Le scandale a éclaté jeudi 11 février lorsqu'un quotidien péruvien a révélé que l'ancien président Martin Vizcarra (2018 - 2020) s'était vu administrer le vaccin du laboratoire chinois Sinopharm en octobre dernier, quelques semaines avant sa destitution par le Parlement. Plusieurs hauts fonctionnaires ont eux aussi été vaccinés avant même le début de la campagne de vaccination qui a débuté la semaine dernière.