Au Royaume-Uni, le système des libérations anticipées pourrait être revu. C'est en tout cas ce que propose Boris Johnson après l'attentat commis vendredi sur London Bridge et revendiqué par le groupe État Islamique. Un homme a tué à coups de couteaux deux personnes et en a blessé trois autres avant d'être abattu par la police. L'assaillant était en liberté conditionnelle après avoir été condamné pour terrorisme. La classe politique salue le courage des passants qui ont maîtrisé l'auteur de l'attaque avant l'arrivée des forces de l'ordre.