Depuis que la Chine et plusieurs autres pays asiatiques ont considérablement réduit leurs importations de déchets plastiques jugés trop polluants, les Etats européens – dont la France et la Belgique – se tournent vers la Turquie pour recycler leurs emballages. Au risque que ces plastiques n’atterrissent finalement dans des décharges sauvages en pleine nature. Un véritable « désastre sanitaire et environnemental », selon les militants de la filiale turque de l’ONG Greenpeace.