Election présidentielle en Iran - Les Françaises devant la justice iranienne

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Election présidentielle en Iran - Les Françaises devant la justice iranienne
Clotilde Reiss lors de son procès à Téhéran, le 8 août 2009.
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Clotilde Reiss libérée sous caution

Clotilde Reiss, la jeune universitaire française détenue en Iran depuis le 1er juillet, a été libérée sous caution dimanche 16 août. Elle réside désormais sous contrôle judiciaire à l'ambassade de France à Téhéran. Accusée d'espionnage, la jeune femme doit encore attendre la fin de son procès avant de pouvoir rejoindre Paris. Selon la présidence française, elle est "en bonne santé" et "garde un bon moral". La franco-iranienne Naza Ashar, employée à l'ambassade française en Iran, a été libérée le 10 août 2009. Elle était accusée d'avoir tenté de déstabiliser le régime.

Clotilde Reiss transférée à l'ambassade de France

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Son sort n'est pas encore fixé mais au moins elle n'est plus en prison. Après six semaines de détention derrière les barreaux iraniens, Clotilde Reiss est désormais placée sous contrôle judiciaire à l'ambassade de France. Paris a obtenu sa remise en liberté conditionnelle contre le versement d'une caution. Récit Damien Coquet TV5 Monde 17 août 2009 - 1'56

L'otage franco-iranienne libérée

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Employée à l'ambassade française en Iran, Naza Ashar, franco-iranienne, a été libérée. Elle était accusée d'avoir tenté de déstabiliser le régime. Son fils exprime son soulagement. TV5 Monde 11 août 2009 - 1'25

Rémi Reiss, le père de Clotilde, s'insurge contre le mauvais procès fait à sa fille

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Dans un entretien exclusif accordé à TV5Monde, le père de la jeune étudiante en farsi, réfute les accusations émises et colportés par les "juges", y compris à son encontre... Écouter l'entretien avec David Delos Lundi 10 août 2009

Clotilde Reiss a demandé “pardon“

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Devant le tribunal révolutionnaire de Téhéran, l'étudiante française Clotilde Reiss est passée aux aveux samedi 8 août. Elle a reconnu avoir participé aux manifestations et a demandé pardon. Derrières ces procès d'opposants, il s'agit d'éliminer deux hommes forts : l'ancien président Khatami et Mir Hossein Moussavi le chef de file de la contestation. Récit Louban Anaki - France 2 10 août 2009 - 2'02