« À Rikuzentakata. Voici l’endroit le plus dévasté. Comme d’autres lieux que nous avons traversés. Tous ces villes et villages ont été submergés. Sur le sol, vous voyez, épars, dans les restes de boue et de bois, des objets très concrets de la vie quotidienne, et des débris de voiture. Ils ont été projetés à 2, 3 ou même 5 mètres de hauteur. Et en plein milieu, vous apercevez deux petites voitures. Ce sont des KnK japonaises. Tout ce que nous pouvons faire semble dérisoire face aux nécessités. »