Le 12 janvier 2010 à 16 h 53, Haïti était frappée par l'un des séismes les plus dévastateurs de l'Histoire. Port-au-Prince, sa capitale, s'est trouvée en quelques secondes réduite à l'état de ruines. On estime à près de 200 000 le nombre de victimes de la catastrophe.
L'aéroport impraticable, le pays et sa population sont restés coupés du monde pendant plusieurs jours avant que parviennent, chaotiques et parfois décalés voire intéressés, les premiers secours internationaux.
Pascal Priestley et Guillaume Gouet, journalistes de TV5MONDE, se trouvaient près de la capitale lors de la catastrophe pour le tournage d'une série de reportages, Chroniques haïtiennes, récits de la vie quotidienne d'un village en développement. Ils en achevaient le troisième épisode lorsque, durant une interview, la terre s'est mise à trembler.
Carnet de route du chaos raconte ces heures tragiques, la découverte progressive de la catastrophe et de son ampleur, le drame qu'elle a signifié pour les populations, leur lutte impressionnante.
Ils sont, les mois suivants, régulièrement retournés en Haïti et relatent, au fil d'une seconde partie imprévue de leurs Chroniques ainsi que dans un documentaire (La vie quand même), pour une émission spéciale, enfin (Un an après), la douloureuse convalescence d'un pays meurtri mais non vaincu.
L'aéroport impraticable, le pays et sa population sont restés coupés du monde pendant plusieurs jours avant que parviennent, chaotiques et parfois décalés voire intéressés, les premiers secours internationaux.
Pascal Priestley et Guillaume Gouet, journalistes de TV5MONDE, se trouvaient près de la capitale lors de la catastrophe pour le tournage d'une série de reportages, Chroniques haïtiennes, récits de la vie quotidienne d'un village en développement. Ils en achevaient le troisième épisode lorsque, durant une interview, la terre s'est mise à trembler.
Carnet de route du chaos raconte ces heures tragiques, la découverte progressive de la catastrophe et de son ampleur, le drame qu'elle a signifié pour les populations, leur lutte impressionnante.
Ils sont, les mois suivants, régulièrement retournés en Haïti et relatent, au fil d'une seconde partie imprévue de leurs Chroniques ainsi que dans un documentaire (La vie quand même), pour une émission spéciale, enfin (Un an après), la douloureuse convalescence d'un pays meurtri mais non vaincu.