Direct - Ukraine : les signaux sont "positifs" à l'issue des négociations d'Istanbul, mais l'Ukraine ne "relâche" pas ses efforts militaires

Les signaux en provenance des négociations russo-ukrainiennes à Istanbul sont "positifs", mais l'Ukraine n'a pas pour autant "l'intention de relâcher" ses efforts militaires, déclare le président ukrainien Volodymyr Zelensky. De son côté, Joe Biden attend de voir si la Russie "tient parole" sur une réduction de son activité militaire.
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Volodymyr Zelensky
Volodymyr Zelensky ce 29 mars à Kiev.
© Ukrainian Presidential Press Office via AP
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Ce qu'il faut savoir de la situation en Ukraine a à 20h00TU.

Les conditions pour une première rencontre entre le président ukrainien et son homologue russe depuis le début de l'invasion russe sont désormais possibles, ont indiqué Kiev et Moscou. De son côté la Russie annonce "réduire radicalement l'activité militaire en direction de Kiev et Tcherniguiv", a déclaré le vice-ministre russe de la Défense Alexandre Fomine.  

Volodymyr Zelensky n'a pas "l'intention de relâcher" ses efforts militaires. "Nous pouvons dire que les signaux que nous entendons dans les négociations sont positifs, mais ils ne font pas oublier les explosions ou les obus russes", a-t-il déclaré dans un message-vidéo posté sur Telegram. 

Washington, Paris, Londres, Berlin et Rome circonspects.  Joe Biden attend de voir si la Russie "tient parole" sur une réduction de son activité militaire en direction de Kiev et Tcherniguiv. Il va accroître les sanctions à l'encontre de la Russie.

Après s'être entretenu au téléphone avec Vladimir Poutine, Emmanuel Macron n'a pas pu assurer la mise en place d'un corridor humanitaire pour évacuer Mariupol. Le président russe demande que les "nationalistes" ukrainiens à Marioupol doivent "déposer les armes".

Volodymyr Zelensky a qualifié devant le parlement danois  les attaques russes contre Marioupol de "crime contre l'humanité, qui se déroule en direct sous les yeux de la planète"

Les frappes russes sur Mykolaiev ce matin ont fait 12 morts et plus de 30 blessés. 
Les forces russes ont par ailleurs bombardé l'aérodrome militaire de Starokostiantyniv (ouest), détruisant tous les stocks de carburant de cette ville, a annoncé son maire. 

L'enseigne française spécialisée dans les articles de sport Decathlon annonce la suspension de ses activités en Russie. Decathlon, présent en Russie depuis 2006 avec 60 magasins, est l'une des trois enseignes de l'association familiale Mulliez à être active dans ce pays, avec Auchan et Leroy-Merlin, qui y poursuivent pour leur part leur activité. 


20H00 Les signaux en provenance des négociations russo-ukrainiennes à Istanbul sont "positifs", mais l'Ukraine n'a pas pour autant "l'intention de relâcher" ses efforts militaires, déclare le président ukrainien Volodymyr Zelensky
 

"Nous pouvons dire que les signaux que nous entendons dans les négociations sont positifs, mais ils ne taisent pas les explosions ou les obus russes", a-t-il dit dans un message-vidéo posté sur Telegram. "L'armée russe a toujours un potentiel important pour poursuivre les attaques contre notre État", a-t-il relevé.

Dans cette même vidéo il a rajouté "Il ne faut pas s'attendre à ce que les négociations (entre Kiev et Moscou) entraînent la levée des sanctions contre la Fédération de Russie. Cette question-là ne peut être envisagée qu'une fois la guerre terminée et que nous aurons récupéré ce qui est à nous".


19H35 TU. À la demande la France et du Mexique, la Conseil de sécurité de l'ONU est informé sur la crise humanitaire en Ukraine
 
réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies
La France et le Mexique alertent sur la crise humanitaire en Ukraine. Capture d'écran de la réunion pendant l'allocution du l'ambassadeur Juan Ramón de la Fuente, représentant permanent du Mexique.
capture d'écran TV5MONDE
La question de l'intégrité territoriale de l'Ukraine devrait être discutée également.

18H00 TU. Les Occidentaux attendent de voir si la Russie "tenait parole" sur la réduction de son activité militaire en direction de Kiev et Tcherniguiv, en Ukraine (Joe Biden)
 
Joe Biden
Joe Biden et les alliés européens sont d'accord pour "continuer d'accroître le coût payé par la Russie"
© AP Photo/Patrick Semansky

"On verra s'ils tiennent parole", a dit le président américain à des journalistes, peu après s'être entretenu avec les dirigeants français, britannique, allemand et italien. "Il semble y avoir un consensus sur le fait qu'il faut voir ce qu'ils ont à offrir."

Tous sont tombés d'accord pour continuer à sanctionner Moscou pour son invasion de l'Ukraine.

"Les dirigeants ont affirmé leur détermination à continuer d'accroître le coût payé par la Russie pour son attaque brutale de l'Ukraine, ainsi que de continuer à apporter une aide sécuritaire à l'Ukraine pour qu'elle se défende", dit le communique de la Maison Blanche publié après l'échange entre le président américain et ses homologues français, britannique, allemand et italien.


16H49 Vladimir Poutine demande que les "nationalistes" ukrainiens à Marioupol doivent "déposer les armes"
 
Vladimir Poutine le 29 mars au Kremlin
Vladimir Poutine le 29 mars au Kremlin
© Mikhail Klimentyev, Sputnik, Kremlin Pool Photo via AP

Après l'appel entre le président français Emmanuel Macron et Vladimir Poutine, l'Élysée annonce qu'une opération humanitaire à Marioupol n'est pas possible "à ce stade".

De son côté le président russe Vladimir Poutine affirme que les forces ukrainiennes défendant le port stratégique de Marioupol doivent se rendre pour permettre de venir en aide aux civils sur place.  
 

"Pour trouver une solution à la situation humanitaire difficile dans cette ville, les combattants nationalistes ukrainiens doivent arrêter de résister et déposer les armes", a indiqué le président russe, selon un communiqué du Kremlin résumant l'échange téléphonique avec son homologue français Emmanuel Macron.

 

16h00 TU. Les dirigeants britannique, américain, français, allemand et italien mettent en garde contre tout "relâchement de la détermination occidentale" face à l'invasion russe de l'Ukraine, selon Downing Street
 

Boris Johnson
"Nous devons juger le régime de Poutine sur ses actes et non sur ses paroles" dit le Premier ministre britannique Boris Johnson.
© AP Photo/Matt Dunham

Boris Johnson, Joe Biden, Emmanuel Macron, Olaf Scholz et Mario Draghi "sont convenus qu'il ne pouvait y avoir aucun relâchement de la détermination occidentale tant que l'horreur infligée à l'Ukraine ne serait pas terminée", a indiqué un porte-parole du Premier ministre britannique.


14h24 à la suite des Pays-Bas et de l'Irlande, la Belgique expulse à son tour des diplomates russes

La Belgique "a décidé d'expulser" 21 diplomates russes soupçonnés d'espionnage.

L'Irlande expulse quatre hauts diplomates russes. Dublin précise vouloir "garder ouverts les canaux diplomatiques", jugeant cela "important dans le contexte de la transmission de nos points de vue fermes concernant la guerre menée par la Fédération de Russie contre l'Ukraine, que nous considérons comme une grave violation du droit international".

Les Pays-Bas vont expulser 17 officiers de renseignement russes qui s'adonnaient "secrètement" à des activités d'espionnage. 

La Haye a pris cette décision sur la base d'informations des services de renseignement néerlandais selon lesquelles les personnes concernées, "accréditées en tant que diplomates auprès des représentations russes aux Pays-Bas, sont secrètement actives en tant qu'officiers de renseignement".
 

13h05 TU. Suite à la tenue de ces pourparlers l'euro montait fortement face au dollar américain tout comme le rouble russe, qui réagissait encore plus

La monnaie unique européenne, en berne depuis plusieurs semaines prenait 1,2% à 1,1121 dollar, tandis que le rouble grimpait en flèche de 10,5% à 85,42 roubles pour un dollar vers 12H45 GMT.

 

12h52 TU. Le président américain Joe Biden va s'entretenir avec des dirigeants européens de la guerre en Ukraine

L'appel téléphonique, prévu à 9h15 (13h15 UTC) avec les dirigeants français, britannique, allemand et italien, vise à "discuter des derniers développements concernant l'invasion russe de l'Ukraine", a précisé un porte-parole de la Maison Blanche


12h26 TU. Les conditions sont "suffisantes" pour une rencontre Zelensky-Poutine, d'après le négociateur ukrainien David Arakhamia
 
Négociations de paix entre Russes et Ukrainiens à Istanbul
La nouvelle session de négociations à Istanbul ce 29 mars a eu de bons résultats selon le négociateur ukrainien David Arakhamia.
© Turkish Presidency via AP
 

Les conditions pour une première rencontre entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue russe Vladimir Poutine depuis le début de l'invasion russe le 24 février, sont désormais "suffisantes" affirme  le négociateur en chef ukrainien.

Selon David Arakhamia "les résultats de la réunion d'aujourd'hui (à Istanbul) sont suffisants pour une rencontre au niveau des chefs d'État". Une avancée majeure car depuis le début du conflit, Moscou a toujours refusé une telle proposition de Kiev.

L'Ukraine acceptera d'être neutre si elle obtient un "accord international" pour garantir sa sécurité, dont seraient signataires plusieurs pays agissant en tant que garants, a indiqué David Arakhamia.

"Nous insistons pour qu'il s'agisse d'un accord international qui sera signé par tous les garants de la sécurité. [...] Nous voulons un mécanisme international de garanties de sécurité où les pays garants agiront de façon analogue à l'article 5 de l’Otan et même de façon plus ferme" a-t-il déclaré lors d'un point presse informel.

11h55 TU. La Russie annonce réduire "radicalement" son activité militaire dans les régions de Kiev et Tcherniguiv 


"Les négociations sur un accord sur la neutralité et le statut non-nucléaire de l'Ukraine entrant dans une dimension pratique (...), il a été décidé, pour accroître la confiance, de réduire radicalement l'activité militaire en direction de Kiev et Tcherniguiv", a déclaré le vice-ministre russe de la Défense, Alexandre Fomine. D'après un négociateur russe, les pourparlers à Istanbul ont été "significatifs".

Le négociateur en chef ukrainien a déclaré de son côté que Kiev voulait un "accord international" garantissant sa sécurité. "Nous voulons un mécanisme international de garanties de sécurité où les pays garants agiront de façon analogue au chapitre 5 de l’Otan et même de façon plus ferme", a-t-il ajouté.

11h21 TU. La Russie expulse 10 diplomates des pays baltes

Les accréditations de quatre diplomates de l'ambassade de Lituanie, trois de celle de Lettonie et trois des missions estoniennes ont été retirée. Il s'agit de représailles à une mesure similaire contre des représentants de Moscou.

11h20 TU. Selon Zelensky, au moins sept morts et 22 blessés dans la frappe russe à Mykolaïv

"Il n'y avait pas de visées militaires à Mykolaïv, les habitants de Mykolaïv ne présentaient aucune menace contre la Russie. Et malgré cela, comme tous les Ukrainiens, ils sont devenus les cibles des troupes russes", a affirmé le président lors d'une adresse au Parlement danois.

(Re)voir : Guerre en Ukraine : "Les gens racontent leur désespoir"
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11h11 TU. Budapest annule une réunion après les divergences avec Prague et Varsovie

La Pologne et la République Tchèque venaient de décider de boycotter la réunion, en raison des liens de la Hongrie avec le Kremlin.

11h09 TU. Les attaques russes contre Marioupol constituent un "crime contre l'humanité" d'après Zelensky

Le président ukrainien accuse Moscou de bombarder volontairement les abris des civils dans cette ville assiégée.

11h03 TU. Decathlon annonce la suspension de ses activités en Russie
 

10h33 TU. Le Kremlin insiste sur le paiement du gaz russe en roubles

Moscou a ainsi rejeté les critiques du G7. "Personne ne va livrer de gaz gratuitement. C'est tout simplement impossible. Et on ne peut le payer qu'en roubles", a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

"La situation a changé dans le contexte d'une guerre économique menée contre la Russie", a-t-il souligné. "Les entreprises (commandant du gaz russe) doivent (le) comprendre".

(Re)voir : Union européenne : la course à l'indépendance énergétique vis-à-vis de la Russie

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10h20 TU. La Finlande s'inquiète d'une ingérence russe dans son débat sur l'Otan​

"L'ensemble de la société finlandaise doit être vigilant sur des tentatives russes d'influencer le processus de décision de la Finlande sur la question de l'Otan", a déclaré le directeur du Service de sûreté (Supo).

Dans son rapport annuel sur les menaces visant la Finlande, l'agence de renseignement souligne le danger "d'une vaste interférence et d'une surveillance illégale russes".

10h08 TU. Le Kremlin confirme que l'oligarque Abramovitch est un médiateur avec l'Ukraine​

L'oligarque russe Roman Abramovitch joue bien un rôle de médiateur dans les pourparlers russo-ukrainiens. C'est le Kremlin qui l'a indiqué, balayant au passage les affirmations selon lesquelles il aurait été empoisonné.

"Il est présent à Istanbul", bien qu'il ne soit pas un membre officiel de la délégation russe.

(Re)voir : Guerre en Ukraine : Moscou fait la chasse aux "traîtres" en Russie
 

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10h01 TU. 3 000 à 3 500 journalistes sur place, une "guerre de l'information"

L'invasion russe de l'Ukraine constitue "une guerre de l'information", selon une enquête de l'ONG grecque iMedD, centrée sur la transparence et l'indépendance du journalisme. Elle est caractérisée par "une grande concentration de journalistes sur le terrain", avec un nombre évalué "entre 3.000 et 3.500".

La guerre représente "le premier conflit militaire avec une telle concentration de journalistes sur le terrain" dont nombreux sont "inexpérimentés".

"Plateformes, réseaux sociaux, propagande, provocation, fausses nouvelles, concurrence, interdictions de circulation, embargos (...) sont les armes 'nucléaires' d'une guerre de l'information - non seulement en termes de manipulation de l'opinion publique, mais aussi dans un contexte des stratégies et tactiques de l'Est et de l'Occident sur le terrain", estime cette enquête.

09h31 TU. Gaz russe : la France se prépare à d'éventuelles coupures ciblées
 

La France se prépare à de possibles coupures ciblées de gaz chez d'importants consommateurs, d'après le gouvernement et le gestionnaire du réseau de distribution.  Elles auraient pour objectif de faire face à une éventuelle interruption de l'approvisionnement russe l'hiver prochain.

Les particuliers ne sont pas concernés par cette idée. Les sites assurant des missions d'intérêt général seraient épargnés.


09h18 TU. Le chef de l'AIEA en Ukraine pour discuter de la sécurité des sites nucléaires

Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique se trouve en Ukraine "pour des discussions avec des responsables du gouvernement". L'objectif de l'instance onusienne est de fournir "une assistance technique" garantissant la sécurité des installations nucléaires.

09h15 TU. Au moins deux morts dans la frappe russe sur l'administration de Mykolaïv
 

Les journalistes de l'AFP ont vu deux cadavres être retirés des décombres du bâtiment. Sa section centrale s'est partiellement effondrée après la frappe.


09h04 TU. Boycott des ministres polonais et tchèque d'une réunion à Budapest sur l'Ukraine

Les ministres polonais de la Défense des deux pays ne participeront pas mercredi 30 à une réunion à Budapest du groupe de Visegrad, dit V4, en raison des liens de la Hongrie avec le Kremlin.

08h06 TU. La Russie accorde un sursis militaire aux professionnels des hautes technologies

Pour faire face à une fuite des cerveaux provoquée par l'offensive russe en Ukraine, la Russie va accorder un sursis de service militaire aux jeunes travaillant dans le secteur des hautes technologies.

(Re)lire : Guerre en Ukraine : le cauchemar des jeunes soldats russes sans préparation jetés sur le front
 

Les entreprises du secteur des hautes technologies ont jusqu'au 1er mai 2022 pour établir la liste de leurs collaborateurs de moins de 27 ans pour lesquels elles veulent obtenir une telle dispense. Les étudiants dans une soixantaine de spécialités universitaires sont aussi concernés : mathématiques, cartographie, robotique, aéronautique, nanotechnologies,...


07h43 TU. L'administration régionale de Mykolaïv dans le sud touchée par une frappe russe, d'après le gouverneur
 

Une frappe russe a touché le siège de l'administration régionale de Mykolaïv, ville proche d'Odessa. Le gouverneur Vitaly Kim a assuré que la plupart des personnes se trouvant à l'intérieur étaient indemnes. "On cherche huit civils et trois militaires", a précisé le responsable. 


07h42 TU. Ouverture des pourparlers directs entre la Russie et l'Ukraine

Les pourparlers entre les délégations russe et ukrainienne à Istanbul ont commencé peu après 07h30 (GMT), soit 10h30 en Turquie. 
Discours Erdogan
Le président turc Recep Tayyip Erdogan prononce un discours pour accueillir les délégations russe et ukrainienne avant leurs pourparlers. Présidence turque via AP.
 
"Le monde entier attend de bonnes nouvelles de votre part", a déclaré le président turc. "Aujourd'hui, en tant que seul pays dont l'équité, la sincérité et l'amitié sont reconnues par les deux parties, nous faisons tous les efforts en faveur de la paix", avait-il insisté la veille. 

07h30 TU. Reprise des évacuations par les couloirs humanitaires après une suspension

L'Ukraine a annoncé une reprise des évacuations de civils via trois couloirs humanitaires, notamment depuis la ville assiégée de Marioupol. Ils avaient été suspendus une journée par crainte de "provocations" russes.

(Re)voir : Ukraine : à Marioupol dévastée, il ne reste aux habitants que leur courage 
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06h48 TU. "Les deux parties ont des préoccupations légitimes", affirme Erdogan 

En accueillant les délégations de négociateurs des deux pays à Istanbul, le président turc Recep Tayyip Erdoganles les a ainsi appelés à "mettre un terme à cette tragédie".

04h31 TU. Les Russes sont "statiques" autour de Kiev, d'après un responsable américain de la défense 

"Non seulement ils ont cessé de progresser vers la ville mais (...) ils ne font aucun effort pour avancer", se contentant de tirer des missiles, a-t-il relevé.

23h02 TU. La guerre en Ukraine est une "répétition" de la Syrie, alerte Amnesty

L'association dénonce une "multiplication des crimes de guerre", notamment à travers l'emploi des mêmes tactiques qu'en Syrie et en Tchétchénie. Elle appelle à abandonner toute position de neutralité vis-à-vis de Moscou.

22h37 TU. Des avions de guerre électronique américains déployés en Allemagne
 

L'armée américaine a déployé six avions spécialisés dans la guerre électroniques sur la base aérienne de Spangdahlem, dans le sud-ouest de l'Allemagne. Il s'agit d'"améliorer les positions de défense" de l'Otan, d'après le ministère de la Défense.

Les avions "ne sont pas déployés pour être utilisés contre les forces russes en Ukraine", a souligné dans un communiqué le porte-parole du Pentagone.


22h09 TU. Selon le Royaume-Uni, Wagner est déployé dans l'est de l'Ukraine

Le ministère britannique de la Défense a indiqué que des mercenaires russes du groupe Wagner se sont déployés dans l'est de l'Ukraine. IL estime que plus de 1 000 combattants de la sulfureuse société paramilitaire pourraient être amenés à combattre dans le pays.

21h51 TU. "Les occupants sont repoussés d'Irpin, repoussés de Kiev", d'après Zelensky 

Le président ukrainien a déclaré dans une vidéo : "Les occupants sont repoussés d'Irpin, repoussés de Kiev. Cependant, il est trop tôt pour parler de sécurité dans cette partie de notre région. Les combats continuent. Les troupes russes contrôlent le nord de la région de Kiev, disposent de ressources et de main-d'œuvre". 

19h27 TU. Plusieurs pays de l'UE "découragent" les départs de combattants volontaires

Sept pays de l'UE - la France, l'Allemagne, l'Italie, l'Espagne, les Pays-Bas, le Luxembourg et la Belgique - ont appelé leurs ressortissants à s’abstenir de s'engager comme volontaires en Ukraine.