Comment apaiser le contentieux mémoriel entre la France et l'Algérie après la reconnaissance par le président Emmanuel Macron de la responsabilité de la France dans l'assassinat d'Ali Boumendjel ? Fouad Soufi, historien et archiviste, à Alger, affirme que les Algériens n'ont pas à réagir mais à agir : "il faut commencer par balayer devant notre porte." Olivier Le Cour Grandmaison, politologue, veut rappeler qu'il y a eu des milliers d'Ali Boumendjel en Algérie, "victimes de ce qu'on peut appeler un terrorisme d'Etat."