L'ex-dirigeante Aung San Suu Kyi, détenue depuis le coup d'Etat militaire du 1er février, a été accusée jeudi 1 er avril d'avoir violé une loi sur les secrets d'Etat. De son côté, le Conseil de sécurité de l'ONU qui a "fermement" condamné la mort de centaines de civils, redoute une guerre civile. Dans les rues, les manifestants se disent prêts à résister jusqu'au bout.