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Direct Deux combattants du Hezbollah et un soldat israélien tués dans les combats

Le Hezbollah a revendiqué des attaques contre le nord d'Israël et annoncé la mort de deux de ses combattants dans une frappe israélienne sur le sud du Liban, sur fond de craintes d'escalade des violences. L'armée israélienne a également annoncé la mort d'un soldat dans le nord d'Israël.
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Zone industrielle détruite par une attaque aérienne israélienne, à Wadi al-Kfour, dans la province de Nabatieh, au sud du Liban, samedi 17 août. AP/ Mohammed Zaatari.

Zone industrielle détruite par une attaque aérienne israélienne, à Wadi al-Kfour, dans la province de Nabatieh, au sud du Liban, samedi 17 août. AP/ Mohammed Zaatari.

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nouvelle(s) publication(s)
20H00
presse

Un journaliste tué dans le sud de la bande de Gaza

Le ministère de la Santé de Gaza et un média palestinien ont annoncé aujourd'hui la mort d'un journaliste. Ils ont déclaré qu'il avait été touché la veille par des tirs israéliens dans le sud de la bande de Gaza.

"Le corps d'Ibrahim Mouhareb a été amené à l'hôpital Nasser" de Khan Younès aujourd'hui, a indiqué le ministère. Le site PDN (Palestinian Daily News), pour lequel travaillait notamment Ibrahim Mouhareb, a annoncé son décès "après des tirs (...) de l'occupation israélienne sur lui et un groupe de journalistes" dans le quartier Hamad-ville de Khan Younès.  

Deux autres journalistes qui se trouvaient avec lui au moment des tirs ont été blessés et admis hier en fin de journée à l'hôpital Nasser de Khan Younès, selon un journaliste de l'AFP sur place.

17H29
Vaccination

Blinken dit qu'Israël accepte un plan pour des vaccins anti-polio à Gaza "dans les prochaines semaines"

Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a assuré qu'Israël avait accepté de soutenir les efforts en vue de vacciner les enfants gazaouis contre la polio. 

"Nous travaillons avec le gouvernement israélien", a-t-il dit, "je pense que nous pourrons proposer un plan dans les prochaines semaines. C'est urgent. C'est vital". L'ONU avait réclamé vendredi des "pauses humanitaires" d'une semaine pour vacciner plus de 640 000 enfants. Un cas confirmé, le premier depuis 25 ans, a été déclaré dans le territoire palestinien.

17H13
Plan de trêve

Blinken déclare que Netanyahu soutient le plan américain et qu'il "incombe" au Hamas de "faire de même"

Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a assuré à Tel-Aviv que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu lui avait "confirmé qu'Israël acceptait le plan de compromis" de Washington pour une trêve à Gaza, affirmant qu'il "incombe" désormais au Hamas "d'en faire de même".

Antony Blinken a ajouté avoir demandé aux dirigeants israéliens d'agir contre les violences de colons juifs visant des Palestiniens en Cisjordanie occupée.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré de son côté vouloir la libération du "maximum d'otages vivants" dès la première phase du plan en trois phases proposé par les Etats-Unis.

Antony Blinken a rencontré Benjamin Netanyahu et d'autres dirigeants israéliens aujourd'hui, et doit se rendre demain en Egypte avant d'aller au Qatar, les deux pays médiateurs.

14H20
Armement

Démission d'un diplomate britannique en désaccord avec les ventes d'armes de Londres à Israël

Un diplomate britannique en poste en Irlande a démissionné pour critiquer les ventes d'armes du Royaume-Uni à Israël, déclarant que le ministère britannique des Affaires étrangères "pourrait être complice de crimes de guerre".  

Il n'y a "aucune justification à la poursuite des ventes d'armes du Royaume-Uni à Israël", a écrit Mark Smith dans son mail de démission envoyé à des collègues et diffusé sur les réseaux sociaux. 

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Il était en poste à l'ambassade britannique à Dublin, où il était deuxième secrétaire spécialisé dans les questions de terrorisme. Il se décrit par ailleurs comme un expert en politique de vente d'armes. 

Mark Smith a expliqué dans un communiqué avoir "écrit au ministre des Affaires étrangères pour l'informer de (sa) démission et l'exhorter à revoir d'urgence l'approche britannique de la situation à Gaza", selon la BBC aujourd'hui.

12H36
Bilan

L'armée israélienne annonce la mort d'un soldat dans le nord du pays

L'armée israélienne a annoncé qu'un de ses soldats était "tombé au combat dans le nord d'Israël", là où l'armée affronte le Hezbollah libanais.

Cette mort porte à 23 le nombre de soldats israéliens tués depuis le 7 octobre dans le nord d'Israël et sur le plateau syrien du Golan occupé et annexé, auxquels s'ajoutent 26 civils, selon les autorités israéliennes, dans des tirs depuis le Liban de roquettes et de missiles du Hezbollah, allié du Hamas.

11h40

Le Hezbollah mène des attaques contre le nord d'Israël, annonce la mort de deux combattants

Le Hezbollah a revendiqué des attaques contre le nord d'Israël lundi et annoncé la mort de deux de ses combattants dans une frappe israélienne sur le sud du Liban, sur fond de craintes d'escalade des violences.

Dans ce contexte de tension, l'aviation israélienne a survolé Beyrouth à basse altitude et "franchi le mur du son à deux reprises", selon l'Agence nationale d'information (ANI, officielle).

Depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza le 7 octobre, les échanges de tirs transfrontaliers entre le Hezbollah et Israël sont quasi quotidiens, le mouvement pro-iranien affirmant attaquer Israël en soutien à son allié, le Hamas palestinien.

Mais les craintes d'un embrasement régional sont vives depuis la frappe israélienne qui a tué un chef militaire du Hezbollah dans son bastion de la banlieue sud de Beyrouth fin juillet, et l'assassinat du chef du Hamas à Téhéran, qui l'a imputé à Israël. L'Iran et le Hezbollah ont promis de riposter.

Lundi, l'armée israélienne a indiqué que son aviation avait frappé "des terroristes du Hezbollah" à Houla, dans le sud du Liban.

Le Hezbollah a confirmé que deux de ses combattants avaient été tués par des tirs israéliens, sans plus de détails. Le ministère libanais de la Santé a fait état de deux morts à Houla.

Peu auparavant, le mouvement pro-iranien avait annoncé avoir lancé des "drones chargés d'explosifs" sur deux positions militaires israéliennes, la caserne de Yaara près de la frontière, et une base près de la ville côtière d'Acre, à environ 15 km de la frontière.

L'armée israélienne a dit avoir intercepté plusieurs projectiles "suspects" en provenance du Liban, tandis que "d'autres sont tombées" dans la région de Yaara, selon un communiqué.

Le Hezbollah a précisé que son attaque intervenait "en réponse" à la mort d'un de ses combattant samedi dans dans la région de Tyr dans le sud du Liban.

L'armée israélienne avait annoncé que son aviation avait "éliminé" un "commandant" de l'unité d'élite Al-Radwan du Hezbollah samedi dans cette région.

11h10

Raid israélien au Yémen après une attaque des Houthis à Tel-Aviv, possibles "crimes de guerre" (HRW)

L'ONG Human Rights Watch a estimé lundi que le raid aérien israélien en juillet contre un port au Yémen tenu par les rebelles houthis, ainsi qu'une attaque au drone de ces derniers à Tel-Aviv, pouvaient constituer de possibles "crimes de guerre".

Le 20 juillet, Israël a bombardé le port stratégique de Hodeida, principal point d'entrée des marchandises et de l'aide humanitaire pour les zones sous contrôle des rebelles yéménites.

Le raid a été mené deux jours après une attaque de drone des Houthis sur Tel-Aviv, qui a fait un mort et qui pourrait aussi constituer un crime de guerre, selon HRW.

La riposte israélienne a fait neuf morts, selon un bilan des médias houthis, et provoqué d'énormes incendies qui ont dévoré plusieurs dépôts de carburant dans le port de Hodeida.

"Au moins six civils" ont été tués dans les frappes qui "auraient blessé au moins 80 autres personnes", a indiqué HRW.

L'ONG de défense des droits humains a ajouté que le port visé était "essentiel pour la livraison de nourriture et d'autres produits de première nécessité".

L'armée israélienne avait affirmé que la zone portuaire ciblée était la "principale route d'approvisionnement pour l'acheminement d'armes iraniennes" vers le Yémen.

Les frappes "ont endommagé ou détruit au moins 29 des 41 réservoirs de stockage de pétrole du port, ainsi que les deux seules grues", a indiqué HRW.

Selon l'ONG, les dommages provoqués par les frappes israéliennes sur le port de Hodeida risquent d'aggraver les conditions de vie de millions de personnes au Yémen, pays pauvre de la péninsule arabique, affligé depuis 2014 par une guerre entre les Houthis et le gouvernement qui a provoqué l'une des plus graves crises humanitaires au monde.

"Les Yéménites souffrent déjà d'une famine généralisée à la suite d'un conflit qui dure depuis dix ans. Ces attaques ne feront qu'exacerber leurs souffrances", a déclaré Niku Jafarnia, chercheur de HRW pour le Yémen et le Bahreïn.

10h10

Le Hamas et le Jihad islamique revendiquent l'"attaque suicide" de Tel-Aviv dimanche

Les branches armées du Hamas et du Jihad islamique palestiniens ont renvendiqué lundi dans un communiqué conjoint "l'attaque suicide de dimanche soir à Tel-Aviv", menaçant de commettre d'autres attentats en Israël.

Les Brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas, en guerre contre Israël à Gaza depuis plus de dix mois, et les Brigades al-Qods, leur pendant du Jihad islamique disent ainsi que "les attentats suicide à l'intérieur occupé (Israël, NDLR) reviendront sur le devant de la scène tant que dureront les massacres de l'occupant (israélien), les opérations de transfert forcé de civils et la politique des assassinats".

10h00

Guerre à Gaza: le ministère de la Santé du Hamas annonce un nouveau bilan de 40.139 morts

Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas dans la bande de Gaza a annoncé lundi un nouveau bilan de 40.139 morts dans le territoire palestinien depuis le début de la guerre avec Israël, dans son onzième mois.

Au moins 40 personnes ont été tuées ces dernières 24 heures, indique le ministère dans un communiqué, ajoutant que 92.743 personnes ont été blessées dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre.

08h50

La police israélienne annonce qu'un "attentat terroriste à l'explosif" a eu lieu dimanche à Tel-Aviv

La police et le renseignement intérieur israéliens ont annoncé lundi avoir établi qu'une explosion survenue la veille à Tel-Aviv était "un attentat terroriste au moyen d'un explosif puissant" qui a "blessé légèrement un passant".

Les attaques à l'explosif à Tel-Aviv, très fréquentes lors de la deuxième Intifada, le soulèvement palestinien au début des années 2000, sont désormais rares. Dimanche, les autorités israéliennes ont indiqué que l'explosion avait fait un mort, qui est l'auteur présumé de l'attentat, selon des médias israéliens.

08h20

Deux morts dans une frappe israélienne dans le sud du Liban (ministère de la Santé)

Le ministère libanais de la Santé a annoncé la mort de deux personnes lundi dans une frappe israélienne dans le sud du Liban, après que le Hezbollah a revendiqué des attaques contre le nord d'Israël.

Depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, déclenchée par Israël le 7 octobre en représailles à l'attaque du Hamas le même jour sur le sol israélien, les échanges de tirs transfrontaliers entre le Hezbollah et Israël sont quasi quotidiens, le mouvement pro-iranien affirmant attaquer Israël en soutien à son allié du Hamas.

Mais les craintes d'un embrasement régional sont vives depuis une frappe israélienne qui a tué un chef militaire du Hezbollah dans son bastion de la banlieue sud de Beyrouth fin juillet, quelques heures avant l'assassinat du chef du Hamas à Téhéran, qui l'a imputé à Israël. L'Iran et le Hezbollah ont promis de riposter.

"Le raid de l’ennemi israélien sur la localité de Houla (sud) ce matin a fait deux morts", a indiqué le ministère de la Santé dans un communiqué.

Le Hezbollah n'a pas annoncé la mort de combattants dans l'immédiat.

Peu auparavant lundi matin, le mouvement pro-iranien a dit avoir mené une "attaque aérienne" avec des "drones chargés d'explosifs" sur deux positions militaires israéliennes - une caserne près de la frontière et une base près de la ville côtière d'Acre, située à environ 15 km de la frontière.

Cette attaque intervient "en réponse" à un "assassinat" israélien dans la région de Tyr, au sud du Liban, selon le groupe qui avait annoncé la mort samedi d'un de ses combattants.

Samedi, l'armée israélienne a annoncé que son aviation avait "éliminé" un membre du Hezbollah dans la région de Tyr, affirmant qu'il s'agissait d'un "commandant" de l'unité d'élite Al-Radwan du groupe.

Dans la nuit de dimanche à lundi, le Hezbollah a également affirmé avoir repoussé à l'aide de "missiles et de l'artillerie" un groupe de soldats israéliens qui s'étaient "infiltrés" en territoire libanais près de la frontière.

07h35

Blinken en Israël à "un moment décisif" des négociations pour une trêve à Gaza

Le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, a exhorté lundi Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas à "ne pas faire dérailler" les négociations en vue d'un cessez-le-feu après plus de dix mois de guerre dans la bande de Gaza, évoquant "un moment décisif" pour parvenir à un accord.

"C'est un moment décisif, c'est probablement la meilleure, peut-être la dernière occasion de ramener les otages chez eux, d'obtenir un cessez-le-feu", a déclaré M. Blinken, lors d'un entretien à Tel-Aviv avec le président israélien, Isaac Herzog.

"C'est aussi le moment de s'assurer que personne ne fait quoi que ce soit qui pourrait faire dérailler le processus", a-t-il ajouté. Israël et le Hamas s'accusent mutuellement de faire échouer les négociations menées par les trois pays médiateurs -- Etats-Unis, Egypte et Qatar.

Arrivé dimanche en Israël, le chef de la diplomatie américaine doit également rencontrer dans la journée le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à l'occasion de son neuvième voyage dans la région depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, déclenchée le 7 octobre par Israël en riposte à l'attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien le même jour.

M. Blinken se rendra mardi au Caire, où les médiateurs doivent reprendre leurs discussions cette semaine. 

"Nous travaillons pour nous assurer qu'il n'y a pas d'escalade ni de provocations ni aucune action qui pourrait d'une manière ou d'une autre nous éloigner de cet accord ou élargir le conflit à d'autres endroits ou augmenter son intensité", a poursuivi M. Blinken. 

M. Herzog, dont le rôle est principalement protocolaire, a affirmé de son côté que les Israéliens voulaient le retour "le plus tôt possible" des otages enlevés lors de l'attaque du 7 octobre par le Hamas et retenus depuis dans la bande de Gaza.

Réagissant aux propos de M. Blinken, le chef de l'opposition israélienne, Yair Lapid, a affirmé qu'il s'agissait d'un "appel à Netanyahu: ne ratez pas cette occasion, vous les avez abandonnés (les otages). Il est de votre devoir de les ramener".

Washington espère mettre fin à plus de dix mois d'un conflit dévastateur, qui ternit le bilan du président sortant, Joe Biden, et risque de s'étendre à toute la région après les menaces de l'Iran et de ses alliés.

03h20

Gaza: Blinken en Israël, Netanyahu et le Hamas s'accusent de faire échouer un accord

Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken rencontre lundi les principaux dirigeants israéliens pour tenter de débloquer le processus en vue d'un cessez-le-feu à Gaza, qu'Israël et le Hamas s'accusent mutuellement de faire échouer.

Arrivé dimanche en Israël, le chef de la diplomatie américaine doit notamment s'entretenir avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu, le ministre de la Défense Yoav Gallant et le président Isaac Herzog.

M. Blinken, dont c'est la neuvième visite au Moyen-Orient depuis l'attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre, se rendra ensuite mardi au Caire, où les médiateurs doivent reprendre leurs discussions cette semaine.

Il espère convaincre "toutes les parties" de conduire un accord "sur la ligne d'arrivée", a expliqué un représentant américain l'accompagnant, après son arrivée à Tel-Aviv.

Washington espère mettre fin à plus de dix mois d'un conflit dévastateur, qui ternit le bilan du président sortant Joe Biden et que l'Iran et ses alliés menacent de transformer en embrasement régional.

Dimanche, M. Netanyahu a appelé à "diriger la pression sur le Hamas" et "non vers le gouvernement israélien", dénonçant un "refus obstiné" du mouvement palestinien de conclure un accord, après deux jours de négociations à Doha entre la partie israélienne et les médiateurs américain, qatari et égyptien. 

"Nous faisons porter à Benjamin Netanyahu l'entière responsabilité d'avoir fait échouer les efforts des médiateurs et fait obstruction à un accord", au mépris de la "vie des otages" détenus depuis le 7 octobre, a rétorqué le Hamas dans un communiqué.

Joe Biden a toutefois jugé dimanche soir qu'une trêve à Gaza était "toujours possible" et a assuré que les Etats-Unis "n'abandonnaient pas" leurs efforts.

Les Etats-Unis, qui viennent d'approuver une vente d'armes de 20 milliards de dollars à leur allié israélien, ont soumis vendredi lors des pourparlers à Doha une nouvelle proposition de compromis.

22h00

Biden juge "toujours possible" une trêve à Gaza

Le président américain Joe Biden a jugé dimanche qu'une trêve à Gaza était "toujours possible" et a assuré que les Etats-Unis "n'abandonnaient pas" leurs efforts, lors d'un bref échange avec la presse.

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et le Hamas se sont renvoyés dimanche la responsabilité de l'échec des médiateurs à arracher jusqu'à présent un accord pour un cessez-le-feu, au début d'une visite en Israël du secrétaire d'Etat américain Antony Blinken.

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