A l’heure de la pandémie de coronavirus, l’ancienne première ministre française Édith Cresson salue l’arrivée du pass sanitaire européen, un document nécessaire face à « un problème suffisamment grave. » Si elle souligne le fait que « personne ne l’avait prévu [la pandémie], pas plus les autres pays que la France », elle pointe du doigt la « désindustrialisation » du pays, responsable, selon elle, du manque d’équipements au début de l’épidémie.