Les chiffres sont clairs : la Suisse n’est pas touchée de manière uniforme par le coronavirus. Les taux d’infection sont nettement plus bas dans la partie germanophone que dans les parties francophone et italophone. Ce qui implique aussi des velléités de sortie de confinement distinctes. Aucune explication définitive à ces différences si ce n’est, vraisemblablement, des raisons culturelles. Michel Cerutti fait le point.