Rien ne va plus en Bolivie où des manifestations, parfois violentes, ont lieu depuis dimanche. La raison de cette colère ? La très probable réélection du président sortant Evo Morales. Selon les dernières tendances, il devrait l'emporter avec 46,24% des voix, une victoire illégitime pour l'opposition qui l'accuse de fraude. Mercredi, une grève générale était organisée, un " coup d'État", selon Evo Morales.