Après la grâce présidentielle de la veille, les libérations de détenus ont débuté vendredi en Algérie. Elles interviennent trois jours avant le deuxième anniversaire du Hirak. Pour Slimane Zeghidour, éditorialiste à TV5MONDE, pour qui « la peur est l’élément moteur du comportement du pouvoir », elles peuvent être considérées soit comme un « geste d’apaisement » soit comme « une concession tactique » de la part des autorités algériennes.