Après la prise de parole publique de Nafissatou Diallo le 28 juillet à New York, après les accusations de Tristane Bannon contre Dominique Strauss-Kahn à Paris, après les déclarations d'Anne Mansouret (la mère de Tristane Bannon), voici qu'une nouvelle femme fait son apparition. Marie-Victorine M. déclare avoir été la maîtresse de DSK entre 1997 et 1998. Dans un entretien au magazine suisse L'Illustré, elle dresse un portrait de l'ancien directeur du FMI qui se veut à décharge, prenant la défense de son “premier grand amour“. Cependant, ses propos sont plus ambigus qu'ils n'y paraissent, et pourraient se retourner contre la défense. Elle répond ici aux questions de la TSR.
L'entrevue de Marie-Victorine M. à la TSR
La lettre du procureur Cyrus Vance aux avocats de Dominique Strauss-Kahn