Au cœur de l’Amazonie brésilienne, le transport fluvial est ralenti pour cause de coronavirus. L’isolement se fait sentir et les populations locales se sentent abandonnées. Mais l’inquiétude est encore plus forte auprès des peuples autochtones qui ont déjà été décimées par le passé par des épidémies : variole, rougeole, grippe. Maintenant, voici le coronavirus qui a déjà fait un mort. Les ONG alertent sur le danger que vivent ces populations. Dans les villages, on s’organise en s'auto-confinant. Mais comment confiner des peuples qui vivent en communauté ?