Le gouvernement français vise un million de tests par semaine, une mesure qu'Antoine Flahault, épidémiologiste à l'Université de Genève, recommandait depuis longtemps. "Il faut cibler ces tests, là où il y a des clusters, là où il y a des super propagateurs afin que l'échelle de propagation soit cassée, dans ces zones, en priorité", explique-t-il. Pour l'épidémiologiste, "un risque de passage du virus des classes moins à risques, comme les jeunes, vers les classes plus âgées" est possible en automne.