Le président Macron a invité plus de 300 Harkis ou leurs descendants, à l'Elysée et leur a demandé pardon. Brahim Bourabaa était présent. "C'est une avancée significative" dit le président de l'association Trait d'Union, qui représente ces Algériens qui se sont battus aux côtés de l'armée française lors de la guerre d'Algérie. Mais les Harkis espèrent aussi "une transmission de la mémoire partagée entre ces jeunes qui ne connaissent pas cette histoire de France."