Le temps des grandes manifestations pacifiques contre la junte militaire depuis l'assignation à domicile d'Aung San Suu Kyi est révolu. Il a laissé sa place à des rassemblement éclairs. En cause, la répression de l'armée qui a fait de nombreuses victimes et la pandémie de coronavirus. Le chef de la junte promet des élections d'ici deux ans. Les Birmans gardent l'espoir d'un retour à la démocratie et appellent la communauté internationale à l'aide.