Depuis l'embrasement syrien en 2011, les images de cadavres se multiplient mais jamais autant de corps n'avaient été découverts. Sur les rives d'une rivière qui traverse Alep, une vision d'horreur. Après un premier bilan de 78 morts, ce sont en fait plus de 100 corps (selon Human rights Watch) de jeunes hommes dont des enfants qui sont repêchés. Des cadavres méconnaissables, des corps exécutés par balles avant d'être jetés dans la rivière.
Un nouveau crime perpétué par le régime de Bachar Al-Assad pour l'opposition syrienne alors que les services de sécurité syriens accusent, eux, un groupe islamiste. Qui tue qui en Syrie ? La réponse est de plus en plus difficile ce 30 janvier 2013, au moment des faits.
Pour le médiateur internationale de l'ONU d'alors, Lakhdar Brahimi, la situation en Syrie atteint un niveau d'horreur sans précédent. L'émissaire de la Ligue arabe et de l'ONU invite le Conseil de sécurité à dépasser ses divergences pour se "coltiner à ce problème syrien". Il invite les pays membres du Conseil de sécurité à exercer plus de pression sur les belligérants.
La révolution syrienne entamée en 2011 s'est transformée en guerre civile depuis.
Un nouveau crime perpétué par le régime de Bachar Al-Assad pour l'opposition syrienne alors que les services de sécurité syriens accusent, eux, un groupe islamiste. Qui tue qui en Syrie ? La réponse est de plus en plus difficile ce 30 janvier 2013, au moment des faits.
Pour le médiateur internationale de l'ONU d'alors, Lakhdar Brahimi, la situation en Syrie atteint un niveau d'horreur sans précédent. L'émissaire de la Ligue arabe et de l'ONU invite le Conseil de sécurité à dépasser ses divergences pour se "coltiner à ce problème syrien". Il invite les pays membres du Conseil de sécurité à exercer plus de pression sur les belligérants.
La révolution syrienne entamée en 2011 s'est transformée en guerre civile depuis.