Le coronavirus n'aura pas raison une seconde fois du traditionnel défilé de la fête internationale des travailleurs. En France, pas de muguet dans le cortège mais des revendications : service public, chômage ou encore retraite. Comme le syndicat français CFDT, le Parti socialiste belge a, lui, revu la formule et a préféré un 1er mai virtuel. Les travailleurs ont aussi défilé en Allemagne, en Turquie ou encore en Bosnie.