En pleine crise sanitaire, la parlementaire polynésienne sort de son silence et plaide la cause de ces quelques centaines de polynésiens bloqués dans l'hexagone et ailleurs dans le monde. Des Polynésiens privés d'accès à leur archipel sur ordre du président du territoire, Édouard Fritch, qui applique un strict principe de précaution contre la propagation de la maladie. Des Polynésiens exténués, qui risquent de perdre leur emploi à cause d'une situation qui dure depuis le 20 mars. Certains d'entre eux souhaiteraient que leur gouvernement s'inspire de la Nouvelle-Calédonie qui a bien mieux réussi, selon eux, sa gestion des rapatriements.