Elle s’est rendue dans le pays pour la première fois en 2011 puis y est restée jusqu’en août 2021, moment de la chute de Kaboul. Elle est évacuée par le Quai d’Orsay mais elle revient trois semaines plus tard, via le Pakistan. L’envie est trop grande. La photographe Oriane Zerah y poursuit un travail original, à savoir, capter le rapport entre les Afghans et les fleurs. « Plus il y a de violencee dans un endroit, plus le rapport à la beauté est nécessaire. Et la fleur, c’est la beauté à portée de main. »