Les militaires au pouvoir au Mali et en Guinée sont depuis dimanche 7 novembre sous sanction de la CEDEAO. A l'issue du sommet extraordinaire de l'organisation Ouest africaine au Ghana, la pression sur les putschistes s'est accentuée afin qu'ils rétablissent au plus vite l'ordre constitutionel dans leur pays respectif. Réactions à Conakry et Bamako.