Les forêts du Liban, parmi les plus denses du Moyen-Orient, sont menacées par l'augmentation du trafic de bois. Chênes, genévriers, cèdres et pins sont abattus la nuit par des bandes organisées. Le bois est ensuite vendu sur le marché noir syrien. Ce fléau met en péril l'équilibre écologique de certaines régions. Mais l'État libanais n'a pas les moyens de faire face.