En engageant des supplétifs afghans pour épauler les soldats français en Afghanistan, le gouvernement promettait l’asile politique aux travailleurs et à leurs familles. Aujourd’hui, alors que les troupes américaines se retirent et que les talibans sont aux portes de Kaboul, cette promesse se fait attendre. Certains, à l’instar de Nasratullah, souvent menacés, se sentent abandonnés.