Tout cette journée de dimanche (NDLR : 10 septembre 2017) à Juchitan, dans le sud du Mexique, les survivants ont pleuré et enterré leurs proches.
Trois jours après le tremblement de terre de magnitude 8,2, l'aide s'organise. Le bilan s'est alourdit.
"Nous informons que le bilan des personnes qui ont perdu la vie est passé à 90, dont 71 dans l'Etat de Oaxaca, 15 au Chiapas et 4 dans l'Etat de Tabasco", avait indiqué la protection civile mexicaine dans un communiqué diffusé dans la soirée.
Dans l'État d'Oaxaca, le plus meurtri par ce puissant séisme, 25 nouvelles victimes ont été dénombrées dans la journée de dimanche.
Le président Enrique Peña Nieto s'était rapidement rendu sur place. Il avait survolé en hélicoptère les zones affectées et avait assuré les gouverneurs concernés du soutien du pouvoir central.
1.000 militaires ont été déployés et des vivres, des couvertures et des matelas sont en cours d'acheminement.
Les répliques. La hantise des sauveteurs. Depuis jeudi, 800 répliques environ ont été enregistrées. Les riverains craignent aussi pour leur biens.
Plusieurs familles accompagnées d'enfants et de personnes âgées s'étaient installées notamment sur des hamacs sous des arbres à proximité de leur maison. Des rescapés qui refusent de se rendre dans des abris. Ils refusent de perdre de vue ce qui restait de leurs biens.
"Si nous restons dans nos maisons, nous risquons d'y être ensevelis, mais si nous partons dans les abris, on risque de nous voler nos biens", confiait à l'AFP, Hector Aguilar, un professeur d'histoire de 52 ans.
Certains commerçants s'efforçait de vendre au plus vite leurs produits par crainte d'éventuels pillages.
Le rétablissement de l'eau potable, et del'électricité, sont aussi des priorités sur place. Une têche gigantesque face au plus grave séisme recensé dans le pays depuis celui de 1985. Les ONG comme la Croix-Rouge mexicaine s'organisent et des collectes de vivres sont planifiées dans tous les pays.
A Monterrey, par exemple, dans le nord, André-Pierre Gignac et Timothée Kolodziejczak, joueurs du club des Tigres ont également participé à une collecte en signe de solidarité.
L'épicentre du tremblement de terre a été localisé dans le Pacifique, à environ 100 kilomètres au large de Tonala (État du Chiapas), selon le centre géologique américain USGS.
La secousse, a aussi fait plus de 200 blessés. Elle a été ressentie jusqu'à Mexico, la capitale. Elle y a même déclenchant des mouvements de panique, mais aussi au Guatemala, dont quatre habitants ont été blessés.

"Nous informons que le bilan des personnes qui ont perdu la vie est passé à 90, dont 71 dans l'Etat de Oaxaca, 15 au Chiapas et 4 dans l'Etat de Tabasco", avait indiqué la protection civile mexicaine dans un communiqué diffusé dans la soirée.
Dans l'État d'Oaxaca, le plus meurtri par ce puissant séisme, 25 nouvelles victimes ont été dénombrées dans la journée de dimanche.
Le président Enrique Peña Nieto s'était rapidement rendu sur place. Il avait survolé en hélicoptère les zones affectées et avait assuré les gouverneurs concernés du soutien du pouvoir central.
La fuerza de la naturaleza puede ser devastadora,pero la fuerza de la unidad y la solidaridad de los mexicanos es mucho mayor. #FuerzaMéxico pic.twitter.com/OVYfdgWKav
— Enrique Peña Nieto (@EPN) 8 septembre 2017
Près de 800 répliques
Les répliques. La hantise des sauveteurs. Depuis jeudi, 800 répliques environ ont été enregistrées. Les riverains craignent aussi pour leur biens.

Plusieurs familles accompagnées d'enfants et de personnes âgées s'étaient installées notamment sur des hamacs sous des arbres à proximité de leur maison. Des rescapés qui refusent de se rendre dans des abris. Ils refusent de perdre de vue ce qui restait de leurs biens.
"Si nous restons dans nos maisons, nous risquons d'y être ensevelis, mais si nous partons dans les abris, on risque de nous voler nos biens", confiait à l'AFP, Hector Aguilar, un professeur d'histoire de 52 ans.
Certains commerçants s'efforçait de vendre au plus vite leurs produits par crainte d'éventuels pillages.
Demuestra tu solidaridad con nuestros hermanos de #Oaxaca y #Chiapas, acude a nuestros Centros de Acopios, nuestros voluntarios te recibirán pic.twitter.com/AlBqB9LZDu
— Cruz Roja Mexicana (@CruzRoja_MX) 9 septembre 2017
Le rétablissement de l'eau potable, et del'électricité, sont aussi des priorités sur place. Une têche gigantesque face au plus grave séisme recensé dans le pays depuis celui de 1985. Les ONG comme la Croix-Rouge mexicaine s'organisent et des collectes de vivres sont planifiées dans tous les pays.
A Monterrey, par exemple, dans le nord, André-Pierre Gignac et Timothée Kolodziejczak, joueurs du club des Tigres ont également participé à une collecte en signe de solidarité.
Foot - MEX - André-Pierre Gignac et Timothée Kolodziejczak apportent des vivres aux… https://t.co/CTYUllgjxn #Breaking #BreakingLive pic.twitter.com/lrMad86kSg
— BreakingNews (@BreakingLiveN) 10 septembre 2017
L'épicentre du tremblement de terre a été localisé dans le Pacifique, à environ 100 kilomètres au large de Tonala (État du Chiapas), selon le centre géologique américain USGS.
La secousse, a aussi fait plus de 200 blessés. Elle a été ressentie jusqu'à Mexico, la capitale. Elle y a même déclenchant des mouvements de panique, mais aussi au Guatemala, dont quatre habitants ont été blessés.