Direct terminé le 11 novembre 2024 à 21H15 TU
Direct démarré le 11 novembre 2024 à 08H44 TU

Les dirigeants arabes et musulmans plaident pour la création d'un État palestinien avec Jérusalem-Est comme capitale

À la fin de leur sommet à Ryad, les dirigeants de pays arabes et musulmans ont appelé Israël à se retirer totalement des territoires arabes qu'il occupe pour parvenir à une paix régionale "globale". Ils ont plaidé pour la création d'un État palestinien avec Jérusalem-Est comme capitale. Les horaires sont indiquées en TU.

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Réunion des dirigeants de la Ligue arabe et de l'Organisation de la coopération islamique, Ryad, 11/11/24.

Réunion des dirigeants de la Ligue arabe et de l'Organisation de la coopération islamique, Ryad, 11/11/24.

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19H36
ultimatum

Les dirigeants arabes et musulmans excluent toute paix avec Israël sans retrait des territoires occupés

"Une paix juste et globale dans la région (...) ne peut être obtenue sans mettre un terme à l'occupation israélienne de l'ensemble des territoires occupés" depuis 1967 - quand Israël a commencé à occuper la Cisjordanie, Jérusalem-Est et le Golan syrien - "et ce conformément aux résolutions de l'ONU et au plan de paix arabe de 2002", mentionne la déclaration finale du sommet.

Ces dirigeants de la Ligue arabe et de l'Organisation de la coopération islamique, accueillis par l'Arabie saoudite, poids-lourd régional, appellent à l'unité de tous les territoires palestiniens - bande de Gaza et Cisjordanie occupée - au sein d'un État palestinien, dont ils réaffirment que la capitale doit être Jérusalem-Est, occupée par Israël.

Le sommet de Ryad représentait, selon des analystes, une occasion pour ses participants de fixer leurs attentes envers la future administration du président élu américain, Donald Trump. Lors de son premier mandat, ce dernier avait multiplié les gestes en faveur d'Israël, notamment en transférant l'ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, mais aussi contribué à la normalisation de ses liens avec Bahreïn, les Emirats arabes unis, le Maroc et le Soudan, via les accords d'Abraham. Jusque là, parmi les 22 pays de la Ligue arabe, seuls l'Égypte, la Jordanie entretenaient des relations formelles avec Israël.

Les participants au sommet ont aussi "fermement condamné" les actions de l'armée israélienne, qualifiées de "crime de génocide (...) en particulier dans le nord de la bande de Gaza au cours des dernières semaines", où l'armée israélienne mène une offensive meurtrière depuis le 6 octobre.
Ils ont appelé la communauté internationale à "interdire l'exportation ou le transfert d'armes et de munitions à Israël" et condamné "les attaques continues des autorités israéliennes (...) contre l'ONU".

18H52
Colonisation extrême

Un ministre israélien promet l'annexion des colonies en Cisjordanie en 2025

Lors d'un discours au Parlement, Bezalel Smotrich, ministre des Finances d'extrême droite, également chargé de la gestion civile en Cisjordanie, et donc des colonies, a affirmé que la "création d'un État palestinien (...) mettrait en danger l'existence de l'État d'Israël".
"La seule façon d'éliminer cette menace (...) est d'appliquer la souveraineté israélienne sur les colonies de Judée et Samarie", a dit Smotrich, employant le nom que les Israéliens donnent à la Cisjordanie, territoire palestinien occupée par Israël depuis 1967.

Hormis Jérusalem-Est annexée, plus de 490.000 Israéliens vivent en Cisjordanie, dans des colonies que l'ONU juge illégales au regard du droit international, au milieu de 3 millions de Palestiniens.
Lui-même colon, Smotrich a précisé que 2025 serait "l'année de la souveraineté en Judée et Samarie" et qu'il avait donné instruction à l'administration de s'organiser "pour préparer l'infrastructure nécessaire à l'application de la souveraineté" israélienne sur les colonies de Cisjordanie. "Je n'ai aucun doute que le président Trump, qui a fait preuve de courage et de détermination dans ses décisions au cours de son premier mandat, soutiendra l'Etat d'Israël dans cette démarche", a-t-il dit.

Dans un communiqué, le ministre des Affaires étrangères palestinien a "condamné dans les termes les plus forts" les propos de Smotrich, symptomatiques selon lui d'un "colonialisme raciste par excellence" et d'un "mépris répété du droit international" encouragé par "l'échec international à faire appliquer les résolutions des Nation unies relative à la question palestinienne".
Lors de son premier mandat, Trump a multiplié les gestes en faveur d'Israël, déplaçant l'ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, reconnaissant la souveraineté israélienne sur le plateau du Golan syrien occupé annexé et contribuant à la normalisation des liens entre Israël et plusieurs pays arabes avec les accords d'Abraham. 

Smotrich doit participer mercredi à Paris au gala "Israël forever", un événement de soutien à Israël organisé par plusieurs personnalités d'extrême droite.

18H50
frappes au Liban

Au moins huit morts dans une frappe israélienne dans l'extrême nord du Liban

Le ministère de la Santé libanais indique qu'une frappe israélienne dans la région du Akkar avait tué au moins huit personnes lundi, dans l'une des attaques au Liban les plus au nord de la frontière israélienne depuis le début de la guerre en septembre entre Israël et le Hezbollah.
"La frappe de l'ennemi israélien sur Ain Yaacoub, dans la région du Akkar, a tué huit personnes et en a blessé 14 autres, selon un bilan préliminaire", a indiqué le ministère dans un communiqué.
 

18H36
condamnations par le monde arabe

Les dirigeants arabes et musulmans condamnent les "attaques" israéliennes contre l'ONU

Les dirigeants arabes et musulmans réunis ce lundi en Arabie saoudite ont condamné ce qu'ils ont qualifié de "nouvelles attaques" d'Israël contre les Nations unies. Ils ont exprimé leur "condamnation des attaques continues des autorités israéliennes et de leurs représentants contre l'ONU et son secrétaire général", citant notamment les restrictions imposées aux responsables essayant d'accéder au "territoire de l'État de Palestine".

Les participants au sommet ont "fermement condamné" les actions de l'armée israélienne, qualifiées de "crime de génocide (...) en particulier dans le nord de la bande de Gaza au cours des dernières semaines", dénonçant la torture, les exécutions, les disparitions et le "nettoyage ethnique", selon le communiqué final de la réunion.

Ils ont reaffirmé leur appel en la création d'un État palestinien souverain avec Jérusalem-Est comme capitale : "Nous réaffirmons la pleine souveraineté de l'Etat de Palestine sur Jérusalem-Est, la capitale éternelle de Palestine et rejetons toutes les mesures ou décisions israéliennes visant à (...) consolider l'occupation coloniale israélienne de la ville".

Dans leur communiqué final, les participants au sommet conjoint de la Ligue arabe et de l'Organisation de la coopération islamique appellent tous les pays à "interdire l'exportation ou le transfert d'armes et de munitions à Israël".
 

16H13
Trump sauveur du monde

Selon l'Iran, "le monde attend" que Trump mette fin aux guerres à Gaza et au Liban

"Le monde attend" que la future administration du président élu des États-Unis, Donald Trump, mette "immédiatement" fin aux guerres d'Israël à Gaza et au Liban, affirme ce lundi le premier vice-président iranien, Mohammad Reza Aref, au sommet des pays arabes et musulmans à Ryad.
"Le gouvernement américain est le premier soutien des actions du régime sioniste (Israël), et le monde attend la promesse du nouveau gouvernement de ce pays de mettre fin immédiatement à la guerre contre les populations innocentes de Gaza et du Liban", a déclaré Aref.
 

14H14
condamnation européenne

Les mots "nettoyage ethnique" de plus en plus employés sur la situation dans le nord de Gaza

"Les mots "nettoyage ethnique" sont de plus en plus utilisés pour décrire ce qui se passe dans le nord de Gaza", déclare le chef de la diplomatie européenne sur X. "Je condamne avec fermeté les dernières frappes israéliennes à Jabalia, dans la bande de Gaza. La réalité quotidienne des déplacements forcés viole le droit international", a ajouté Josep Borrell.

Les troupes israéliennes mènent depuis le 6 octobre une offensive aérienne et terrestre contre le nord de la bande de Gaza, notamment à Jabalia, où le Hamas cherche selon elles à regrouper ses forces.
La Défense civile palestinienne a fait état dimanche d'"au moins" 25 morts, "dont 13 enfants", dans une frappe qui a visé une maison à Jabalia, dans le nord du territoire palestinien.

La bâtisse a été réduite en un amas de pierres, d'après un correspondant de l'AFP. L'armée israélienne a dit avoir ciblé un site à Jabalia "où des terroristes opéraient", faisant référence au Hamas considéré comme un mouvement terroriste par Israël, les États-Unis et l'Union européenne. "Avant la frappe, de nombreuses mesures ont été prises pour limiter le risque de blesser des civils", selon l'armée.
Une autre frappe israélienne a touché une maison à Gaza-ville, également dans le nord, faisant cinq morts, selon la Défense civile.

Depuis le début de la guerre, Israël assiège les quelque 2,4 millions d'habitants de la bande de Gaza, dont la plupart ont été déplacés et sont menacés de famine, selon l'ONU. "Le recours à la faim comme arme de guerre est également contraire au droit humanitaire international", a encore souligné le chef de la diplomatie européenne, qui doit quitter ses fonctions en décembre, avertissant de la "forte probabilité d'une famine" dans le nord de Gaza.
 

14H09
médiation

Mohammed ben Salmane exige l'arrêt des attaques israéliennes au Liban et à Gaza

"Nous appelons la communauté internationale à assumer ses responsabilités (...) en mettant immédiatement un terme aux attaques israéliennes contre nos frères en Palestine et au Liban", a déclaré le prince héritier saoudien. Il a accusé Israël de commettre un "génocide" dans la bande de Gaza, dévastée par une offensive de représailles israélienne qui a fait plus de 43.600 morts, selon le ministère de la Santé du Hamas et provoqué un désastre humanitaire.

L'Arabie saoudite conditionne toute éventuelle normalisation avec Israël à la création d'un État palestinien, au côté d'Israël. Cette solution à deux Etats est voulue par une grande partie de la communauté internationale en vue d'un règlement du conflit israélo-palestinien vieux de plusieurs décennies.

 

13H19
suspension des vols

Lufthansa prolonge la suspension de ses liaisons avec Tel-Aviv jusqu'au 15 décembre

Le groupe de transport aérien allemand Lufthansa a annoncé lundi prolonger la suspension de ses liaisons avec Tel-Aviv jusqu'au 15 décembre inclus, en raisons du conflit au Proche-Orient.
Les vols vers l'aéroport israélien ont été suspendus courant septembre en raison de l'aggravation de la situation sécuritaire. Pour Lufthansa Airlines, l'une des compagnies du premier groupe européen de transport aérien qui opère au départ de l'Allemagne, la suspension vaut jusqu'au 31 décembre inclus, a indiqué Lufthansa dans un communiqué.

12H47
Déclaration du Premier ministre libanais

Le Premier ministre du Liban affirme qu'une crise "sans précédent" menace l'existence de son pays

Le Premier ministre libanais, Najib Mikati, affirme qu'une crise "sans précédent" menace l'existence de son pays.

Najib Mikati appelle également la communauté internationale à "continuer d'envoyer de l'aide au Liban", lors d'un sommet de la Ligue arabe et de l'Organisation de la coopération islamique à Ryad, en Arabie saoudite.

12H42
Discours du prince héritier saoudien

Le prince héritier saoudien appelle Israël à respecter la souveraineté de l'Iran et à s'abstenir d'attaquer son territoire

Le prince héritier de l'Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, déclare qu'Israël devait "respecter la souveraineté territoriale de la République islamique d'Iran" et "s'abstenir d'attaquer son territoire", à l'ouverture du sommet de la Ligue arabe et de l'Organisation de la coopération islamique à Ryad.

Le prince héritier, dirigeant de facto de l'Arabie saoudite, qualifie l'Iran de "République sœur", signe du réchauffement des relations entre les deux pays qui ont mis fin en mars 2023 à sept ans de brouille diplomatique grâce à un rapprochement négocié sous l'égide de la Chine.

Il appelle également au cessez-le-feu à Gaza et au Liban, à l'ouverture du sommet de la Ligue arabe et de l'Organisation de la coopération islamique à Ryad.  

"Nous appelons la communauté internationale à assumer ses responsabilités (...) en mettant immédiatement un terme aux attaques israéliennes contre nos frères de Palestine et du Liban", déclare le prince héritier qui a accusé Israël de commettre un "génocide" dans la bande de Gaza. 

12H08
cessez-le-feu au Liban

Israël note "certains progrès" en vue d'un cessez-le-feu au Liban

"Il y a certains progrès", a dit Gideon Saar en réponse à une question sur les perspectives d'une telle trêve. "Nous travaillons sur le sujet avec les Américains", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse à Jérusalem. Parmi les conditions d'un accord, il a évoqué le fait que le "Hezbollah ne (puisse) plus s'armer" et que ce mouvement islamiste soit repoussé à bonne distance de la frontière israélo-libanaise.
"Le principal défi consistera à faire respecter ce qui aura été convenu", a affirmé Saar, reprenant une idée déjà exprimée par plusieurs membres du gouvernement israélien ces derniers mois.

Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, estime notamment que seul Israël est capable de faire respecter un accord dans le sud du Liban, contrairement à la situation actuelle où ce mandat est largement confié à la Force intérimaire de l'ONU au Liban (Finul).

Stationnée sur place depuis 1978 pour faire tampon avec Israël, la Finul est chargée de surveiller la Ligne bleue, ligne de démarcation fixée par l'ONU entre le Liban et Israël.

L'armée israélienne a lancé à la mi-septembre une importante offensive militaire contre le Hezbollah au Liban. Au cours des mois précédents, les affrontements à la frontière entre Israël et le Liban étaient quasi quotidiens. Le Hezbollah avait dit y ouvrir un "front de soutien" en solidarité avec les Palestiniens de la bande de Gaza, théâtre d'une offensive lancée par Israël en riposte à l'attaque sans précédent perpétrée sur son sol par le Hamas le 7 octobre 2023.

10H43
deux états

Pour Israël, la création d'un Etat palestinien n'est pas une "position réaliste"

Vouloir établir un État palestinien n'est pas "aujourd'hui" un projet "réaliste", a déclaré le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, lors d'une conférence de presse à Jérusalem.
"En un mot? Non", a répondu Saar, interrogé sur la perspective d'une relance des accords dit d'Abraham avec l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis et de la possibilité d'étendre la normalisation entre Israël et plusieurs pays arabes à l'Arabie saoudite en échange de la création d'un État palestinien. "Un État palestinien (...) sera un Etat Hamas", a-t-il ajouté, "je ne pense pas que cette position soit réaliste aujourd'hui, et nous devons être réalistes".
 

10H30
match Tel-Aviv - Ajax

Israël juge le nombre d'arrestations "très bas" lors des échauffourées post-match à Amsterdam

Le nouveau ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a juge ce ludni le nombre d'arrestations à Amsterdam "très bas" après les violences qui y ont éclaté en marge d'un match de football jeudi soir. "J'ai été informé par la maire d'Amsterdam de la formation d'une équipe d'enquête spéciale, mais je peux dire que jusqu'à présent, le nombre d'arrestations est très bas", a déclaré Saar lors d'une conférence de presse. Israël a offert son aide dans l'enquête sur ces violences, a-t-il précisé.

Voir Violences antisémites à Amsterdam : pluie de condamnations

La police néerlandaise a fait état d'une soixantaine d'arrestations après les violences qui sont survenues en marge du match entre l'Ajax d'Amsterdam et le club israélien du Maccabi Tel-Aviv.

De 20 à 30 supporters du Maccabi ont été blessés après avoir été pris à partie par des groupes d'individus qui, selon la police néerlandaise, ont répondu à un appel à cibler les Juifs lancé sur les réseaux sociaux.

Ces heurts se sont produits dans un contexte de montée des actes antisémites et anti-israéliens depuis le début de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas il y a un peu plus d'un an dans la bande de Gaza. "C'est une explosion d'antisémitisme que j'espère ne plus jamais revoir", a déclaré la maire d'Amsterdam, Femke Halsema, qui a dit avoir "honte" de cette violence.

Samedi, la ministre néerlandaises des Affaires étrangères, Caspar Veldkamp, a assuré qu'une "enquête approfondie sera(it) menée aux Pays-Bas".

Des supporters du Maccabi Tel Aviv accueillis à l'aéroport Ben-Gurion depuis Amsterdam, le 8 novembre 2024.

Des supporters du Maccabi Tel Aviv accueillis à l'aéroport Ben-Gurion depuis Amsterdam, le 8 novembre 2024.

© AP Photo/Tsafrir Abayov

Le match s'est déroulé jeudi dans une ambiance globalement calme, même si certains supporters israéliens n'ont pas respecté la minute de silence en mémoire des victimes des inondations en Espagne, pays qui a récemment reconnu l'Etat de Palestine. Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, dont l'origine n'a pas pu être vérifiée, ce qui semble être des fans du club du Maccabi avaient entonné en hébreu des chants hostiles aux Palestiniens.
 

10H22
Frappe en Syrie

En Syrie, un média officiel fait état d'une frappe près de Homs

L'agence officielle syrienne Sana fait état d'une "agression israélienne" visant la région de Homs, dans le centre de la Syrie, au lendemain d'une frappe meurtrière près de Damas.

Selon Sana, "une agression israélienne" a visé "les alentours de la région de Chinchar au sud de Homs". L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) indique pour sa part que le raid israélien visait "un entrepôt de munitions" du Hezbollah libanais.

09H25
Situation au Liban

Israël note "certains progrès" en vue d'un cessez-le-feu au Liban

Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, fait état de "certains progrès" en vue d'un cessez-le-feu au Liban, où l'armée israélienne a lancé à la mi-septembre une importante offensive militaire contre le mouvement islamiste Hezbollah.

"Il y a certains progrès", a-t-il dit en réponse à une question sur les perspectives d'une telle trêve. "Nous travaillons sur le sujet avec les Américains", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse à Jérusalem.

Le responsable média du Hezbollah, Mohammad Afif, affirme quant à lui que l'armée israélienne n'occupait toujours aucun village du sud du Liban.

"Après 45 jours de sanglantes batailles, l'ennemi israélien est toujours incapable d'occuper un seul village" du sud du Liban, assure le responsable lors d'une conférence de presse dans la banlieue sud de Beyrouth, pilonnée par l'aviation israélienne.

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avec agences