Dix-neuf amendements au total pour tenter de sortir de l'impasse. Le plus important d'entre-eux vise à exclure une sortie sans accord : un "no deal" qui serait catastrophique pour l'économie britannique. Il est soutenu par des élus de tous les partis présents au Parlement.
Un autre a pour but de reporter la date du Brexit. Théoriquement, la Grande-Bretagne doit quitter l'Union européenne le 29 mars. Mais si aucun accord n'est trouvé d'ici à la fin février, les députés demanderont un délai supplémentaire pour négocier, et donc un report du Brexit au mois de décembre 2019.
Sujet le plus controversé de ce Brexit : la frontière irlandaise... Principale raison pour laquelle les députés ont rejeté l'accord initial avec Theresa May.
Ils refusent le "backstop", cette clause, soutenue par Bruxelles, et par l'Irlande du Nord, censée éviter le retour d'une frontière physique entre les deux Irlandes.
A la place, ils proposent plusieurs idées comme la signature d'un accord bilatéral.
Seuls les amendement sélectionnés par le président de la Chambre des communes seront soumis au vote des députés. Après validation par le Parlement, Theresa May présentera ces propositions aux Européens. Ce sera alors à l'Europe de décider si elle accepte ces changements.
L'issue du vote du jour est plus qu'incertaine. Il pourrait tout autant clarifier les positions, ou brouiller encore plus les pistes, alors qu'il ne reste que deux mois aux négociations.
Un autre a pour but de reporter la date du Brexit. Théoriquement, la Grande-Bretagne doit quitter l'Union européenne le 29 mars. Mais si aucun accord n'est trouvé d'ici à la fin février, les députés demanderont un délai supplémentaire pour négocier, et donc un report du Brexit au mois de décembre 2019.
Sujet le plus controversé de ce Brexit : la frontière irlandaise... Principale raison pour laquelle les députés ont rejeté l'accord initial avec Theresa May.
Ils refusent le "backstop", cette clause, soutenue par Bruxelles, et par l'Irlande du Nord, censée éviter le retour d'une frontière physique entre les deux Irlandes.
A la place, ils proposent plusieurs idées comme la signature d'un accord bilatéral.
Seuls les amendement sélectionnés par le président de la Chambre des communes seront soumis au vote des députés. Après validation par le Parlement, Theresa May présentera ces propositions aux Européens. Ce sera alors à l'Europe de décider si elle accepte ces changements.
L'issue du vote du jour est plus qu'incertaine. Il pourrait tout autant clarifier les positions, ou brouiller encore plus les pistes, alors qu'il ne reste que deux mois aux négociations.