A l'approche des élections législatives, programmées le 29 juin, et de la présidentielle, prévue pour le 15 juillet, le Burundi reste sous haute tension après un mois et demi d'une contestation déclenchée par l'annonce de la candidature du président sortant Pierre Nkurunziza à un troisième mandat après dix ans de pouvoir.
Le 26 avril, l'opposition, jugeant cette candidature anticonstitutionnelle, lançait un large mouvement de contestation. Les troubles ont fait une quarantaine de morts et poussé plus de 100 000 Burundais à fuir vers les pays voisins.
Ce dimanche 14 juin s'ouvre à Johannesburg, en Afrique du Sud, le sommet de l'Union africaine. Le président burundais n'y participe pas.
Le 26 avril, l'opposition, jugeant cette candidature anticonstitutionnelle, lançait un large mouvement de contestation. Les troubles ont fait une quarantaine de morts et poussé plus de 100 000 Burundais à fuir vers les pays voisins.
Ce dimanche 14 juin s'ouvre à Johannesburg, en Afrique du Sud, le sommet de l'Union africaine. Le président burundais n'y participe pas.