Le 28 juillet, le vice-président de la Guinée équatoriale Teodorin Obiang a été condamné par la justice française pour s'être constitué frauduleusement un patrimoine luxueux dans un volet de l'affaire des "biens mal acquis". Quelle est cette affaire de détournements de la part de chefs d'État ? À quels montants s'élèvent-ils? Est-il indispensable de contrôler le remboursement de ces sommes? Nous avons posé 4 questions à Sara Brimbeuf, responsable du plaidoyer à Transparency International.