Fil d'Ariane
20H00 TU. La Russie et l'Ukraine vont signer un accord sur l'exportation de céréales en Turquie vendredi (Ankara)
La Russie et l'Ukraine vont signer un accord sur les exportations de céréales à Istanbul vendredi après-midi, a annoncé ce soir la présidence turque.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan et le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, ainsi que des représentants de la Russie et de l'Ukraine, participeront à la cérémonie de signature qui aura lieu à 13H30 TU. au palais de Dolmabahçe à Istanbul, a ajouté la présidence.
L'accord devrait permettre une sortie par la Mer noire des céréales ukrainiennes bloquées par la guerre et un allégement des entraves à l'exportation de grains et engrais russes.
Un accord est "possible dans les prochains jours", avait affirmé ce matin le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu.
À New York, le porte-parole adjoint de l'ONU, Farhan Haq, a annoncé qu'Antonio Guterres et ses deux négociateurs, à la manoeuvre depuis plus de deux mois, étaient attendus de manière imminente à Istanbul.
Secretary-General @antonioguterres has landed in Türkiye as part of his efforts to ensure full global access to Ukraine’s food products & Russian food and fertilizer. pic.twitter.com/OICrss3ilT
— UN Spokesperson (@UN_Spokesperson) July 21, 2022
"Le secrétaire général se rendra ce (jeudi) soir à Istanbul, en Turquie, dans le cadre de ses efforts pour assurer un accès mondial complet aux produits alimentaires ukrainiens et aux aliments et engrais russes", a-t-il dit.
Le chef de l'ONU passe des vacances près de la Turquie et avait récemment indiqué être prêt à les écourter pour une signature à Istanbul.
Selon des diplomates s'exprimant sous couvert d'anonymat, un accord aurait dû à l'origine être signé mercredi, puis cela a été reporté à jeudi avant de devoir maintenant se produire vendredi.
17H42 TU. Environ 15.000 soldats russes tués, selon Londres et Washington
Environ 15.000 soldats russes sont morts en Ukraine depuis le début de la guerre, estiment les agences de renseignement américaine et britannique.
Richard Moore, le chef du renseignement extérieur britannique (MI6), déclarait aujourd'hui qu'un bilan de 15.000 morts russes était "probablement une estimation prudente" et un "vrai coup dur" pour le président russe Vladimir Poutine, qui espérait une victoire rapide contre Kiev sans des pertes aussi importantes. "C'est environ le même bilan que lors des dix ans qu'ils ont passés en Afghanistan dans les années 1980", a-t-il ajouté depuis le Forum sur la sécurité d'Aspen, dans les montagnes Rocheuses américaines.
"Et on ne parle pas ici de jeunes issus de la classe moyenne de Saint-Pétersbourg ou de Moscou. Ce sont des pauvres enfants de la Russie rurale, ils viennent des villes ouvrières de Sibérie et sont pour beaucoup issus des minorités ethniques. Ils sont sa chair à canon", a-t-il déclaré.
La veille, le patron de la CIA, l'équivalent américain du MI6, avait livré une estimation similaire. Les pertes russes se situent "autour de 15.000 tués et peut-être trois fois plus de blessés", avait dit Bill Burns. "Ce sont des pertes importantes. Les Ukrainiens ont essuyé des pertes aussi, probablement un peu moins, mais des pertes importantes", a ajouté le chef de l'agence de renseignement américaine.
Le gouvernement ukrainien avance, lui, des estimations bien plus importantes, et avait déclaré plus tôt en juillet que 36.200 soldats russes avaient été tués.
Moscou, de son côté, n'a donné de chiffres qu'à deux reprises, le dernier point en date du 25 mars évoquant 1.351 décès parmi ses troupes.
17h37 TU. Poutine et le prince héritier saoudien parlent pétrole au téléphone
Le président russe Vladimir Poutine et le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane se sont entretenus aujourd'hui de la situation sur le marché du pétrole, soulignant l'importance de coopérer au sein de l'Opep+, selon le Kremlin.
Leur entretien téléphonique intervient moins d'une semaine après une rencontre entre le prince héritier, dirigeant de facto du royaume saoudien, et le président américain Joe Biden à Jeddah (ouest de l'Arabie saoudite).
Le président russe et le prince saoudien ont discuté "en détail de la situation sur le marché international du pétrole. L'importance de renforcer la coordination au sein de l'Opep+ a été soulignée", a déclaré le Kremlin dans un communiqué.
"Il a été relevé avec satisfaction que les pays membres de ce format remplissent avec constance leurs obligations afin de maintenir l'équilibre et la stabilité nécessaires sur le marché mondial de l'énergie", a-t-il ajouté.
L'Opep+ réunit l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), dont l'Arabie saoudite est membre, ainsi qu'un autre groupe de pays producteurs d'or noir, dont fait partie la Russie.
16H50 TU. Moscou interdit son territoire à 39 Australiens en riposte aux sanctions
La Russie interdit l'accès à son territoire à 39 citoyens australiens travaillant notamment dans les services de sécurité et la défense.
"En réponse à la décision de responsables à Canberra d'imposer des sanctions (...), la Russie ajoute 39 personnes supplémentaires à la liste" des personnes interdites d'entrer sur son territoire, a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères.
Parmi ces personnes figurent notamment des "représentants des services de maintien de l'ordre, des garde-frontières, ainsi que des entrepreneurs du secteur de la défense", a-t-il ajouté dans un communiqué. Sur la liste, diffusée par le ministère, on trouve en particulier un vice-ministre de l'Intérieur, Marc Ablong, et les chefs de la police de plusieurs régions australiennes.
En juin, Moscou avait déjà interdit son territoire à 121 Australiens pour les mêmes raisons.
15H33 TU. Le président bélarusse affirme que Moscou a mis la main sur deux canons Caesar français
"La Russie sait comment vous livrez vos Caesar là-bas, et dès qu'ils arriveront, ils seront couverts par les armes de haute précision (russes). Réfléchissez si ça vaut le coup", a-t-il dit, lors d'un entretien exclusif à l'AFP dans le Palais de l'indépendance de Minsk.
"Et ceux qui arriveront, ils les vendront à la Russie. Vous savez, non, que deux systèmes Caesar ont été vendus par les autorités ukrainiennes à la Russie ? En Russie, ils ont déjà été démontés dans une usine de chars, et on y regarde ce qui peut être utilisé. C'est un fait", a affirmé Alexandre Loukachenko, principal allié de Moscou.
Ces déclarations ne pouvaient être vérifiées de manière indépendante.
15H18 TU. Un accord sur les exportations de céréales ukrainiennes est "possible dans les prochains jours" si les Occidentaux répondent aux demandes de la Russie, selon le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu.
"Nous espérons donner de bonnes nouvelles dans les prochains jours", a déclaré Mevlut Cavusoglu. Ankara pensait accueillir cette semaine un nouveau round de négociations entre experts militaires russes, ukrainiens, turcs et l'Onu sur ce dossier. Plus de 20 millions de tonnes sont bloquées dans les ports d'Ukraine au risque de pénuries alimentaires graves.
Les exportations de céréales bloquées en Ukraine en raison de l'invasion russe reprendront depuis trois ports de la mer Noire en cas d'accord négocié entre Kiev et Moscou, a annoncé pour sa part un membre de la délégation ukrainienne.
"Les exportations auraient lieu depuis trois ports: Odessa, Pivdenny et Tchornomorsk. Nous espérons qu'à l'avenir, nous pourrons étendre" les livraisons depuis d'autres lieux, a déclaré aux journalistes le député ukrainien Roustem Oumerov.
Selon lui, la sécurité des convois sera assurée par un groupe de surveillance de l'ONU basé à Istanbul et les navires russes ne seront pas autorisés à pénétrer dans les eaux ukrainiennes, si cet accord venait à être confirmé. "Nous ne leur faisons pas confiance, même s'ils signent un accord avec l'ONU", a-t-il assuré.
14H19 TU. L'Espagne, la Grèce et le Portugal s'opposent à la réduction de 15% de la consommation de gaz proposée par l'Union européenne
"Le Portugal va s'opposer" à cette mesure "disproportionnée", a déclaré Joao Galamba, le secrétaire d'État à l'Environnement et à l'Énergie, dans un entretien au quotidien Publico publié ce jeudi. La proposition de la Commission "n'est pas adaptée pour des pays qui ne sont pas interconnectés" au réseau gazier comme le Portugal, a-t-il expliqué.
Le Portugal rejoint ainsi la position de l'Espagne dont la ministre de la Transition écologique, Teresa Ribera, s'est opposée à cette proposition estimant qu'elle n'était pas forcément "juste" et "efficace".
"L'Espagne n'appuie pas cette proposition", a déclaré lors d'une conférence de presse la ministre de la transition écologique, en regrettant que cette mesure n'ait pas fait l'objet d'un débat préalable. "Nous allons nous opposer à l'imposition d'obligations qui sont au-dessus, en termes d'efforts, à ce qui nous correspond", a-t-elle assuré.
La Grèce s'est déclarée à son tour hostile au plan proposé par Bruxelles hier. "Le gouvernement [grec] n'approuve pas, par principe, la proposition de la Commission [européenne] de réduire de 15% sa consommation de gaz naturel", a déclaré en conférence de presse le porte-parole du gouvernment Yannis Economou.
Le ministre grec de l'Énergie Kostas Skrekas a pour sa part affirmé dans un entretien à une radio locale que la Grèce rejoignait ainsi le groupe d'États-membres opposés à la proposition de Bruxelles. Il a cité l'Italie, l'Espagne, le Portugal, la France, Malte et Chypre parmi les États réfractaires.
Sachant qu'environ 70% du gaz importé par la Grèce sert à la production d'électricité, a expliqué le ministre, une telle réduction induirait très vraisemblablement des perturbations dans l'approvisionnement des particuliers comme des entreprises.
"Même si nous réduisons de 15% notre consommation, ça ne veut pas dire pour autant que plus de gaz ira en direction de l'Allemagne", largement dépendante des livraisons russes, a insisté le ministre grec.
14H16 TU. La Russie va "étudier" la demande hongroise de livraison de gaz supplémentaire
La Russie entend développer sa relation "stratégique" avec la Hongrie malgré les sanctions prises contre Moscou par l'Union européenne, dont Budapest est membre, a déclaré le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.
"J'apprécie réellement nos relations. Nos discussions aujourd'hui ont confirmé leur nature durable et stratégique. Et nous allons les développer de toutes les façons possibles", a déclaré Sergueï Lavrov lors d'une conférence de presse conjointe à Moscou avec son homologue hongrois Peter Szijjarto.
Serguei Lavrov a déclaré que la Russie va "étudier" la possibilité de livrer du gaz supplémentaire à la Hongrie cette année.
"Aujourd'hui, nos collègues ont fait part de l'intérêt du gouvernement hongrois pour un nouvel achat de gaz naturel cette année. Cette requête sera immédiatement transmise et étudiée" a-t-il déclaré lors d'un point presse.
Le chef de la diplomatie hongroise est à Moscou afin de discuter de l'achat de 700 millions de mètres cubes supplémentaires de gaz naturel, selon le parti Fidesz du Premier ministre hongrois Viktor Orban.
Peter Szijjarto doit également s'entretenir avec le vice-Premier ministre russe Alexander Novak, homme fort du secteur de l'énergie en Russie.
Cette visite intervient au lendemain de la présentation par Bruxelles d'un plan visant à diminuer de 15% la demande européenne de gaz pour surmonter la chute des livraisons russes et s'affranchir de Moscou.
La Hongrie, pays d'Europe centrale enclavé, sans accès à la mer, importe 65% de son pétrole de Russie, et 80% de son gaz, et s'inquiète face au risque de pénurie: un "état d'urgence" a été décrété la semaine dernière.
13H04 TU. L'Occident "a provoqué" la guerre en Ukraine (président bélarusse)
Dans une interview à l'AFP le président de la Biélorussie Alexandre Loukachenko affirme que l'Occident voulait un conflit avec la Russie et "a provoqué la guerre en Ukraine". "Nous avons vu les causes de cette guerre, la cause est que si la Russie n'avait pas devancé l'Otan, vous (les Occidentaux) vous seriez organisés et l'auriez frappée", a-t-il martelé, "vous en êtes à l'origine et vous prolongez cette guerre".
Il a ajouté que la fin de la guerre dépendait de l'Ukraine. "Tout dépend de l'Ukraine, actuellement, la particularité du moment est que la guerre peut se finir dans des conditions plus préférables pour l'Ukraine. Elle doit s'asseoir à la table des négociations, être d'accord pour ne jamais menacer la Russie".
Il a agité le spectre de la guerre nucléaire : "Allez, arrêtons-nous. Il ne faut pas aller plus loin. Plus loin, c'est le précipice. Plus loin, c'est la guerre nucléaire. Ca ne doit pas aller jusque-là".
Le président a aussi ajouté que la Biélorussie est autoritaire mais n'a pas de prisonniers politiques.
12H42 TU. L'Ukraine accuse Moscou de stocker des armes dans une centrale nucléaire occupée
La diplomatie russe a accusé Kiev de frappes de drone sur la centrale nucléaire de Zaporijjia (Sud), sous contrôle russe, dénonçant "la volonté des autorités ukrainiennes de créer les conditions d'une catastrophe nucléaire non seulement sur leur territoire, mais dans toute l'Europe".
L'ISW britannique confirme une attaque de "partisans ukrainiens" sur la centrale et juge l'attaque de drones crédible, tout en estimant "improbable" des dégâts sur ses réacteurs nucléaires.
Kiev a accusé la Russie de stocker des armes lourdes et munitions dans la centrale, sans confirmer d'attaque. L'opérateur ukrainien qui gérait cette centrale affirme qu'au moins 14 unités de matériel militaire lourd avec leurs munitions sont stockées dans la salle des machines du réacteur n°1 de la centrale, la plus grande d'Europe.
"L'ensemble de l'arsenal lourd amené avec toutes les munitions est désormais très proche des équipements qui assurent le fonctionnement du turbo-générateur", s'est alarmée Energoatom sur sa chaîne Telegram.
Les équipement russes sont situés à proximité immédiate du réservoir d'huile principal, dont le produit inflammable sert à refroidir la turbine à vapeur, tout comme l'hydrogène servant à refroidir le générateur, selon Energoatom.
La compagnie ukrainienne s'est alarmée d'un risque de détonation accidentelle et d'incendie.
La semaine dernière, Energoatom avait déjà accusé l'armée russe d'avoir installé des lanceurs de missiles sur le site de la centrale de Zaporijjia. Selon la firme, environ 500 militaires russes se trouvent sur place.
Lors de la prise de la centrale, début mars, l'armée russe avait ouvert le feu sur des bâtiments du site, suscitant déjà le risque d'un accident nucléaire majeur.
12H23 TU. Le ministère russe de la Justice demande la dissolution de l'Agence juive (tribunal)
Le ministère russe de la Justice a demandé la dissolution en Russie de l'Agence juive, qui s'occupe notamment de l'immigration en Israël, annonce ce jour un tribunal moscovite, en pleines tensions autour du conflit en Ukraine.
"Le tribunal a reçu une plainte administrative du département principal du ministère de la Justice à Moscou demandant la dissolution (...) de l'organisation à but non-lucratif "Soutien des liens avec la diaspora juive, Agence juive Sokhnout" ", a indiqué la porte-parole du tribunal Basmany de Moscou, Ekaterina Bouravtsova, citée par les agences russes.
La semaine dernière, le ministère de la Justice russe avait affirmé à l'agence Ria-Novosti avoir mené du 30 mai au 27 juin des "vérifications de documents" auprès de l'organisation, sans donner plus de détails sur le résultat de ces procédures.
Créée en 1929, cette organisation s'occupe notamment d'organiser l'émigration vers Israël de personnes d'origine juive. Elle a commencé son travail en Russie en 1989, deux ans avant la fin de l'URSS, qui avait été suivie de l'arrivée en Israël de centaines de milliers de Juifs venus de toute l'ex-Union soviétique.
La demande de dissolution intervient alors que les relations entre Israël et la Russie connaissent un épisode de tensions depuis l'offensive du Kremlin en Ukraine, condamnée par le gouvernement israélien.
11H55 TU. Le chef de la diplomatie hongroise attendu aujourd'hui à Moscou
Le chef de la diplomatie hongroise Peter Szijjarto se rend ce 21 juillet à Moscou afin de discuter de nouvelles livraisons de gaz, a annoncé le parti Fidesz du Premier ministre hongrois Viktor Orban. "Dans le but de garantir la sécurité de l'approvisionnement énergétique de la Hongrie, le gouvernement a décidé d'acheter 700 millions de mètres cubes supplémentaires de gaz naturel en plus des quantités déjà prévues dans les contrats de long terme", écrit la formation dans un message posté sur Facebook.
Lire aussi : Russie : comment les réseaux d'influence de Vladimir Poutine tentent de "déstabiliser" l'Union européenne
11H30 TU. Feu vert du Sénat à l'adhésion de la Suède et de la Finlande à l'OTAN
Le Sénat à majorité de droite a donné jeudi le premier feu vert du Parlement français, avant l'Assemblée nationale, à un projet de loi de ratification pour permettre l'accession de la Suède et de la Finlande à l'OTAN. Les deux pays ont confirmé avoir renoncé à leur neutralité et décidé de rejoindre l'OTAN à cause de la dégradation de la situation sécuritaire en Europe provoquée par l'invasion russe en Ukraine.
Pour que la ratification franaçaise soit effective, le texte doit encore être approuvé par les députés qui l'examineront le 2 août. Les sénateurs l'ont voté par 323 voix contre 17.
10H15 TU. Les "problèmes techniques" de livraison sont causés par les Occidentaux, selon le Kremlin
Le Kremlin a assuré que des restrictions occidentales causaient tous les problèmes techniques de livraison de gaz russe vers l'Europe, au moment où le gazoduc Nord Stream a redémarré après une période de maintenance. "Ce sont ces restrictions qui empêchent d'effectuer les réparations d'équipements, notamment des turbines dans les stations de compression", a affirmé le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
10H TU. Moscou accuse Kiev de frappes sur le site d'une centrale nucléaire
La diplomatie russe accuse Kiev d'avoir effectué cette semaine des frappes de drone sur le site de la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, sous contrôle des forces du Kremlin depuis mars. "Cela confirme la volonté des autorités ukrainiennes de créer les conditions d'une catastrophe nucléaire non seulement sur leur territoire, mais dans toute l'Europe", a déclaré Maria Zakharova, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, lors d'une conférence de presse.
Voir aussi : Ukraine : la centrale nucléaire de Zaporija, la plus grande d'Europe, prise d'assaut par la Russie
A primeira página do PÚBLICO de quinta-feira, 21 de Julho.
— Público (@Publico) July 20, 2022
Mais em https://t.co/hjQsOOpuZ9 pic.twitter.com/7sNGGNXV5C
Another Ukrainian strike upon the Antonovsky Bridge near Kherson. It’s reportedly closed for repairs. This is already complicating Russian logistics across the Dnipro.
— Illia Ponomarenko (@IAPonomarenko) July 20, 2022
I agree with those assuming it’s a message to RU military - “We can cut you off supplies and you’ll be done”. pic.twitter.com/MSn3vvj0Z8
#Ukraine 21/07 Toujours pas de changements sur le front (12e jour avec la même carte) même si plusieurs attaques RUS et contre-attaques UKR ont eu lieu. pic.twitter.com/Qxh7214iwU
— cedric mas (@CedricMas) July 21, 2022
"Il y a beaucoup de rumeurs sur la santé du président Vladimir Poutine et pour autant que nous puissions en juger, il est en trop bonne santé", a déclaré le patron de la CIA, William Burns, lors du Forum sur la sécurité d’Aspen (Colorado).
Ancien ambassadeur américain à Moscou, William Burns a qualifié le président russe de "grand partisan du contrôle, de l'intimidation et de la vengeance". Des traits qui se sont durcis au cours de la dernière décennie alors que son cercle de conseillers s'est contracté, a également indiqué le chef du renseignement américain.
Voir aussi : Russie : Vladimir Poutine serait-il malade ?
6H30 TU. 15 000 tués et 45 000 blessés pour la Russie, estime la CIA
Les États-Unis évaluent les pertes russes en Ukraine à environ 15 000 soldats tués et peut-être 45 000 autres blessés, a déclaré mercredi William Burns, le chef de la CIA, lors d’une table ronde au Forum sur la sécurité d’Aspen (Colorado). Burns a également estimé que les pertes ukrainiennes étaient lègèrement inférieures.
6H15 TU. La BCE prépare sa première hausse de taux depuis 2011
La Banque centrale européenne (BCE) va augmenter jeudi ses taux d'intérêt pour la première fois en plus de dix ans face à l'inflation galopante, marquant un tournant majeur après une longue période d'argent facilement accessible dans la zone euro.