abri".

Katzarova a expliqué que le point central de son rapport concerne "les violations des droits civils et politiques, en particulier en lien avec la dissidence anti-guerre que les autorités russes ont essayé de faire taire". Elle souligne particulièrement le lien entre "l'agression" russe lancée en février 2022 en Ukraine et "la répression" en Russie.
 

12H00
persona non grata

La Russie exclue des cérémonies du 80e anniversaire de la libération d'Auschwitz

Les représentants de la Russie ont été exclus des cérémonies du 80e anniversaire de la libération par l'Armée Rouge du camp de la mort nazi d'Auschwitz-Birkenau, a annoncé le musée d'Auschwitz, jugeant qu'une "telle présence serait cynique" en raison de la guerre en Ukraine.

Des représentants des religions du Livre prient devant le monument pour les victimes du camp nazi de Birkenau lors du 79eme anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz-Birkenau, le 27 janvier 2024.

Des représentants des religions du Livre prient devant le monument pour les victimes du camp nazi de Birkenau lors du 79eme anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz-Birkenau, le 27 janvier 2024.

© AP Photo/Czarek Sokolowski

C'est la troisième exclusion consécutive de la Russie à ces commémorations depuis la guerre déclenchée par Moscou en Ukraine en 2022, a souligné le musée d'Auschwitz.

Jusqu'à l'invasion de l'Ukraine, la Russie avait toujours participé aux cérémonies qui se tiennent chaque année le 27 janvier, le jour où les soldats soviétiques sont arrivés aux portes du camp nazi où ils ont trouvé quelque 7.000 survivants.

"C'est un anniversaire de la libération (du camp). Nous nous souvenons des victimes, mais nous y célébrons aussi la liberté. Il est difficile d'imaginer la présence de la Russie, qui ne comprend manifestement pas la valeur de la liberté", a expliqué le directeur du site de mémoire de l'ancien camp nazi allemand, Piotr Cywinski, dans un communiqué. Le musée d'Auschwitz a qualifié "d'acte de barbarie" l'invasion de l'Ukraine par la Russie. 

Construit en Pologne occupée, Auschwitz-Birkenau est le symbole du génocide perpétré par l'Allemagne nazie à l'encontre de six millions de Juifs européens, dont un million sont morts dans le camp entre 1940 et 1945, avec plus de 100.000 non-Juifs. Quelque 80.000 Polonais non-juifs, 25.000 Roms et 20.000 soldats soviétiques y ont également été tués par des nazis allemands.

11H28
Mer d'Azov

Kiev et Moscou devant la cour d'arbitrage à La Haye

L'Ukraine et la Russie se sont affrontées lundi devant la plus ancienne cour d'arbitrage au monde sur un contentieux de longue date portant sur l'accès à la mer d'Azov entourant la Crimée, péninsule ukrainienne annexée par Moscou. Kiev avait accusé Moscou en septembre 2016 d'entraver délibérément l'accès à la mer d'Azov devant la Cour permanente d'arbitrage (CPA), basée à La Haye.

L'avocat de la partie ukrainienne, Maître Anton Korynevych, accuse la Russie de ne pas respecter le droit international. "La Russie n'est pas libre de réécrire les lois maritimes", a-t-il martelé.
Il a affirmé que le pont de Kertch, construit par Moscou pour relier la péninsule annexée de Crimée au continent russe, entrave la navigation internationale tout comme les contrôles russes excessifs.

Revoir Ukraine : le pont de Crimée, symbole poutinien et "ligne rouge" du Kremlin

"La Russie considère désormais le détroit de Kertch, la mer d'Azov et peut-être même certaines parties de la mer Noire comme ses eaux territoriales", a-t-il déclaré devant le tribunal. "La Russie veut que ces eaux soient considérées comme faisant partie de son empire au XXIe siècle."

De son côté, l'avocat de la Russie, Maître Guennadi Kouzmine, a déclaré que l'affaire de Kiev était "complètement sans fondement et sans espoir".

Après l'annexion de la Crimée en 2014, les mers faisant l'objet d'un contentieux sont considérées comme des eaux intérieures et ne relèvent donc pas du champ d'application des lois internationales sur la navigation, a affirmé Maître Kouzmine. Il a déclaré que le pont de Kertch avait été construit pour alléger ce qu'il a appelé un "blocage" ukrainien de la Crimée, niant qu'il entrave la navigation.
Les revendications de l'Ukraine "ne relèvent pas de votre compétence et doivent être rejetées dans leur intégralité", a-t-il déclaré devant la CPA.

L'Ukraine a demandé à la CPA d'ordonner à la Russie de "cesser ses actions illégales internationales dans les eaux concernées". 

La Russie avait lancé une objection en 2019, affirmant que la cour d'arbitrage n'était pas compétente sur la souveraineté de la Crimée. En 2020, la CPA a donné raison à la Russie et a demandé à l'Ukraine de déposer un nouveau dossier. Les audiences doivent durer jusqu'au 5 octobre.

08H05
frappes russes

Des frappes russes en Ukraine font un mort et 23 blessés

Les dernières frappes russes en Ukraine ont fait un mort et vingt-trois blessés, ont déclaré ce lundi les autorités ukrainiennes.

Dimanche dans la région méridionale de Kherson, des tirs d'artillerie et des frappes aériennes russes ont touché des immeubles résidentiels, tuant une femme de 61 ans et blessant sept personnes, a déclaré Oleksandr Prokudin, son gouverneur. Et 16 personnes ont été blessés après sept frappes aériennes nocturnes effectuées par la Russie sur la ville de Zaporijjia, elle aussi dans le sud du pays, et ses environs, a déclaré la police nationale ukrainienne. Parmi ces blessés, quatre femmes ont été hospitalisées, a précisé de son côté sur Telegram le gouverneur de la région de Zaporijjia, Ivan Fedorov.

Ce dernier a publié, comme la police, des images de voitures endommagées et d'immeubles aux fenêtres et aux balcons arrachés. "Il y a eu une boule de feu et une explosion ici et cela semblait très proche de moi", a déclaré une femme âgée dans une vidéo publiée par la police.
Ivan Fedorov a précisé que treize immeubles avaient été endommagés ainsi que des établissements d'enseignement et des maisons.

Pendant la nuit, trois drones d'attaque Shahed ont été abattus par la défense aérienne ukrainienne, qui a aussi empêché un autre drone et deux missiles de croisière d'atteindre leurs cibles, a annoncé l'armée de l'air ukrainienne.
En Russie le ministère de la Défense a affirmé que huit drones ukrainiens avaient été interceptés et détruits au-dessus des régions de Koursk et Belgorod, frontalières avec l'Ukraine.

01H46
"protéger l'Ukraine"

Zelensky aux États-Unis pour y présenter son "plan de la victoire"

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est arrivé dimanche soir aux États-Unis, où il va présenter à son homologue américain Joe Biden et au Congrès les détails de son "plan de la victoire" visant à mettre fin à l'invasion russe de son pays.
Zelensky a démarré son séjour avec la visite, en Pennsylvanie (est), d'une usine d'armement produisant notamment des obus de 155 mm dont l'Ukraine fait une grande consommation face aux forces russes.
"J'ai débuté ma visite aux États-Unis en exprimant ma gratitude envers tous les salariés de l'usine", a-t-il souligné sur le réseau social X.

 

 "C'est dans ce genre d'endroit que l'on voit vraiment que le monde démocratique peut l'emporter", a-t-il ajouté.

Le chef d'État ukrainien doit se rendre à New York et à Washington, où il sera reçu jeudi par Joe Biden à la Maison Blanche. Zelensky, qui a estimé que "cet automne sera décisif pour la suite" de la guerre, a annoncé que son homologue américain serait "le premier à voir dans le détail" ses propositions pour mettre fin au conflit avec la Russie. "Cette guerre ne peut se terminer que par une paix juste grâce à des efforts internationaux. Le plan de victoire de l'Ukraine sera sur la table de tous nos alliés", a-t-il indiqué. "L'objectif principal est de renforcer l'Ukraine et de protéger tout notre peuple", a encore déclaré Zelensky sur X. Au cours de sa visite, le dirigeant ukrainien veut également présenter son plan au Congrès ainsi qu'aux "deux candidats à la présidentielle", la vice-présidente démocrate Kamala Harris et l'ancien président républicain Donald Trump. Il a indiqué vouloir ensuite le présenter à "tous les dirigeants de nos pays partenaires".
 

Qui anime ce direct ?