Dans "Quand la psychose fait dérailler le monde", co-écrit par Jean-Loup Bonnamy et Renaud Girard, les auteurs dénoncent le fait que "les gouvernements ont été victimes de la dictature de l'émotion". Les conséquences du confinement risquent d'être plus dangeureuses que la maladie elle-même selon le philosophe Jean-Loup Bonnamy. Il propose de cibler les personnes à risques au lieu d'imposer un confinement large et liberticide.