Une des mesures pour la réforme de la fonction publique, souhaitée par le président Emmanuel Macron, passe par la suppression de l'Ecole Nationale d'Administration. Or elle ne fait pas l'unanimité ! Jocelyn Caron, Québécois, ancien élève de l'ENA, promotion Jean-Jacques Rousseau 2011 pense que ce n'était pas nécessaire : "12 000 anciens élèves étrangers sont passés par l'ENA, vont-ils être titulaires d'un diplôme d'une école qui n'existe pas ?" Frédéric Thiriez, est l'auteur du rapport sur la réforme de l'ENA répond qu'on ne la supprime pas, "on la transforme !" ce qui est nécessaire.