Le président français aura donc attendu la toute fin de son voyage en Polynésie française pour aborder le sujet. Emmanuel Macron reconnait que la France a une dette à l'égard de ce territoire d'Outre-mer, concernant les essais nucléaires réalisés dans le Pacifique, jusqu'en 1996. Il n’a pas pour autant demander pardon, comme le souhaitaient les associations locales.