La colère ne retombe pas après la catastrophe ferroviaire qui a coûté la vie à 57 personnes, le 28 février dernier. Depuis mardi, hommages et manifestations se succèdent. Le Premier ministre, Kyriakos Mitsotakis, a demandé pardon aux victimes et à leurs proches. Dimanche 5 mars, des heurts ont éclaté entre quelques manifestants et des policiers, en marge du mouvement de protestation dont la fureur s’est exprimé sans violence physique.