Emigdio Lopez Avendano, candidat aux élections municipales a été abattu lundi dans l'état de Oaxaca. Il se rendait à un meeting en compagnie de quatre autres personnes lorsqu'ils ont été pris pour cible... Au quartier général de son parti, le choc et la peur dominent.
Tout le pays est sous tension à quelques jours des élections générales. Dimanche, 88 millions d'électeurs sont appelés à élire leur président, leurs représentants fédéraux et leurs maires ou députés locaux dans un climat trés lourd. La campagne électorale a été l'une des plus violente qu'ait connu le Mexique. Depuis le début du processus électoral en septembre, plus de 110 candidats et dirigeants politiques ont été éliminés.
La violence frappe aussi la population civile... Ce dimanche, quatorze personnes au moins ont été tuées dans la ville frontalière de Ciudad Juarez, dans le nord du pays.
Il s'agit souvent de réglements de compte, mais aussi de crimes contre les politiques menaçant les intérêts des cartels de la drogue.
L'actuel président, Enrique Peña Nieto a, depuis son arrivée au pouvoir, poursuivi la lutte contre le narcotrafic instaurée par son prédecesseur. Mais de l'avis général, sa politique sécuritaire est un échec. La guerre que se livrent forces de l'ordre et narcotrafiquants a fait plus de 100 000 morts depuis le début de son mandat.
Un bilan qui risque fort de nuire à son parti, le PRI, au profit du candidat de gauche, grand favori des sondages, Andrés Manuel Lopez Obrador.
Tout le pays est sous tension à quelques jours des élections générales. Dimanche, 88 millions d'électeurs sont appelés à élire leur président, leurs représentants fédéraux et leurs maires ou députés locaux dans un climat trés lourd. La campagne électorale a été l'une des plus violente qu'ait connu le Mexique. Depuis le début du processus électoral en septembre, plus de 110 candidats et dirigeants politiques ont été éliminés.
Echec sécuritaire
La violence frappe aussi la population civile... Ce dimanche, quatorze personnes au moins ont été tuées dans la ville frontalière de Ciudad Juarez, dans le nord du pays.
Il s'agit souvent de réglements de compte, mais aussi de crimes contre les politiques menaçant les intérêts des cartels de la drogue.
L'actuel président, Enrique Peña Nieto a, depuis son arrivée au pouvoir, poursuivi la lutte contre le narcotrafic instaurée par son prédecesseur. Mais de l'avis général, sa politique sécuritaire est un échec. La guerre que se livrent forces de l'ordre et narcotrafiquants a fait plus de 100 000 morts depuis le début de son mandat.
Un bilan qui risque fort de nuire à son parti, le PRI, au profit du candidat de gauche, grand favori des sondages, Andrés Manuel Lopez Obrador.