Fil d'Ariane
15h35 TU. Viktor Bout soutient l'offensive russe en Ukraine
Le marchand d'armes russe Viktor Bout, libéré lors d'un échange avec Washington contre la basketteuse américaine Brittney Griner, a apporté samedi son soutien à Vladimir Poutine et à l'offensive en Ukraine.
Dans une interview au média russe RT, confirme avoir "toujours" eu un portrait de Vladimir Poutine dans sa cellule pendant son emprisonnement aux Etats-Unis, où il avait été condamné à 25 ans de prison après avoir été arrêté en 2008 en Thaïlande.
13h19 TU. Pour la lauréate du Nobel, la paix en Ukraine ne peut être atteinte "en déposant les armes".
Oleksandra Matviïtchouk, lauréate ukrainienne du Nobel de la paix estime que la paix dans son pays ne pouvait être atteinte en "déposant les armes" face à la Russie de Vladimir Poutine. "Le peuple d'Ukraine veut la paix plus que quiconque dans le monde", déclare la cheffe du Centre pour les libertés civiles (CCL) lors de la cérémonie du Nobel.
Mais la paix pour un pays attaqué ne peut être atteinte en déposant les armes. Ce ne serait pas la paix, mais l'occupation.Oleksandra Matviïtchouk, prix Nobel de la paix
13h07 TU. Le lauréat russe du prix Nobel de la paix fustige la "guerre folle et criminelle" menée par Vladimir Poutine en Ukraine.
En recevant sa prestigieuse récompense à Oslo, le lauréat russe du prix Nobel de la paix, le président de l'ONG Memorial, a fustigé samedi "la guerre folle et criminelle" que conduit Vladimir Poutine en Ukraine.
Sous la présidence de M. Poutine, "résister à la Russie équivaut à du fascisme", une dénaturation qui fournit "la justification idéologique à la guerre d'agression folle et criminelle contre l'Ukraine", a déclaré Ian Ratchinski dans son discours de remerciement.
11h09 TU. L'obsession meurtrière de Moscou pour Bakhmout fait des ravages.
La bataille de Bakhmout fait toujours rage. Ces derniers mois, une guerre de tranchée s'est avérée particulièrement meurtrière. Il s'agit du principal champ de bataille de cette guerre en Ukraine.
Dans son allocution diffusée dans la nuit de vendredi à samedi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fait part des affrontements qui opposent les troupes russes aux troupes ukrainiennes dans cette zone. Selon lui, "il n'y a plus de lieu de vie sur les terres de ces régions", en raison des combats. Le chef d'État ukrainien a notamment cité les villes de Bakhmout, Soledar, Maryinka et Kreminna.
Entre 100 et 200 soldats y meurent chaque jours. Les soldats russes et les miliciens de Wagner n'arrivent pas prendre le contrôle de cette ville du Donbass malgré les reprises régulières de petites localités alentours.
10h17 TU. Les discours nationalistes ont le vent en poupe en Russie depuis le début de l'invasion russe en Ukraine.
S’il est risqué de s'exprimer quand on est opposant en Russie, les nationalistes, eux, donnent de la voix. Ces derniers mois, ils envahissent l'espace public pour clamer leurs opinions. Les plus véhéments sont souvent d'extrême droite et sont parfois victimaires. Leurs propos sont très radicaux. Le récit de Grégory Fontana.
02h00 TU. La Maison Blanche s'alarme du "partenariat militaire à grande échelle" entre Russie et Iran.
La Maison Blanche a lancé vendredi un grave avertissement contre le "partenariat militaire à grande échelle" et toujours plus approfondi entre Téhéran et Moscou, qui a de son côté réfuté avoir besoin du soutien militaire de qui que ce soit en Ukraine.
Alors que l'Iran fournit déjà à l'armée russe des drones utilisés en Ukraine, John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de l'exécutif américain, a indiqué qu'en retour, la Russie "offrait à l'Iran un niveau sans précédent de soutien militaire et technique", ce qui "transforme leur relation en un partenariat de défense plein et entier".