Direct - Ukraine : plus d'un quart des Ukrainiens ont dû fuir leur foyer, l'ONU veut mettre en place un "cessez-le-feu humanitaire"

L'ONU estime que plus de dix  millions d'Ukrainiens ont quitté leur foyer depuis le début de la guerre. Le secrétaire général Guterres veut mettre en place un "cessez-le-feu humanitaire" entre la Russie et l'Ukraine. De nouveaux pourparlers de paix vont avoir lieu entre l'Ukraine et la Russie demain en Turquie.
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Une grand-mère et sa petite fille réfugiés à Mostyska, dans l'ouest de l'Ukraine
Nadia embrasse sa petite fille Zlata Moiseinko, qui souffre d'une grave pathologie cardiaque dans cette salle de classe reconvertie en hôpital à Mostyska, loin des zones de conflits, dans l'ouest de l'Ukraine (24/03/2022). Selon l'ONU plus de la moitié des déplacés en Ukraine sont des enfants. Le secrétaire général de l'ONU dénonce le fait que "depuis le début de l'invasion russe il y a un mois, la guerre avait conduit à la perte insensée de milliers de vies, au déplacement de dix millions de personnes, des femmes et des enfants pour l'essentiel, et la destruction systématique d'infrastructures essentielles" en Ukraine.
© © AP Photo/Nariman El-Mofty
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Ce qu'il faut savoir de la situation en Ukraine a à 20h00TU.

Le président Biden ne va pas "faire d'excuses" après ses propos demandant que Poutine quitte le pouvoir.

De nouveaux pourparlers de paix entre Ukraine et Russie devraient commencer demain en Turquie, selon le ministre des affaires étrangères ukrainien, Dmytro Kuleba.

La procureuse générale d'Ukraine, Iryna Venediktova affirme avoir les preuves que les Russes ont utilisé des bombes à sous-munition à Odessa

La situation est "catastrophique" dans le port assiégé de Marioupol où au moins 5000 personnes auraient déjà péri selon la conseillère à la présidence Tetiana Lomakina. Des médias russes affirment que le dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov, proche de Vladimir Poutine, s'est rendu à Marioupol pour galvaniser ses troupes qui participent à l'assaut contre la ville portuaire

Le maire d'Irpin affirme que sa ville, qui se trouve à quelques kilometres de la capitale Kiev, a été reprise aux Russes.

L'oligarque russe Roman Abramovitch ainsi que deux négociateurs ukrainiens ont souffert de symptômes qui font penser à un possible "empoisonnement", a rapporté lundi le Wall Street Journal. Abramovich participait à des pourparlers de paix informels à Kiev au début du mois de mars quand il a ressenti les premiers symptômes.

Le quotidien russe indépendant Novaïa Gazeta suspend sa publication jusqu'à la fin de la guerre.

Heineken et Carlsberg se retirent de Russie.

Un peu plus de 40.000 personnes ont fui l'Ukraine ces dernières 24 heures, portant le total de personnes qui essayent d'échapper aux combats déclenchés par l'armée russe à près de 3,9 millions.

19h22 TU.Joe Biden ne retire pas ses propos controversés suggérant qu'il souhaitait le départ de son homologue russe Vladimir Poutine du pouvoir

"Je ne les retire pas" et "je ne m'excuse pas", a-t-il dit devant la presse. "J'exprimais simplement mon indignation", "mais cela ne signifie pas que nous ayons un changement de politique fondamental", a-t-il ajouté.
 


17h35 TU. Selon le quotidien indépendant The Kyiv Independent et l'AFP, Irpin, dans la proche banlieue de Kiev serait libérée

Le maire de la ville, Oleksandr Markushyn, explique que les civils ne sont pas autorisés à rentrer dans la ville car les risques de nouvelles russes sont élevés.

capture d'écran compte Telegram du Maire d'Irpin
Capture d'écran du message Telegram du maire d'Irpin, Oleksander Markushyn.



17H20 TU L'Ukraine a des "preuves" de l'utilisation par les forces russes de bombes à sous-munitions, des armes interdites par les conventions internationales, dans deux régions du sud de son territoire

Iryna Venediktova
La procureure générale ukrainienne affirme avoir des "preuves" de l'utilisation par les forces russes de bombes à sous-munitions, des armes interdites par les conventions internationales, dans deux régions du sud de son territoire.
© Présidence ukrainienne via AP


La procureure générale ukrainienne Iryna Venediktova a expliqué ne pas avoir "de preuves concrètes" de leur usage dans la capitale et que des "investigations" étaient en cours. "Mais (...) nous avons des preuves de l'utilisation de bombes à sous-munitions dans la région d'Odessa et dans la région de Kherson", une ville dont s'est emparée l'armée russe, a-t-elle aussitôt ajouté.

"Nous voyons, notamment grâce à votre travail, à vous les journalistes, que d'autres armes interdites sont utilisées, mais, en ce qui me concerne, je ne peux évoquer que les cas dans lesquels je dispose de preuves sur une base très concrète, quand j'ai par exemple (...) des fragments (de ces engins) ou une analyse du sol".

Des ONGs comme Amnesty International et Human Rights Watch affirment avoir la preuve que la Russie a utilisé ces armes dans des zones où se trouvaient des civils.

17h00 TU. La ministre des Affaires étrangères britannique a insisté, devant la Chambre des communes, sur la nécessité de "restaurer l'intégrité territoriale" de l'Ukraine

Lizz Truss, MAE britannique
Lizz Truss, ministre des Affaires britanniques le 17 mars dernier devant le 10 Downing Street à Londres.
© AP Photo/Alastair Grant

"Nous savons que Poutine ne veut pas négocier sérieusement", a déclaré la cheffe de la diplomatie Liz Truss devant les députés, accusant le président russe de "bombarder des innocents" malgré la tenue de pourparlers. Elle estime qu'il faut "en faire plus" pour l'arrêter.
 "Nous devons veiller à ce que les futurs pourparlers n'aboutissent pas à brader l'Ukraine et à répéter les erreurs du passé", souligne-t-elle, jugeant que les accords précédents n'avaient pas permis d'apporter à l'Ukraine "une sécurité durable".

16h30 TU. Autour de Kiev, de nouveaux combats se déroulent notamment à Stoyanka, à l'ouest de la capitale.

"L'ennemi tente d'effectuer une percée autour de Kiev et de bloquer les routes", affirme Ganna Malyar, vice-ministre de la Défense à la télévision ukrainienne, assurant que "la défense de Kiev" continuait.

16h12 TU. L'ONU va chercher à mettre en place un "cessez-le-feu humanitaire" entre la Russie et l'Ukraine

Antonio Guterres a déclaré avoir "demandé à Martin Griffiths, secrétaire général adjoint pour les Affaires humanitaires, d'étudier immédiatement avec les parties impliquées la possibilité d'accords et d'arrangements pour un cessez-le-feu humanitaire" en Ukraine. Martin Griffiths se trouve en ce moment à Kaboul. Le secrétaire général Guterres a dit "espérer qu'il puisse se rendre à la fois à Moscou et à Kiev aussi vite que possible". 

15H30 TU. Au moins 5.000 personnes ont été tuées à Marioupol, dans le sud-est de l'Ukraine

Une conseillère de la présidence ukrainienne, en charge des couloirs humanitaires annonce à l'AFP que "environ 5.000 personnes ont été enterrées mais les gens ne sont plus enterrés depuis dix jours à cause des bombardements continus". Tetiana Lomakina estime qu'"au vu du nombre de personnes encore sous les décombres (...) il pourrait y avoir autour de 10.000 morts".


14H30 TU. La Russie veut restreindre l'accès aux ressortissants de pays "inamicaux"

Le chef de la diplomatie russe annonce qu'un décret est en préparation pour limiter l'accès au territoire russe aux ressortissants de pays auteurs d'actes "inamicaux", en pleine vague de sanctions contre Moscou depuis son offensive en Ukraine.

"Un projet de décret présidentiel est en préparation pour introduire des mesures de représailles, concernant les visas, en lien avec les actions inamicales de plusieurs gouvernements étrangers", déclare Sergueï Lavrov, lors d'une réunion du parti au pouvoir Russie Unie.

13h29 TU. Les brasseurs Carlsberg et Heineken suspendent leurs activités en Russie
 

Carlsberg

Carlsberg avait déjà suspendu début mars sa production et ses ventes en Russie. L'an passé, le groupe a réalisé près de 870 millions d'euros de chiffre d'affaires dans le pays, soit 13% de ses ventes, et plus de 90 millions de bénéfice opérationnel, soit 9% de ses profits.

© AP Photo/Sang Tan

Le brasseur danois Carlsberg a annoncé sa décision de quitter la Russie avec la mise en vente de ses importantes activités dans le pays, qui comptent 8.400 employés.

L'annonce du géant danois de la bière, qui détient l'importante marque russe Baltika depuis 2000, intervient quelques heures après une décision similaire de son concurrent Heineken qui a annoncé que la cession de leurs activités leur coûtera 400 millions d'euros. Heinenken a expliqué que l'activité du groupe en Russie n'est "plus viable dans l'environnement actuel. Par conséquent, nous avons décidé de quitter la Russie".


13H19 TU. Les pays du G7 estiment qu'exiger un paiement en roubles du gaz russe n'est "pas acceptable" et montre que le président russe Vladimir Poutine est "dos au mur".

C'est ce qu'a déclaré le ministre allemand de l'Économie Robert Habeck.
"Tous les ministres du G7 sont tombés d'accord sur le fait qu'il s'agissait d'une violation unilatérale et claire des contrats existants (...) ce qui signifie qu'un paiement en roubles n'est pas acceptable", a dit M. Habeck, à l'issue d'une réunion virtuelle avec ses homologues du G7.

"Je pense qu'il faut interpréter cette demande comme le fait que Poutine est dos au mur", a-t-il ajouté.

13h09 TU. Le journal indépendant russe Novaïa Gazeta suspend ses publications en ligne et au format papier jusqu'à la fin de l'opération militaire en Ukraine.
 

Dmitri Mouratov
Le directeur de Novaïa Gazeta Dmitri Mouratov alors qu'il apprend avoir reçu le Prix Nobel de la Paix, octobre 2021, à Moscou.
© AP Photo/Alexander Zemlianichenko, File



Le pouvoir russe accentue ses pressions contre les voix critiques. Dans un communiqué publié sur son site, le journal, dont le rédacteur en chef Dmitri Mouratov a reçu en 2021 le prix Nobel de la Paix, a indiqué avoir pris cette mesure après avoir reçu un second avertissement du gendarme russe des télécoms pour manquement à une loi controversée sur les "agents de l'étranger".


11h53 TU. Un peu plus de 40.000 réfugiés ont fui l'Ukraine ces dernières 24 heures.

Le total de personnes qui essayent d'échapper aux combats déclenchés par l'armée russe atteint les 3,9 millions, selon le décompte de l'ONU publié lundi.

Depuis le 22 mars, le flux de réfugiés s'est nettement ralenti même si on se rapproche du nombre de quatre millions qu'avait projeté le HCR au début du conflit.

Au total, plus de dix millions de personnes, soit plus d'un quart de la population, ont dû quitter leur foyer soit en traversant la frontière pour trouver refuge dans les pays limitrophes soit en trouvant refuge ailleurs en Ukraine. 

Où se réfugient les Ukrainiens qui fuient leur pays, en carte : 

Carte réfugiés
TV5MONDE

11h35 TU. Le chef de la diplomatie russe juge qu'une rencontre entre Vladimir Poutine et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky serait pour l'heure "contre-productive".

La rencontre est conditionnée à l'adoption des exigences de Moscou dans les négociations. Vladmir Poutine "a dit qu'il ne refuserait jamais une rencontre avec le président Zelensky, mais il faut que cette rencontre soit bien préparée (...) Le conflit au sein de l'Ukraine s'est aggravé pendant toutes ces années, beaucoup de problèmes se sont accumulés", a déclaré Sergueï Lavrov.

11h26 TU. Le Kremlin dénonce les commentaires "alarmants" du président américain Joe Biden qui a qualifié son homologue russe Vladimir Poutine de "boucher".

"Cette déclaration est sans doute alarmante", a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, en soulignant que Moscou continuerait de suivre de manière "très attentive les propos du président américain".

poutine
Le président russe Vladimir Poutine assiste à une réunion avec de jeunes professionnels de la culture primés, par vidéoconférence, à Moscou, le vendredi 25 mars 2022.
Kremlin Pool Photo/AP

(Re)voir : Russie : Vladimir Poutine déterminé, les médias en retrait

10h23 TU. La Russie et l'Ukraine n'ont pas accompli d'"avancées significatives" pour l'instant dans leurs négociations.

C'est ce qu'a déclaré lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

"Pour l'instant, nous ne pouvons pas constater de progrès ou d'avancées significatives quelconques", a affirmé M. Peskov à la presse, alors que les délégations russe et ukrainienne sont attendues lundi à Istanbul pour une nouvelle session de discussions.

10h14 TU. Kyiv renonce à tout couloir d'évacuation de civils par crainte de "provocations" russes.

"Nos renseignements ont fait état de possibles provocations de la part des occupants sur les itinéraires des couloirs humanitaires. Par conséquent, pour des raisons de sécurité pour les civils, aucun couloir humanitaire ne sera ouvert aujourd'hui", a écrit la vice-Première ministre Iryna Verechtchouk sur Telegram.

Le reporter Nolan Peterson fait état d'une nuit "bruyante" à Kyiv.

09h42 TU. L'Espagne annonce un plan d'aides directes de six milliards d'euros pour les ménages et les entreprises, dont des subventions sur les carburants, afin de compenser les conséquences économiques de la guerre en Ukraine.

Le plan "sera en vigueur jusqu'au 30 juin". 

08h36 TU. Le brasseur néerlandais Heineken annonce quitter la Russie, où il compte 1.800 employés, à cause de la guerre en Ukraine qui continue à "se déployer et à s'intensifier". 

"La propriété de Heineken dans l'entreprise en Russie n'est plus durable ni viable dans l'environnement actuel. En conséquence, nous avons décidé de quitter la Russie", a déclaré le deuxième plus gros brasseur mondial dans un communiqué. 

07h20 TU. En France, le président de la Commission de régulation de l'énergie (CRE), Jean-François Carenco, appelle l'ensemble des citoyens à faire dès maintenant des économies d'énergie.

Dans un entretien au quotidien Les Echos, le patron du régulateur de l'énergie juge que les difficultés d'approvisionnement de gaz provoquées par la guerre en Ukraine et la baisse inédite de la production d'électricité nucléaire d'EDF vont nécessairement entraîner des difficultés à l'hiver 2022 si rien n'est fait.

"Il faut économiser du gaz et de l'électricité en France dès maintenant sinon cela pourrait mal se passer l'hiver prochain", a insisté M. Carenco, invitant chacun à faire des efforts, "les industriels, le tertiaire, les bâtiments publics mais aussi chacun d'entre nous, que ce soit en baissant le chauffage, la climatisation, les lumières". "Il y a urgence et chacun doit s'y mettre", a-t-il ajouté.

La dépendance au gaz russe en europe en carte : 

carte UE dépendance gaz russe
La dépendance des pays de l'Union européenne aux importations de gaz russe 

(Re)lire : Guerre en Ukraine : le gaz naturel liquéfié peut-il remplacer le gaz russe ?

06h45 TU. La dernière ligne ferroviaire encore active entre la Russie et l'UE ferme. 

Douze ans après le voyage inaugural de ce train moderne avec à son bord Vladimir Poutine, alors un symbole de renouveau pour les relations euro-russes, le trafic est interrompu sine die à partir de ce lundi entre Saint-Pétersbourg et Helsinki. La ligne était pourtant restée active même durant la Guerre froide.

05h30 TU. Dans Marioupol assiégée et bombardée depuis des semaines, "la population se bat pour survivre. La situation humanitaire est catastrophique", selon le ministère ukrainien des Affaires étrangères.

"Les forces armées russes sont en train de transformer la ville en poussière", a-t-il ajouté sur twitter, dans la nuit de dimanche à lundi. 

Le président français a indiqué dimanche qu'il parlerait à son homologue russe Vladimir Poutine lundi ou mardi pour organiser une opération d'évacuation de la ville.

05h11 TU. Le territoire séparatiste de Louhansk pourrait bientôt organiser un référendum pour rejoindre la Russie. 

C'est ce qu'a déclaré dimanche le leader de ce territoire, Léonid Passetchnik. Moscou a reconnu l'indépendance de Louhansk, mais pas la communauté internationale.

"Tous les faux référendums dans les territoires occupés temporairement sont nuls et non avenus et n'auront aucune légitimité", a réagi sur Twitter le porte-parole du ministère ukrainien des Affaires étrangères.

(Re)voir : quelles conséquences en cas d'indépendance de Donetsk et de Louhansk ?

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03h00 TU. Négociateurs ukrainiens et russes se retrouvent à Istanbul mardi pour tenter d'arrêter le conflit. La question de la "neutralité" de l'Ukraine est "étudiée en profondeur", selon le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Les délégations russe et ukrainienne sont attendues lundi à Istanbul avant le début de la session de discussions en face-à-face, qui doit débuter mardi.

Une des clauses des négociations porte sur "les garanties de sécurité et la neutralité, le statut dénucléarisé de notre Etat", une exigence de Moscou, a déclaré Volodymyr Zelensky à des médias indépendants russes dans un entretien en ligne diffusé sur la chaîne Telegram de l'administration présidentielle ukrainienne.

"Ce point des négociations est compréhensible pour moi et il est en discussion, il est étudié en profondeur", a-t-il affirmé. Mais il devra être soumis à référendum et il faut des garanties, a-t-il prévenu, accusant le président russe Vladimir Poutine et son entourage de faire "traîner les choses".

Le gendarme russe des télécoms Roskomnadzor a intimé dans un communiqué aux médias russes de ne pas publier cet entretien et indiqué qu'une enquête était ouverte contre ceux qui avaient participé à l'interview.

(Re)lire : Guerre en Ukraine : le cauchemar des jeunes soldats russes sans préparation jetés sur le front

02h56 TU. Une minute de silence est observée en hommage à l'Ukraine lors de la 94e cérémonie des Oscars à Hollywood. 

Pendant ce bref instant de recueillement, des écrans diffusaient des messages appelant à envoyer de l'aide en énumérant des besoins essentiels des Ukrainiens tels que de la "nourriture", des "soins médicaux" ou des "couvertures". "Nous vous demandons d'aider l'Ukraine par tous les moyens possibles", a ajouté l'un des messages.

oscars
L'actrice et réalisatrice Jamie Lee Curtis brandit un ruban bleu en soutien aux réfugiés d'Ukraine aux Oscars, le dimanche 27 mars 2022 au Dolby Theatre de Los Angeles.
AP Photo/Jae C. Hong

02:49 TU. De nouveaux incendies se sont déclarés dans la zone de la centrale nucléaire de Tchernobyl, occupée par les forces russes, selon les autorités ukrainiennes.

Kiev demande la "démilitarisation" du secteur sous l'égide de l'ONU.

"Des feux importants ont commencé dans la zone d'exclusion, qui peuvent avoir de très sérieuses conséquences", a écrit la Première ministre adjointe ukrainienne Iryna Vereshchuk sur son compte Telegram dimanche soir.