Premier ministre, puis président... Rien ne semble arrêter la montée en puissance de Recep Tayyip Erdogan et des islamo-conservateurs. Sauf, peut-être, un petit parti pro-kurde rassembleur de l'opposition. Et pourtant, l'échéance électorale du 1er novembre a remis le président sur le chemin de l'omnipotence.